Dakhla: Présentation du roman "Chaos dans le jardin du diable" de l'écrivain jordanien Mustafa Alqorna
Cette cérémonie a été organisée par la Direction régionale de la culture, en coordination avec la Coalition pour l'autonomie au Sahara, en présence du président du Centre international de recherches sur la prévention des enfants soldats à Dakhla, Abdelkader Filali et une pléiade d’intellectuels et de représentants de la société civile.
S’exprimant à cette occasion, le narrateur et romancier marocain Abedssamie Bensaber a souligné que le roman "Fawda Fi Hadikat al Chaytan" est une œuvre littéraire de taille qui va sans nul doute contribuer à l’enrichissement de la bibliothèque littéraire arabe.
Dans ce roman (212 pages) l'écrivain traite, sous forme de fiction, des conditions inhumaines et les souffrances qu'endurent les séquestrés dans les camps de Tindouf entre les mains des milices séparatistes du "polisario", a expliqué M. Bensaber.
Il a également souligné que l'écrivain jordanien révèle la réalité de l'exploitation par les mercenaires des enfants sahraouis et leurs déportations par force selon des agendas politiques, contre toutes les conventions internationales des droits de l'Homme.
Pour sa part, l’écrivain jordanien Mustafa Alqorna a indiqué que son roman est une œuvre narrative qui relate des histoires véridiques reflétant la réalité de l'enfance violée, déportée de force vers les pays d'Amérique latine à travers des bases militaires sur le sol algérien.
L'écrivain jordanien a aussi souligné que son roman concentre sur des images narratives avec des dimensions esthétiques et dramatiques, en révélant la réalité inhumaine et tragique des détenus dans les camps de Tindouf, en Algérie.
De son côté, le président du Centre international de recherches sur la prévention des enfants soldats à Dakhla, Abdelkader Filali a noté que la thématique du roman est au cœur des actions du Centre qui focalisera ses missions également autour des études littéraires portant sur la prévention de l’exploitation des enfants dans les zones de conflit.
L’ensemble des intervenants ont été unanimes quant à l’importance de ce roman qui a réussi à sensibiliser à la question du Sahara en exposant la réalité de la situation qui règne dans les camps de Tindouf.
Né en 1965, Mustafa Alqorna, ancien président de l’Union des écrivains jordaniens, a enrichi la bibliothèque arabe de ses romans et ouvrages traduits dans plusieurs langues.
Créée en juillet 2019, la Coalition pour l'autonomie au Sahara comprend des juristes, des académiciens, des chercheurs, des hommes des médias et des militants de la société civile représentant 155 pays.
S’exprimant à cette occasion, le narrateur et romancier marocain Abedssamie Bensaber a souligné que le roman "Fawda Fi Hadikat al Chaytan" est une œuvre littéraire de taille qui va sans nul doute contribuer à l’enrichissement de la bibliothèque littéraire arabe.
Dans ce roman (212 pages) l'écrivain traite, sous forme de fiction, des conditions inhumaines et les souffrances qu'endurent les séquestrés dans les camps de Tindouf entre les mains des milices séparatistes du "polisario", a expliqué M. Bensaber.
Il a également souligné que l'écrivain jordanien révèle la réalité de l'exploitation par les mercenaires des enfants sahraouis et leurs déportations par force selon des agendas politiques, contre toutes les conventions internationales des droits de l'Homme.
Pour sa part, l’écrivain jordanien Mustafa Alqorna a indiqué que son roman est une œuvre narrative qui relate des histoires véridiques reflétant la réalité de l'enfance violée, déportée de force vers les pays d'Amérique latine à travers des bases militaires sur le sol algérien.
L'écrivain jordanien a aussi souligné que son roman concentre sur des images narratives avec des dimensions esthétiques et dramatiques, en révélant la réalité inhumaine et tragique des détenus dans les camps de Tindouf, en Algérie.
De son côté, le président du Centre international de recherches sur la prévention des enfants soldats à Dakhla, Abdelkader Filali a noté que la thématique du roman est au cœur des actions du Centre qui focalisera ses missions également autour des études littéraires portant sur la prévention de l’exploitation des enfants dans les zones de conflit.
L’ensemble des intervenants ont été unanimes quant à l’importance de ce roman qui a réussi à sensibiliser à la question du Sahara en exposant la réalité de la situation qui règne dans les camps de Tindouf.
Né en 1965, Mustafa Alqorna, ancien président de l’Union des écrivains jordaniens, a enrichi la bibliothèque arabe de ses romans et ouvrages traduits dans plusieurs langues.
Créée en juillet 2019, la Coalition pour l'autonomie au Sahara comprend des juristes, des académiciens, des chercheurs, des hommes des médias et des militants de la société civile représentant 155 pays.