Le hoquet est un réflexe, et comme toutes les réflexes, possède des voies afférentes centripètes et des voies efférentes centrifuges.
Les voies centripètes peuvent être le sympathique au cours des affections cardiaques, mais surtout le nerf pneumogastrique, qui peut être mis en œuvre par des excitations, partant de l’abdomen dans la région du sous diaphragmatique ou du thorax dans la région sus diaphragmatique. Les excitations proviennent le plus souvent de l’estomac, chez les nourrissons après une tétée trop copieuse, ingestion d’aliments trop chauds ou trop froids, accessoirement de l’intestin à cause des vers intestinaux ou du péritoine et enfin, des organes génitaux de la femme. Quelques fois, les excitations peuvent être aussi thoraciques.
Quant à la voie centrifuge, elle est représentée par le nerf phrénique, qui est le nerf moteur du diaphragme. Pendant l’hiver, on observe de nombreux cas de hoquet épidémique à type incoercible, rythmique, durant quelques heures à plusieurs jours, s’interrompant d’ordinaire au cours du sommeil, cessant sans laisser de séquelle appréciable. On a considéré ce hoquet comme une forme fruste de l’encéphalite épidémique, mais il est certain qu’un grand nombre des cas de hoquet avaient été déclenchés par les articles affolants des grands quotidiens.
Pour l’arrêter, immobilisation volontaire du diaphragme, soit en inspirant, soit en expiration. Divers procédés tendent à ce but : absorption d’un verre d’eau à petites gorgées et sans respirer, constriction du thorax à l’aide d’une ceinture, flexion forcée des cuisses sur l’abdomen, maintien de la langue hors de la bouche pendant quelques minutes. Compression du nerf phrénique en enfonçant le pouce entre les deux attaches inférieures du muscle au dessus du sternum.
Les voies centripètes peuvent être le sympathique au cours des affections cardiaques, mais surtout le nerf pneumogastrique, qui peut être mis en œuvre par des excitations, partant de l’abdomen dans la région du sous diaphragmatique ou du thorax dans la région sus diaphragmatique. Les excitations proviennent le plus souvent de l’estomac, chez les nourrissons après une tétée trop copieuse, ingestion d’aliments trop chauds ou trop froids, accessoirement de l’intestin à cause des vers intestinaux ou du péritoine et enfin, des organes génitaux de la femme. Quelques fois, les excitations peuvent être aussi thoraciques.
Quant à la voie centrifuge, elle est représentée par le nerf phrénique, qui est le nerf moteur du diaphragme. Pendant l’hiver, on observe de nombreux cas de hoquet épidémique à type incoercible, rythmique, durant quelques heures à plusieurs jours, s’interrompant d’ordinaire au cours du sommeil, cessant sans laisser de séquelle appréciable. On a considéré ce hoquet comme une forme fruste de l’encéphalite épidémique, mais il est certain qu’un grand nombre des cas de hoquet avaient été déclenchés par les articles affolants des grands quotidiens.
Pour l’arrêter, immobilisation volontaire du diaphragme, soit en inspirant, soit en expiration. Divers procédés tendent à ce but : absorption d’un verre d’eau à petites gorgées et sans respirer, constriction du thorax à l’aide d’une ceinture, flexion forcée des cuisses sur l’abdomen, maintien de la langue hors de la bouche pendant quelques minutes. Compression du nerf phrénique en enfonçant le pouce entre les deux attaches inférieures du muscle au dessus du sternum.
Mots clé : hoquet, reflexe, reflexes, abdomen, thorax, glotte, diaphragme, sternum, estomac, excitation, excitations, voies centripetes, voie centripete, hiver, sommeil, nerf pneumogastrique
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