La meilleure manière que j’ai trouvée pour répondre à cette question est d’aller sur Google et de taper cyber-politique. Dans la liste des recherches, le premier site portait un nom étrange ; « zlog.fr », un site hébergeant des zlogs !!!! Tout d’abord, soyez heureux, voilà un nouveau terme à retenir. Pour la petite histoire il suit une certaine tradition qui veut qu’à chaque fois qu’un truc ressemble à un blog on essaye de former son nom à partir du mot blog comme les flogs, les blooks, les vlogs et les plogs.
Mais plus sérieusement, kezako un zlog ? Les zlogs, ou cyber-mouvements, sont tout bonnement des partis politiques virtuels. Les visiteurs peuvent ainsi réagir aux articles du zloggeur sur le forum ou voter dans les sondages que celui-ci crée. Le président du zlog est élu la plupart du temps par ses membres. Son créateur peut donc se voir retirer ses droits.
Mais plus sérieusement, kezako un zlog ? Les zlogs, ou cyber-mouvements, sont tout bonnement des partis politiques virtuels. Les visiteurs peuvent ainsi réagir aux articles du zloggeur sur le forum ou voter dans les sondages que celui-ci crée. Le président du zlog est élu la plupart du temps par ses membres. Son créateur peut donc se voir retirer ses droits.
En plus d’un président le zlog a souvent une hiérarchie complexe (administrateurs, forumeurs, modérateurs, etc) ainsi il n’est pas nécessaire de l’avoir créé pour pouvoir y écrire un article ou y avoir un pouvoir.
La communauté des zlogs est très différente de celle des blogs. Les zlogs sont plus connectés les uns aux autres. En effet, leur but est plus d’être actifs et de posséder des discussions intéressantes plutôt que d’avoir un grand nombre de visiteurs. Ainsi ils s’entraident souvent de manière à attirer les visiteurs d’un zlog vers un autre grâce à des partenariats. Les zlogs sont classés par nombre d’adhérents. Le but premier n’est donc pas d’être lu mais d’avoir des participants et des débats intéressants.
On remarque également qu’ils ont une gamme d’options impressionnante. Le zloggeur peut en effet créer un forum, un espace d’articles et d’actualité (exactement comme sur un blog), des sondages, une newsletter, un journal interne, attribuer des droits à un membre, fusionner avec un autre zlog.
La communauté des zlogs est très différente de celle des blogs. Les zlogs sont plus connectés les uns aux autres. En effet, leur but est plus d’être actifs et de posséder des discussions intéressantes plutôt que d’avoir un grand nombre de visiteurs. Ainsi ils s’entraident souvent de manière à attirer les visiteurs d’un zlog vers un autre grâce à des partenariats. Les zlogs sont classés par nombre d’adhérents. Le but premier n’est donc pas d’être lu mais d’avoir des participants et des débats intéressants.
On remarque également qu’ils ont une gamme d’options impressionnante. Le zloggeur peut en effet créer un forum, un espace d’articles et d’actualité (exactement comme sur un blog), des sondages, une newsletter, un journal interne, attribuer des droits à un membre, fusionner avec un autre zlog.
Toutes ces fonctionnalités ont pour but d’aider le zloggeur à rendre son espace plus actif et à conserver sa communauté. La fidélisation étant la première des clefs du succès d’un zlog.
Le problème est que ces cyber-partis sont nombreux. On a bien entendu un moteur de recherche assez bien fait qui est là pour nous aider mais il faut l’avouer, on se perd un peut entre les programmes des uns et des autres. Or si vous voulez participer aux débats il faut « choisir votre camps ». Pour palier au problème et ne pas larguer les nouveaux venus, les créateurs de ce système est mis au point un « macro-forum » qui permets de participer aux discussions de la plupart des zlogs sans qu’on ai besoin d’y adhérer.
En plus, les partis réels, toujours en quête de publicité, ont décidés eux aussi de prendre le coche. Ainsi on trouve ainsi l’UMP, le PS et même le tout nouveau MODEM. Mais ceux-ci ne sont pas dirigés par des personnalités politiques comme Hollande bien entendu.
Ajoutons pour finir, que d’autres sites sont en train de développer des services similaires. Et on voit de plus en plus des partis politiques virtuels se développer surtout sur les wikis et sous la forme de blogs. Reste à savoir s’il s’agit d’un phénomène passager ou si demain on zloggera comme on bloggue...
Le problème est que ces cyber-partis sont nombreux. On a bien entendu un moteur de recherche assez bien fait qui est là pour nous aider mais il faut l’avouer, on se perd un peut entre les programmes des uns et des autres. Or si vous voulez participer aux débats il faut « choisir votre camps ». Pour palier au problème et ne pas larguer les nouveaux venus, les créateurs de ce système est mis au point un « macro-forum » qui permets de participer aux discussions de la plupart des zlogs sans qu’on ai besoin d’y adhérer.
En plus, les partis réels, toujours en quête de publicité, ont décidés eux aussi de prendre le coche. Ainsi on trouve ainsi l’UMP, le PS et même le tout nouveau MODEM. Mais ceux-ci ne sont pas dirigés par des personnalités politiques comme Hollande bien entendu.
Ajoutons pour finir, que d’autres sites sont en train de développer des services similaires. Et on voit de plus en plus des partis politiques virtuels se développer surtout sur les wikis et sous la forme de blogs. Reste à savoir s’il s’agit d’un phénomène passager ou si demain on zloggera comme on bloggue...
Le Web 2.0 ! On ne parle que de ça. Et parmi les termes qui l’accompagnent il y a souvent cyber-démocratie et cyber-politique. Mais à l’heure ou tout particulier peut créer un site Web (blog), peut-on vraiment participer à la vie citoyenne de son pays, sa ville, sa région grâce à Internet ? Et y a-t-il une politique qui existe sur la Toile ? Enfin, quelle est la qualité de cette cyber-politique ?
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