Dans ce communiqué, le Maroc a vivement exprimé sa déception à l'égard de cet acte contraire à l'esprit de partenariat et de bon voisinage et qui concerne une question fondamentale pour le peuple marocain et ses forces vives.
Il est à rappeler que le sieur Brahim Ghali est poursuivi pour de graves crimes liés au terrorisme et de multiples atteintes aux Droits de l'Homme a été admis en Espagne en catimini et avec un passeport diplomatique algérien portant un faux nom Raison pour laquelle le Royaume du Maroc a convoqué l'Ambassadeur espagnol à Rabat pour exiger de lui les explications nécessaires sur l'attitude de son Gouvernement.
Au fait, il y a lieu de rappeler que Domingo Iturbe Abasolo, alias « Txomin », Chef historique de l'ETA, a été tué, le 27 février 1987, par les services algériens lors d'un accident de voiture maquillé tandis que deux autres réfugiés, en l'occurrence Monsieur Inaki Aracama Mendia et Madame Maria Belen Gonzalez Penalda, activement recherchés par la police espagnole à la suite d'une série d'attentats et d'enlèvements, en sont sortis indemnes.
Ce meurtre par les services algériens de renseignement de « Txomin » sur leur territoire, alors qu'il y résidait depuis septembre 1986 à Djelfa, à quelque 300 kilomètres d'Alger est la démonstration parfaite du double jeu des services sécuritaires algériens.
N'auraient-ils pas demandé le retour de monnaie à la partie espagnole sur le dossier du sieur Brahim Ghali pour se débarrasser de cet encombrant personnage et lui trouver un remplaçant. Bizarre ! Bizarre !
Il est à rappeler que le sieur Brahim Ghali est poursuivi pour de graves crimes liés au terrorisme et de multiples atteintes aux Droits de l'Homme a été admis en Espagne en catimini et avec un passeport diplomatique algérien portant un faux nom Raison pour laquelle le Royaume du Maroc a convoqué l'Ambassadeur espagnol à Rabat pour exiger de lui les explications nécessaires sur l'attitude de son Gouvernement.
Au fait, il y a lieu de rappeler que Domingo Iturbe Abasolo, alias « Txomin », Chef historique de l'ETA, a été tué, le 27 février 1987, par les services algériens lors d'un accident de voiture maquillé tandis que deux autres réfugiés, en l'occurrence Monsieur Inaki Aracama Mendia et Madame Maria Belen Gonzalez Penalda, activement recherchés par la police espagnole à la suite d'une série d'attentats et d'enlèvements, en sont sortis indemnes.
Ce meurtre par les services algériens de renseignement de « Txomin » sur leur territoire, alors qu'il y résidait depuis septembre 1986 à Djelfa, à quelque 300 kilomètres d'Alger est la démonstration parfaite du double jeu des services sécuritaires algériens.
N'auraient-ils pas demandé le retour de monnaie à la partie espagnole sur le dossier du sieur Brahim Ghali pour se débarrasser de cet encombrant personnage et lui trouver un remplaçant. Bizarre ! Bizarre !