Après la lecture de la lettre de Guy Moquet, communiste dans les lycées de France, Nicolas Sarkozy demande à chaque élève de CM2 de perpétuer la mémoire d’un des 11 000 enfants français morts victimes de la SHOAH lors du dîner du CRIF (Conseil Représentatif des Institution Juives de France) : "J'ai demandé au gouvernement, et plus particulièrement au ministre de l'Education nationale, Xavier Darcos, de faire en sorte que, chaque année, à partir de la rentrée scolaire 2008, tous les enfants de CM2 se voient confier la mémoire d'un des 11.000 enfants français victimes de la Shoah", a déclaré M. Sarkozy.
Or dans les classe de CM2, les élèves ont déjà pas mal de connaissances sur cette histoire, quelque faits comme la déportation dans les camps de concentration, les gaz asphyxiants mais sûrement pas leur nom. En effet, pour le président français, se souvenir d’un nom est l’acte le plus commémoratif qu’il soit, il leur est indiqué de faire un petite recherche sur la famille et les évènements passés sur la vie de l’enfant. L’enseignement de la SHOA sera au programme du CM2.
Sur le plan psychologique, les enfants sont ils assez mature pour recevoir un tel apprentissage ?
Selon les spécialistes, le « risque psychologique » est évident, l’histoire est trop lourde à porter à cet âge là et les enfants ne sont pas prêts. En revanche, c’est un travail qui peut se faire en groupe, en classe selon, Frédéric Kochman en tête d’une unité pour les préadolescents et adolescents à Lille. Il est vrai que l’enseignement de l’histoire est primordial mais elle ne peut s’imposer dès le plus jeune âge par une approche pédagogique propre aux élèves : au primaire, secondaire ou universitaire.
Or dans les classe de CM2, les élèves ont déjà pas mal de connaissances sur cette histoire, quelque faits comme la déportation dans les camps de concentration, les gaz asphyxiants mais sûrement pas leur nom. En effet, pour le président français, se souvenir d’un nom est l’acte le plus commémoratif qu’il soit, il leur est indiqué de faire un petite recherche sur la famille et les évènements passés sur la vie de l’enfant. L’enseignement de la SHOA sera au programme du CM2.
Sur le plan psychologique, les enfants sont ils assez mature pour recevoir un tel apprentissage ?
Selon les spécialistes, le « risque psychologique » est évident, l’histoire est trop lourde à porter à cet âge là et les enfants ne sont pas prêts. En revanche, c’est un travail qui peut se faire en groupe, en classe selon, Frédéric Kochman en tête d’une unité pour les préadolescents et adolescents à Lille. Il est vrai que l’enseignement de l’histoire est primordial mais elle ne peut s’imposer dès le plus jeune âge par une approche pédagogique propre aux élèves : au primaire, secondaire ou universitaire.
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