Bulletin écologique de l’Afrique australe
Johannesburg - Le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, a exhorté tous les pays à préserver l'environnement, suite aux ravages de la pandémie de Covid-19 qui a également détruit la biodiversité dans le monde.
Source : https://www.maafrique.com/Bulletin-ecologique-de-l...
«La pandémie de coronavirus a gravement affecté la capacité des économies nationales à répondre à des défis tels que la dégradation de l'environnement et les changements climatiques», avait déclaré récemment Ramaphosa lors d’un sommet virtuel sur la biodiversité.
Il a souligné que «même si nous accordons la priorité à la relance économique et à la reconstruction, nous devons maintenir notre engagement collectif en faveur de la conservation de l’environnement». La conservation de l'environnement est encore plus importante étant donné qu'il existait des liens étroits entre la destruction de l'environnement et l'émergence de nouvelles maladies mortelles chez l'homme, dit-il.
Et d’expliquer que la perte de la biodiversité, la déforestation, la perte de terres agricoles, la perte d'habitats pour les animaux et la consommation d'espèces sauvages créent des conditions propices à des maladies infectieuses que nous ne pourrons bientôt plus contrôler.
«L'Afrique du Sud s'engage à collaborer avec le Programme des Nations Unies pour l'environnement à la mise au point d'outils permettant de suivre l'émergence future de toute zoonose», note le président sud-africain.
-. Le Zimbabwe est de loin le pays le plus fragilisé par le changement climatique dans la région de l’Afrique australe, notent des experts.
En Zimbabwe, la sécheresse s'ajoute à une liste inexorable de difficultés économiques: inflation, pénuries de liquidités, d'essence, de médicaments, d'eau, d'électricité...º«Quasiment tout le monde ici est en situation d'insécurité alimentaire", déplorent-ils, précisant que qu’au total, 60% des 15 millions d'habitants du Zimbabwe sont actuellement en situation d'insécurité alimentaire.
Dans le district de Buhera (est), ce chiffre atteint même 80%, selon une responsable locale, Patience Dhinda qui explique que Le dépôt de céréales de Buhera qui abrite l'aide alimentaire distribuée par l'Etat, est désespérément vide.
Il a souligné que «même si nous accordons la priorité à la relance économique et à la reconstruction, nous devons maintenir notre engagement collectif en faveur de la conservation de l’environnement». La conservation de l'environnement est encore plus importante étant donné qu'il existait des liens étroits entre la destruction de l'environnement et l'émergence de nouvelles maladies mortelles chez l'homme, dit-il.
Et d’expliquer que la perte de la biodiversité, la déforestation, la perte de terres agricoles, la perte d'habitats pour les animaux et la consommation d'espèces sauvages créent des conditions propices à des maladies infectieuses que nous ne pourrons bientôt plus contrôler.
«L'Afrique du Sud s'engage à collaborer avec le Programme des Nations Unies pour l'environnement à la mise au point d'outils permettant de suivre l'émergence future de toute zoonose», note le président sud-africain.
-. Le Zimbabwe est de loin le pays le plus fragilisé par le changement climatique dans la région de l’Afrique australe, notent des experts.
En Zimbabwe, la sécheresse s'ajoute à une liste inexorable de difficultés économiques: inflation, pénuries de liquidités, d'essence, de médicaments, d'eau, d'électricité...º«Quasiment tout le monde ici est en situation d'insécurité alimentaire", déplorent-ils, précisant que qu’au total, 60% des 15 millions d'habitants du Zimbabwe sont actuellement en situation d'insécurité alimentaire.
Dans le district de Buhera (est), ce chiffre atteint même 80%, selon une responsable locale, Patience Dhinda qui explique que Le dépôt de céréales de Buhera qui abrite l'aide alimentaire distribuée par l'Etat, est désespérément vide.
Source : https://www.maafrique.com/Bulletin-ecologique-de-l...