Ces tests permettront aux forces de l'ordre de détecter sur-le-champ la prise de stupéfiants par un conducteur.
Le but d’un tel dispositif est de réduire le nombre de décès liés à la consommation de drogue. Actuellement, 230 décès par an ont pour origine la consommation de stupéfiants.
Actuellement Les Forces de l'ordre, police et gendarmerie, pratiquent systématiquement des dépistages de substances ou de plantes rentrant dans la catégorie des stupéfiants uniquement lorsqu'un conducteur est impliqué dans un homicide involontaire ou lorsque, dans un accident corporel, le comportement du conducteur laisse supposer qu'il ou elle a consommé de la drogue.
La conduite sous l’emprise de drogues est dangereuse pour le conducteur mais aussi pour les autres usagers de la route. Par exemple, les fumeurs de cannabis multiplient par deux la probabilité d'avoir un accident mortel.Le contrevenant risque une peine de deux ans de prison, 4 500 euros d'amende et six points sur le permis.
Ce dispositif sera donc largement étendu.
En pratique, la salive de l'automobiliste va être recueillie au moyen d'un bâtonnet.
La couleur changera si des traces de drogue sont détectées. En cas de réaction positive, ce test sera complété par une prise de sang effectuée en milieu médical afin de confirmer la présence de stupéfiants et d'en déterminer la nature,
Ce dispositif est appelé à remplacer les tests urinaires actuellement en vigueur et longs à réaliser.
En 10 minutes, les forces de l'Ordre peuvent savoir s'il y a eu effectivement absorption de stupéfiants, et également de quelle substance il s'agit : cannabis, amphétamines, ecstasy, héroïne, cocaïne ou LSD.
2 problèmes de taille subsistent cependant.
Premièrement ; la loi ne reconnait pas l’utilisation de la salive comme prélèvement pour tester la présence de stupéfiants
Et deuxièmement, selon certains spécialistes, bien que le test soit fonctionnel, il manque de sensibilité et pourrait ne détecter qu’un consommateur de drogue sur 2 !
Le but d’un tel dispositif est de réduire le nombre de décès liés à la consommation de drogue. Actuellement, 230 décès par an ont pour origine la consommation de stupéfiants.
Actuellement Les Forces de l'ordre, police et gendarmerie, pratiquent systématiquement des dépistages de substances ou de plantes rentrant dans la catégorie des stupéfiants uniquement lorsqu'un conducteur est impliqué dans un homicide involontaire ou lorsque, dans un accident corporel, le comportement du conducteur laisse supposer qu'il ou elle a consommé de la drogue.
La conduite sous l’emprise de drogues est dangereuse pour le conducteur mais aussi pour les autres usagers de la route. Par exemple, les fumeurs de cannabis multiplient par deux la probabilité d'avoir un accident mortel.Le contrevenant risque une peine de deux ans de prison, 4 500 euros d'amende et six points sur le permis.
Ce dispositif sera donc largement étendu.
En pratique, la salive de l'automobiliste va être recueillie au moyen d'un bâtonnet.
La couleur changera si des traces de drogue sont détectées. En cas de réaction positive, ce test sera complété par une prise de sang effectuée en milieu médical afin de confirmer la présence de stupéfiants et d'en déterminer la nature,
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En 10 minutes, les forces de l'Ordre peuvent savoir s'il y a eu effectivement absorption de stupéfiants, et également de quelle substance il s'agit : cannabis, amphétamines, ecstasy, héroïne, cocaïne ou LSD.
2 problèmes de taille subsistent cependant.
Premièrement ; la loi ne reconnait pas l’utilisation de la salive comme prélèvement pour tester la présence de stupéfiants
Et deuxièmement, selon certains spécialistes, bien que le test soit fonctionnel, il manque de sensibilité et pourrait ne détecter qu’un consommateur de drogue sur 2 !
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