Plus tard, un autre médecin français, Jean-Baptiste Charcot, donna le nom de « maladie de Parkinson » à cette maladie qui est neurologique et dégénérative, tout comme la maladie d’Alzheimer. La maladie évolue en trois étapes dont la longueur et les caractéristiques diffèrent d’un individu à un autre. Il y a d’abord une période de vie allant de 3 à 6 ans voire 8 ans où les traitements appliqués face aux premiers symptômes se révèlent très efficaces. Elle est appelée la « lune de miel ». Ensuite, les symptômes deviennent plus présents et atteignent d’autres membres, si auparavant ils étaient unilatéraux. Enfin, le dernier stade est celui ou les traitements n’ont plus d’effets. Le malade sera généralement confiné sur un fauteuil roulant.
Les causes de la maladie n’ont, à ce jour, pas encore été déterminées avec précision. Seules quelques hypothèses ont été émises : une origine génétique ou encore chimique. Rien n’a encore été formellement prouvé.
Les causes de la maladie n’ont, à ce jour, pas encore été déterminées avec précision. Seules quelques hypothèses ont été émises : une origine génétique ou encore chimique. Rien n’a encore été formellement prouvé.
On estime que le nombre de personnes touchées par cette affection en Europe est inférieur à 0,2%, et encore moins à l’échelle mondiale ; mais les chiffres sont en hausse. Cette statistique ne considère d’ailleurs que les cas déclarés et recensés. La maladie de Parkinson ne touche en général que les personnes du troisième âge ; elle est exceptionnelle chez les moins de 40 ans. Des statistiques, certes controversées, indiquent que les hommes sont plus nombreux parmi les victimes.
En outre, en France, l’Agence nationale d'accréditation et d'évaluation en santé (ANAES) affirme que le diagnostique de la maladie est à remettre en cause constamment. Certains troubles de l’organisme humain ramènent, en effet, facilement au Parkinson.
Malheureusement, aucun traitement curatif n’a encore été révélé aujourd’hui. Les traitements consistent surtout à diminuer les effets moteurs des symptômes nommés « triade symptomatiques », c'est-à-dire les tremblements, la lenteur des mouvements (l'akinésie) et la rigidité (l'hypertonie).
De ce fait, les membres de la famille ou les proches des personnes atteintes de la maladie de Parkinson ont un rôle important à jouer dans la vie de ces derniers car, faute d’espoir de guérison, il ne leur reste plus que le soutien et les encouragements de leurs amis et parents pour pouvoir encore sourire à la vie.
En outre, en France, l’Agence nationale d'accréditation et d'évaluation en santé (ANAES) affirme que le diagnostique de la maladie est à remettre en cause constamment. Certains troubles de l’organisme humain ramènent, en effet, facilement au Parkinson.
Malheureusement, aucun traitement curatif n’a encore été révélé aujourd’hui. Les traitements consistent surtout à diminuer les effets moteurs des symptômes nommés « triade symptomatiques », c'est-à-dire les tremblements, la lenteur des mouvements (l'akinésie) et la rigidité (l'hypertonie).
De ce fait, les membres de la famille ou les proches des personnes atteintes de la maladie de Parkinson ont un rôle important à jouer dans la vie de ces derniers car, faute d’espoir de guérison, il ne leur reste plus que le soutien et les encouragements de leurs amis et parents pour pouvoir encore sourire à la vie.
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