Bonjour à tous,
je vous rappelle qu'une journée pour exclure la fessée de nos pratiques
éducatives sera organisée par les personnes qui le souhaitent le 17 avril 2004 à
l'initiative de La Maison de L'Enfant. (C'est un samedi.)
Dans ce but, nous allons élaborer un tract A4 recto verso téléchargeable sur
divers site, les personnes qui voudront participer pourront le diffuser par
email ou faire des photocopies.
Dans différentes régions de France des groupes sur le thème "pose de limites
respectueuses" seront organisés, et animés par des parents volontaires,
rattachés ou pas à des associations.
Les parents quelquefois hésitent à animer un groupe, dans ce but j'ai préparé
deux plans qui seront peut-être utile, sachant que chacun est libre de faire
ce qu'il souhaite dans la mesure où il s'agit bien d'évoquer nos difficultés à
poser des limites sans culpabiliser les parents, et de partager ce qui
fonctionne chez nous.
J'aimerais réunir des données sur chaque groupe, le nombre de participants
(pas leur nom en revanche), et la méthode choisie pour travailler, afin que l'an
prochain nous puissions demander des subventions dans le but de faire plus de
publicité à cette journée.
Si vous avez des idées pour prévenir les médias. On pourra toujours
solliciter la presse régionale.
Il me semble que tout le monde est capable d'organiser un groupe. ça peut
être un groupe familial constitué d'amis, ou un groupe ouvert au public.
En fait dans mon idée il ne s'agit pas de se centrer sur le pb "la fessée"
mais plutôt sur les solutions, "qu'est-ce qu'on peut faire d'autre ?" C'est bien
beau d'être opposé à la fessée, mais qu'est-ce qu'on peut faire à la place ?
On peut en faire une base de travail pour cette journée. Quel que soit notre
degrés d'engagement, et notre capacité à ne plus en donner, ou bien notre
savoir en la matière. On peut créer des liens avec d'autres familles, simplement
sur le thème que peut-on faire d'autres ? avez-vous des idées, nos enfants
méritent que l'on y pense.
On ne peut pas entrer (à mon avis) dans une polémique autour de la fessée,
cela pourrait durer des jours et ce n'est pas tellement l'objectif. L'idée c'est
de partager nos pratiques, et si on ne se sent pas très sûr, cela peut nous
donner des idées en tant qu'animateur.
Le parent qui anime n'est pas celui qui sait, mais plutôt celui qui
accompagne.
Ce qui est intéressant c'est le but : Organiser notre soutien en tant que
parent dans nos régions sur cette base, ça va peut-être marcher.
Il y a des associations comme Coeur de familles-Tarbes, Le Zèbre Zen,
Clés pour l'enfance, et d'autres petites structures qui vont sûrement en
profiter pour lancer un travail régulier sur ce thème. Et c'est très positif.
Les
parents ont besoin de groupes qui vont les aider à aller contre les impulsions
de violence auxquelles nous faisons tous face.
Il y a ceux qui vont diffuser l'info comme peau à peau. Mais il pourrait
aussi y avoir des familles qui ce soir là organise un repas, ou un goûter dans
l'après midi simplement pour évoquer ce thème : Comment poser les limites à nos
enfants ? Et peut-être si on se sent proche, comment nos parents les ont-ils
posé avec nous ?
Vous savez quoi ? Je pense que le changement viendra de nous les parents. Si
on fait tous quelque chose de notre côté, je suis absolument certaine que cela
fera couler des tas de petits ruisseaux plein de vitalité. J'espère que vous
ferez quelque chose en tout cas !
Catherine Dumonteil Kremer
www.lamaisondelenfant.org
je vous rappelle qu'une journée pour exclure la fessée de nos pratiques
éducatives sera organisée par les personnes qui le souhaitent le 17 avril 2004 à
l'initiative de La Maison de L'Enfant. (C'est un samedi.)
Dans ce but, nous allons élaborer un tract A4 recto verso téléchargeable sur
divers site, les personnes qui voudront participer pourront le diffuser par
email ou faire des photocopies.
Dans différentes régions de France des groupes sur le thème "pose de limites
respectueuses" seront organisés, et animés par des parents volontaires,
rattachés ou pas à des associations.
Les parents quelquefois hésitent à animer un groupe, dans ce but j'ai préparé
deux plans qui seront peut-être utile, sachant que chacun est libre de faire
ce qu'il souhaite dans la mesure où il s'agit bien d'évoquer nos difficultés à
poser des limites sans culpabiliser les parents, et de partager ce qui
fonctionne chez nous.
J'aimerais réunir des données sur chaque groupe, le nombre de participants
(pas leur nom en revanche), et la méthode choisie pour travailler, afin que l'an
prochain nous puissions demander des subventions dans le but de faire plus de
publicité à cette journée.
Si vous avez des idées pour prévenir les médias. On pourra toujours
solliciter la presse régionale.
Il me semble que tout le monde est capable d'organiser un groupe. ça peut
être un groupe familial constitué d'amis, ou un groupe ouvert au public.
En fait dans mon idée il ne s'agit pas de se centrer sur le pb "la fessée"
mais plutôt sur les solutions, "qu'est-ce qu'on peut faire d'autre ?" C'est bien
beau d'être opposé à la fessée, mais qu'est-ce qu'on peut faire à la place ?
On peut en faire une base de travail pour cette journée. Quel que soit notre
degrés d'engagement, et notre capacité à ne plus en donner, ou bien notre
savoir en la matière. On peut créer des liens avec d'autres familles, simplement
sur le thème que peut-on faire d'autres ? avez-vous des idées, nos enfants
méritent que l'on y pense.
On ne peut pas entrer (à mon avis) dans une polémique autour de la fessée,
cela pourrait durer des jours et ce n'est pas tellement l'objectif. L'idée c'est
de partager nos pratiques, et si on ne se sent pas très sûr, cela peut nous
donner des idées en tant qu'animateur.
Le parent qui anime n'est pas celui qui sait, mais plutôt celui qui
accompagne.
Ce qui est intéressant c'est le but : Organiser notre soutien en tant que
parent dans nos régions sur cette base, ça va peut-être marcher.
Il y a des associations comme Coeur de familles-Tarbes, Le Zèbre Zen,
Clés pour l'enfance, et d'autres petites structures qui vont sûrement en
profiter pour lancer un travail régulier sur ce thème. Et c'est très positif.
Les
parents ont besoin de groupes qui vont les aider à aller contre les impulsions
de violence auxquelles nous faisons tous face.
Il y a ceux qui vont diffuser l'info comme peau à peau. Mais il pourrait
aussi y avoir des familles qui ce soir là organise un repas, ou un goûter dans
l'après midi simplement pour évoquer ce thème : Comment poser les limites à nos
enfants ? Et peut-être si on se sent proche, comment nos parents les ont-ils
posé avec nous ?
Vous savez quoi ? Je pense que le changement viendra de nous les parents. Si
on fait tous quelque chose de notre côté, je suis absolument certaine que cela
fera couler des tas de petits ruisseaux plein de vitalité. J'espère que vous
ferez quelque chose en tout cas !
Catherine Dumonteil Kremer
www.lamaisondelenfant.org