Bulletin de l'écologie de l'Afrique

Mardi 7 Mai 2019

Dakar - Voici le bulletin de l'écologie de l'Afrique pour la journée du mardi 07 mai : 

Sénégal :

--L'institut national de pédologie (INP) mise sur une démarche participative et inclusive pour anticiper les incidences négatives du climat sur la production laitière et la sécurité alimentaire, a indiqué son directeur général, Mamadou Amadou Sow.

« L’INP et le projet d’appui à la résilience des filières agricoles (PARFA) misent sur une démarche participative, inclusive et dynamique permettant d’anticiper les incidences négatives du climat sur la productivité laitière et la sécurité alimentaire », a-t-il déclaré.

Il intervenait lors d’un atelier national de sensibilisation sur les approches intégrées et durables sur le développement d’agriculture paysanne résiliente.

Selon lui, il s’agira au sortir de cette journée, de prendre en compte de manière efficiente et constituée, la problématique découlant des effets néfastes des changements climatiques.

Ghana :

--La forêt tropicale humide du Ghana est en train de disparaître à un rythme alarmant, selon un nouveau rapport sur l'état des forêts dans le monde, publié par Global Forest Watch (GFW).

Il y a eu une augmentation de 60% de la perte de forêt pluviale primaire au Ghana en 2018 par rapport à 2017, soit le taux le plus élevée au monde, précise GFW. Côte d'Ivoire : 

--L'Agence nationale de l’environnement (ANDE) et le Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI) ont signé, lundi à Abidjan, un protocole d’accord de collaboration en vue de faciliter le traitement des dossiers dans le cadre des projets soumis à évaluation environnementale.

Présentant cet accord, le ministre de l’environnement et du développement durable, Pr Jospeh Séka Séka a indiqué que « cette initiative vise à simplifier les procédures et les délais de traitement de dossiers relatifs à l’évaluation environnementale et à contribuer ainsi aux réformes en cours pour l’amélioration du climat des affaires en Côte d’Ivoire ».

« Ces deux institutions se sont rapprochées et ont convenu de s’accorder sur un mode opératoire de facilitation de traitement des dossiers dans le cadre de l’octroi d’agrément à l’investissement des projets soumis à évaluation environnementale pour le bien-être des opérateurs et investisseurs », a-t-il ajouté. 

MAP