Cinq questions à l’artiste marocaine Zahra Hindi
Cette diversité des genres musicaux au Maroc permet-elle de s’approprier toutes les musiques du monde ?
La musique marocaine qu’elle soit traditionnelle, moderne, ou postmoderne, a une capacité fulgurante de s’approprier toutes les formes musicales de nature à produire des œuvres artistiques très appréciées du public.
Que pensez-vous de la dynamique culturelle et artistique au Maroc ?
Je suis très fière de cette dynamique artistique au Maroc traduite par ce nombre impressionnant de festivals culturels, qui favorisent la rencontre entre le public et les artistes.
En revanche, j’invite les artistes marocains à se produire à l’étranger pour faire connaitre la richesse artistique du Royaume.
Nous sommes un pays de culture par excellence et nous avons tous les atouts pour réaliser davantage de progrès dans le domaine culturel et pour faire connaitre le mode de vie commun singulier des Marocains.
Le Maroc, qui a de tout temps promu les valeurs du vivre-ensemble, représente un pays de brassage exceptionnel de cultures, de religions et de langues.
Que pensez-vous de cette édition du festival de Gnaoua conçue en une tournée ?
Cette édition, organisée sous forme de tournée entre le 3 et le 24 juin courant, favorise la rencontre directe avec les passionnés de cet art authentique après une absence de deux ans imposée par la pandémie de la Covid-19.
Ce festival, conçu sous forme de tournée de 4 étapes, est une idée originale car il permet au public des autres villes, telles que Rabat, Casablanca et Marrakech, d’approcher et d’apprécier ce genre musical ancestral et authentique.
Quelles sont tes projets artistiques futurs ?
Mon dernier album sortira sous peu. Je vais aussi organiser une tournée artistique durant laquelle je partagerai avec le public mes choix musicaux et mes créations artistiques en amazighe et en anglais, composés en majorité par des musiciens marocains.
Est-ce que les jeunes talents ont assez d’opportunités pour mettre en œuvre leurs talents et se faire connaitre ?
Il est nécessaire d’encourager les jeunes talents à travers les festivals et les différents supports médiatiques afin de leur donner l’opportunité pour mettre en avant leurs talents.
Je cite à titre d’exemple le festival Talguit’art à Agadir, visant à lancer et donner l’opportunité aux artistes en herbe pour se produire devant le public.
Je salue à cette occasion, les efforts consentis par Ibrahim El Mazned, qui a initié le festival « Visa for Music », dont la mission consiste à faire découvrir de nouveaux talents et de leur donner une vitrine auprès des professionnels de la culture à l’international pour ainsi favoriser la création de partenariats.
Le Maroc regorge d’une génération d’artistes, qui excellent dans les différentes formes musicales, dont le rap et le pop, ainsi que de nouvelles générations d’artistes qui œuvrent à revivifier et renouveler les formes musicales traditionnelles.
La musique marocaine qu’elle soit traditionnelle, moderne, ou postmoderne, a une capacité fulgurante de s’approprier toutes les formes musicales de nature à produire des œuvres artistiques très appréciées du public.
Que pensez-vous de la dynamique culturelle et artistique au Maroc ?
Je suis très fière de cette dynamique artistique au Maroc traduite par ce nombre impressionnant de festivals culturels, qui favorisent la rencontre entre le public et les artistes.
En revanche, j’invite les artistes marocains à se produire à l’étranger pour faire connaitre la richesse artistique du Royaume.
Nous sommes un pays de culture par excellence et nous avons tous les atouts pour réaliser davantage de progrès dans le domaine culturel et pour faire connaitre le mode de vie commun singulier des Marocains.
Le Maroc, qui a de tout temps promu les valeurs du vivre-ensemble, représente un pays de brassage exceptionnel de cultures, de religions et de langues.
Que pensez-vous de cette édition du festival de Gnaoua conçue en une tournée ?
Cette édition, organisée sous forme de tournée entre le 3 et le 24 juin courant, favorise la rencontre directe avec les passionnés de cet art authentique après une absence de deux ans imposée par la pandémie de la Covid-19.
Ce festival, conçu sous forme de tournée de 4 étapes, est une idée originale car il permet au public des autres villes, telles que Rabat, Casablanca et Marrakech, d’approcher et d’apprécier ce genre musical ancestral et authentique.
Quelles sont tes projets artistiques futurs ?
Mon dernier album sortira sous peu. Je vais aussi organiser une tournée artistique durant laquelle je partagerai avec le public mes choix musicaux et mes créations artistiques en amazighe et en anglais, composés en majorité par des musiciens marocains.
Est-ce que les jeunes talents ont assez d’opportunités pour mettre en œuvre leurs talents et se faire connaitre ?
Il est nécessaire d’encourager les jeunes talents à travers les festivals et les différents supports médiatiques afin de leur donner l’opportunité pour mettre en avant leurs talents.
Je cite à titre d’exemple le festival Talguit’art à Agadir, visant à lancer et donner l’opportunité aux artistes en herbe pour se produire devant le public.
Je salue à cette occasion, les efforts consentis par Ibrahim El Mazned, qui a initié le festival « Visa for Music », dont la mission consiste à faire découvrir de nouveaux talents et de leur donner une vitrine auprès des professionnels de la culture à l’international pour ainsi favoriser la création de partenariats.
Le Maroc regorge d’une génération d’artistes, qui excellent dans les différentes formes musicales, dont le rap et le pop, ainsi que de nouvelles générations d’artistes qui œuvrent à revivifier et renouveler les formes musicales traditionnelles.