Bulletin de l'écologie de l'Afrique
Sénégal :
-- Les autorités sénégalaises ont confirmé la mort de 750 pélicans blancs au parc des oiseaux de Djoudj, situé dans la région de Saint-Louis (nord).
Selon la direction des Parcs nationaux, il s'agit de 740 pélicans adultes et de 10 jeunes.
« Durant la période de migration et de forte concentration des oiseaux d'eau au Parc national des oiseaux du Djoudj (PNOD), il arrive que des cas de mortalités soient signalés chez les populations de pélicans, notamment parmi les juvéniles », explique la direction des Parcs nationaux dans un communiqué de presse.
Suite à cette découverte, les visites au parc sont suspendues jusqu’à nouvel ordre.
Gabon :
-- Le président gabonais, Ali Bongo Ondimba, a eu jeudi à Libreville, des entretiens avec le ministre de l’Environnement, Lee White, axés sur la participation du Gabon à la 26ème conférence sur les changements climatiques (COP 26), prévue en novembre prochain à Glasgow.
A cette occasion, le chef de l’Etat gabonais dont le pays assure la présidence du groupe africain des négociateurs sur le climat depuis 2019, a réitéré la nécessité d’harmoniser les positions africaines dans ce combat pour les générations futures.
BAD :
-- Le Conseil d'administration de la Banque africaine de développement (BAD) a approuvé récemment une aide d’urgence de 686.000 dollars américains à Madagascar destinée à faire face aux effets combinés de la sécheresse et de la pandémie de Covid-19 dans le Grand Sud de l’île.
Selon un communiqué de presse, cette aide doit servir à l’assistance alimentaire, vitale pour les groupes les plus vulnérables et l’appui pour la prévention de la malnutrition aiguë.
Il est ainsi prévu l’acquisition et la distribution de 510,52 tonnes de riz, de 195 tonnes de légumineuses, de 78,40 tonnes d’huiles végétales, de 34 tonnes de super céréales et de 14,24 tonnes de LNS-MQ (supplément nutritionnel).
L’assistance alimentaire cible quelque 72 222 bénéficiaires, soit 14 444 ménages au total. Chaque bénéficiaire recevra une ration durant 15 jours, ce pendant trois mois.
Ethiopie :
--L'Autorité éthiopienne pour la conservation de la faune a mis en place une unité de lutte contre la criminalité environnementale pour lutter contre le trafic d'animaux sauvages et des produits issus de la faune.
Cette unité est composée des membres de la police fédérale, de la police d'Addis-Abeba, des représentants du procureur général, d'Interpol et du ministère de l’agriculture.
L'unité récemment créée a joué un rôle important en facilitant les enquêtes et en luttant contre les crimes contre la faune, souligne-on.
Malawi :
-- La Banque mondiale (BM) a exprimé ses préoccupations quant à la faisabilité et la pertinence du projet d'eau potable de Lilongwe-Salima censé mettre fin à la crise de l’eau dans la capitale du Malawi.
Le bailleur de fonds estime que la mise en œuvre simultanée du barrage polyvalent Diamphwe et du projet d’eau potable de Lilongwe-Salima pourrait entraîner une surexploitation des ressources hydriques et constituer une charge supplémentaire pour l’entreprise publique locale Lilongwe Water Board (LWB), ainsi que pour le Trésor public malawite.
En refusant de financer le projet, l'institution de Bretton woods aurait porté un coup dur à l’entreprise sud-africaine Khato Civils qui peine à trouver les fonds nécessaires à la mise en place du projet, ce qui l'a obligé à revoir son budget à la baisse.
-- Les autorités sénégalaises ont confirmé la mort de 750 pélicans blancs au parc des oiseaux de Djoudj, situé dans la région de Saint-Louis (nord).
Selon la direction des Parcs nationaux, il s'agit de 740 pélicans adultes et de 10 jeunes.
« Durant la période de migration et de forte concentration des oiseaux d'eau au Parc national des oiseaux du Djoudj (PNOD), il arrive que des cas de mortalités soient signalés chez les populations de pélicans, notamment parmi les juvéniles », explique la direction des Parcs nationaux dans un communiqué de presse.
Suite à cette découverte, les visites au parc sont suspendues jusqu’à nouvel ordre.
Gabon :
-- Le président gabonais, Ali Bongo Ondimba, a eu jeudi à Libreville, des entretiens avec le ministre de l’Environnement, Lee White, axés sur la participation du Gabon à la 26ème conférence sur les changements climatiques (COP 26), prévue en novembre prochain à Glasgow.
A cette occasion, le chef de l’Etat gabonais dont le pays assure la présidence du groupe africain des négociateurs sur le climat depuis 2019, a réitéré la nécessité d’harmoniser les positions africaines dans ce combat pour les générations futures.
BAD :
-- Le Conseil d'administration de la Banque africaine de développement (BAD) a approuvé récemment une aide d’urgence de 686.000 dollars américains à Madagascar destinée à faire face aux effets combinés de la sécheresse et de la pandémie de Covid-19 dans le Grand Sud de l’île.
Selon un communiqué de presse, cette aide doit servir à l’assistance alimentaire, vitale pour les groupes les plus vulnérables et l’appui pour la prévention de la malnutrition aiguë.
Il est ainsi prévu l’acquisition et la distribution de 510,52 tonnes de riz, de 195 tonnes de légumineuses, de 78,40 tonnes d’huiles végétales, de 34 tonnes de super céréales et de 14,24 tonnes de LNS-MQ (supplément nutritionnel).
L’assistance alimentaire cible quelque 72 222 bénéficiaires, soit 14 444 ménages au total. Chaque bénéficiaire recevra une ration durant 15 jours, ce pendant trois mois.
Ethiopie :
--L'Autorité éthiopienne pour la conservation de la faune a mis en place une unité de lutte contre la criminalité environnementale pour lutter contre le trafic d'animaux sauvages et des produits issus de la faune.
Cette unité est composée des membres de la police fédérale, de la police d'Addis-Abeba, des représentants du procureur général, d'Interpol et du ministère de l’agriculture.
L'unité récemment créée a joué un rôle important en facilitant les enquêtes et en luttant contre les crimes contre la faune, souligne-on.
Malawi :
-- La Banque mondiale (BM) a exprimé ses préoccupations quant à la faisabilité et la pertinence du projet d'eau potable de Lilongwe-Salima censé mettre fin à la crise de l’eau dans la capitale du Malawi.
Le bailleur de fonds estime que la mise en œuvre simultanée du barrage polyvalent Diamphwe et du projet d’eau potable de Lilongwe-Salima pourrait entraîner une surexploitation des ressources hydriques et constituer une charge supplémentaire pour l’entreprise publique locale Lilongwe Water Board (LWB), ainsi que pour le Trésor public malawite.
En refusant de financer le projet, l'institution de Bretton woods aurait porté un coup dur à l’entreprise sud-africaine Khato Civils qui peine à trouver les fonds nécessaires à la mise en place du projet, ce qui l'a obligé à revoir son budget à la baisse.