Je ne fais pas la différence, je crois.
Exemple : besoin d'apprendre ou envie d'apprendre???
Peut-être peut-on aussi se dire que l'on doit combler au mieux leurs
envies ?
Chez moi, un déclic s'est fait quand j'ai changé toutes les phrases du
genre "tu m'énerves" en un "je m'énerve".
Je dis ca par rapport à ta phrase "les gosses vont me faire exploser".
En ce qui me concerne, je me suis apercue que je ne suis pas une bombe
à retardement avec un mécanisme connu. C'est moi qui explose. Pas les
autres qui me font exploser. J'explose à cause du trop de ceci et de
cela. Pas à cause d'une seule chose.
y'a la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Mais le vase, il a été
rempli par d'autres choses avant.
Mes parents, mon histoire passée, mon boulot, etc... tout ca verse des
litres dans mon vase. Et mon petit arrive et met une ou deux gouttes.
Mais bam, c'était pas le moment.
Il ne mérite pas ca. Je lui demande de la compréhension alors que c'est
moi qui la lui dois.. Dur dur.
Alors j'ai entrepris d'écoper les litres, pour que les gouttes d'eau de
mon fils ne me fassent plus déborder.
Au début, j'avais une écope à trou, une toute petite cuillère.
Aujourd'hui, j'ai mieux : des livres ressources ("au coeur des émotions
de l'enfant" d'isabelle filliozat, surtout), ce groupe ici surtout au
début, il y a un an et demi (le groupe parents conscients, NDLR), une psy (depuis 2 mois, avec qui je découvre plein de trucs à toute allure).
Et je rends à César ce qui est à César. doucement mais sûrement.
à ma mère, à mon père, à ma soeur, à mes études, ....
Et la question besoin ou envie se pose de moins en moins, et se
transforme de plus en plus en la question de mes limites (je peux, je
ne peux pas ?).
mon fils ne me fassent plus déborder.
Au début, j'avais une écope à trou, une toute petite cuillère.
Aujourd'hui, j'ai mieux : des livres ressources ("au coeur des émotions
de l'enfant" d'isabelle filliozat, surtout), ce groupe ici surtout au
début, il y a un an et demi (le groupe parents conscients, NDLR), une psy (depuis 2 mois, avec qui je découvre plein de trucs à toute allure).
Et je rends à César ce qui est à César. doucement mais sûrement.
à ma mère, à mon père, à ma soeur, à mes études, ....
Et la question besoin ou envie se pose de moins en moins, et se
transforme de plus en plus en la question de mes limites (je peux, je
ne peux pas ?).