"Ce que nous avons appris d'Ebola en Afrique de l'Ouest, c’est que la fermeture des écoles n'est pas toujours saine pour les enfants. Pour de nombreux enfants pauvres qui ne vont pas à l'école, ne pas avoir le seul repas disponible par jour qu'ils reçoivent à l'école est un énorme défi", explique le Dr Luwei Pearson, cheffe de la Section de la santé à la Division des programmes du Fonds des Nations-Unies pour l’enfance (UNICEF).
Face à la situation due à la pandémie de COVID-19, le Dr Pearson note que l’UNICEF, mais aussi les gouvernements et le système des Nations-Unies dans son ensemble, se trouvaient confrontés à une situation inédite.
"Personne ne prévoyait que les écoles seraient fermées, que les usines seraient fermées et que les frontières seraient fermées. Bien que le taux de mortalité chez les enfants soit relativement faible, l'effet secondaire sur les enfants dû à la fermeture des écoles affecte leur bien-être mental et physique", a-t-elle dit dans un entretien publié par le portail d’information "ONU-Info".
La responsable a précisé que dès janvier, face à ce qui se passait en Chine, l’UNICEF s’est efforcé de soutenir "un apprentissage sain à la maison afin que les enfants puissent continuer à interagir avec les autres, être attentifs".
Elle a également fait savoir que l’UNICEF collectait des données pour savoir par exemple ce qui arrive aux bébés nés de mères positives au Covid-19 et notamment si l’allaitement est sûr.
"Nous en sommes aux premiers jours et les choses ne sont pas encore claires", a-t-elle relevé, ajoutant que beaucoup de données initiales proviendront de la Chine, d’où est partie la pandémie.
Face à la situation due à la pandémie de COVID-19, le Dr Pearson note que l’UNICEF, mais aussi les gouvernements et le système des Nations-Unies dans son ensemble, se trouvaient confrontés à une situation inédite.
"Personne ne prévoyait que les écoles seraient fermées, que les usines seraient fermées et que les frontières seraient fermées. Bien que le taux de mortalité chez les enfants soit relativement faible, l'effet secondaire sur les enfants dû à la fermeture des écoles affecte leur bien-être mental et physique", a-t-elle dit dans un entretien publié par le portail d’information "ONU-Info".
La responsable a précisé que dès janvier, face à ce qui se passait en Chine, l’UNICEF s’est efforcé de soutenir "un apprentissage sain à la maison afin que les enfants puissent continuer à interagir avec les autres, être attentifs".
Elle a également fait savoir que l’UNICEF collectait des données pour savoir par exemple ce qui arrive aux bébés nés de mères positives au Covid-19 et notamment si l’allaitement est sûr.
"Nous en sommes aux premiers jours et les choses ne sont pas encore claires", a-t-elle relevé, ajoutant que beaucoup de données initiales proviendront de la Chine, d’où est partie la pandémie.