A Paris, le monde de l’audiovisuel n’en a connu de pareil de puis 1974, après l’éclatement de l’ORTF (Office de Radiodiffusion Télévision Française) selon l’observation des direction des chaîne, les syndicats de l’audiovisuel public ont appelé à une grève sans précédent. Cela après l’annonce du président N. Sarkozy de la suppression de la publicité sur les antennes publiques. L’arrêt de travail réunit la France Télévisions, Radio France, la RFI et TV5 Monde. Une grève dont le pourcentage des grévistes allait de 38% pour France 2 contre 56% pour France 3, des mouvements délocalisés partout en France selon la région et qui promet de s’intensifier ; le journal télévisé étant déjà annulé pour France 2 ou remplacés par des reportages des stations régionales pour France 3, pour TV5 Monde, déjà 7 salariés sur 10 sont en grève.
Après avoir été reçu Mardi à l’Elysée, le porte-parole de l’Elysée David Martinon a déclaré que « ces reformes visaient à développer le service public centré sur ses missions de service public financé par son importance. » Le Gouvernement rassurant prévoit qu’il n’est pas question de fragiliser le service public de l’audiovisuel. Or là n’est pas la question, la problématique qui se pose pour ces syndicalistes est de trouver ses ressources nécessaires sans les publicités d’autant plus que le président ne prévoit pas d’augmenter les redevances. Pour l’intersyndicale, une des exigences syndicales est la pérennité du service public audiovisuel or sans augmentation progressive de la redevance est égale à l’absence de financement pérenne. Avec deux champs de vision divergentes du développement de l’audiovisuel public entre le gouvernement et les syndicats, c’est une histoire qui est loin d’être terminée.
Après avoir été reçu Mardi à l’Elysée, le porte-parole de l’Elysée David Martinon a déclaré que « ces reformes visaient à développer le service public centré sur ses missions de service public financé par son importance. » Le Gouvernement rassurant prévoit qu’il n’est pas question de fragiliser le service public de l’audiovisuel. Or là n’est pas la question, la problématique qui se pose pour ces syndicalistes est de trouver ses ressources nécessaires sans les publicités d’autant plus que le président ne prévoit pas d’augmenter les redevances. Pour l’intersyndicale, une des exigences syndicales est la pérennité du service public audiovisuel or sans augmentation progressive de la redevance est égale à l’absence de financement pérenne. Avec deux champs de vision divergentes du développement de l’audiovisuel public entre le gouvernement et les syndicats, c’est une histoire qui est loin d’être terminée.
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