L’activité psychique du mélancolique est ralentie d’où la fixité et la pauvreté des idées, des sentiments, des mouvements. L’atteinte de l’intelligence se manifeste par un ralentissement ou même un arrêt des idées. L’attention n’est pas supprimée, mais elle est réduite et égocentrique. Le trouble de la mémoire consiste dans une lenteur d’évocation ; l’imagination est terne, pauvre ; les associations sont peu accusées.
Le mélancolique est bien orienté, il est toujours présent, mais il a souvent des idées délirantes, d’indignité, d’auto-accusation, de malheur. Ses perceptions sont parfois diminués : perte de la vision mentale externe et interne, et parfois perverties, d’où apparition d’illusions et de troubles de l’anesthésie. Le mélancolique n’a que très rarement des hallucinations. L’hypo activité de la fonction affective se traduit par un ralentissement ou un arrêt des sentiments.
Fuyant la société, il se replie sur lui-même, il ne s’intéresse qu’à lui, ne pense qu’à ses maux, est sans cesse en proie à une vive douleur morale, allant parfois jusqu’à l’anxiété et à l’angoisse. A volonté du mélancolique est affaiblie et des notions parasites s’installent dans son esprit : obsession, phobies, impulsions…
Le diagnostic de mélancolie se fait en écoutant le malade parler, en observant ses gestes ; la parole est tardive, lente, monotone. Ce sont souvent des plaintes et des gémissements avec des onomatopées, des exclamations, des phrases inachevées tout à fait significatives et répétées constamment : « Oh », « Ah mon Dieu » … La mélancolie se manifeste également par des signes généraux, insomnie, oligurie, troubles digestifs, chez la femme, le cycle cataménial provoque souvent l’apparition des crises.
Le mélancolique est bien orienté, il est toujours présent, mais il a souvent des idées délirantes, d’indignité, d’auto-accusation, de malheur. Ses perceptions sont parfois diminués : perte de la vision mentale externe et interne, et parfois perverties, d’où apparition d’illusions et de troubles de l’anesthésie. Le mélancolique n’a que très rarement des hallucinations. L’hypo activité de la fonction affective se traduit par un ralentissement ou un arrêt des sentiments.
Fuyant la société, il se replie sur lui-même, il ne s’intéresse qu’à lui, ne pense qu’à ses maux, est sans cesse en proie à une vive douleur morale, allant parfois jusqu’à l’anxiété et à l’angoisse. A volonté du mélancolique est affaiblie et des notions parasites s’installent dans son esprit : obsession, phobies, impulsions…
Le diagnostic de mélancolie se fait en écoutant le malade parler, en observant ses gestes ; la parole est tardive, lente, monotone. Ce sont souvent des plaintes et des gémissements avec des onomatopées, des exclamations, des phrases inachevées tout à fait significatives et répétées constamment : « Oh », « Ah mon Dieu » … La mélancolie se manifeste également par des signes généraux, insomnie, oligurie, troubles digestifs, chez la femme, le cycle cataménial provoque souvent l’apparition des crises.
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