La solidarité ou la légende noire contre l’histoire sainte
L’Amérique était pour les Européens à sa découverte d’une véritable splendeur. Sa population était généreuse, douce et innocente. Mais plus tard, ces êtres si doux se sont transformé en de bêtes féroces. Les Indiens naturellement saints sont devenus plein de cruauté. L’émergence du Tiers Monde apparaît en Europe comme la découverte de ce continent nouveau dans le mappemonde en 1492, et l’insurrection de ces pays dans leur colonisation est pour les Européens un « grand réveil » de ces populations. L’héritage maudit de l’époque coloniale devenait soudain autant de péninsules fabuleuses. Pour les Tiers mondistes, le monde se divise non pas en 5 continents mais en 2 : celui qui gagne à tous les coups et celui qui perd toujours et toujours ainsi que la façon de concevoir le Tiers Monde.
L’Amérique devenant cruelle et inhumaine procédait d’une injustice fondamentale. Le défi américain devenait le méfait américain. Il n’y avait qu’un « american way of death ». L’Américain était maudit en raison de sa déviation minuscule qu’il représentait vis à vis de l’Européens, frère d’ennemi presque semblable. En conséquence, l’Europe devenait un nouveau département du Tiers Monde. On accorde un prix d’excellence systématique aux anciens colonisés. Par conte les Occidentaux sont qualifiés de mal et maudit.
A l’intérieur même du Tiers Mondisme, l’universalisme reconnaît la spécificité culturelle des peuples en voie de libération. Mais on oubliera vite que le droit à la diversité avait été revendiqué par les anticolonialistes pour adjurer l’Europe à se retirer. Bref, la mauvaise conscience orient le regard qu’on porte sur le Tiers Monde, surtout depuis la fin de la guerre d’Algérie. Elle a crée le tiers mondisme, une idéologie désignant l’Europe et l’Amérique comme la cause unique de tout ce qui est négatif dans l’histoire. C’est elle encore qui oppose au Sud radieux, peuplé d’agneaux et de martyres à un Nord rapace habité de loups et de monstres.
L’Amérique devenant cruelle et inhumaine procédait d’une injustice fondamentale. Le défi américain devenait le méfait américain. Il n’y avait qu’un « american way of death ». L’Américain était maudit en raison de sa déviation minuscule qu’il représentait vis à vis de l’Européens, frère d’ennemi presque semblable. En conséquence, l’Europe devenait un nouveau département du Tiers Monde. On accorde un prix d’excellence systématique aux anciens colonisés. Par conte les Occidentaux sont qualifiés de mal et maudit.
A l’intérieur même du Tiers Mondisme, l’universalisme reconnaît la spécificité culturelle des peuples en voie de libération. Mais on oubliera vite que le droit à la diversité avait été revendiqué par les anticolonialistes pour adjurer l’Europe à se retirer. Bref, la mauvaise conscience orient le regard qu’on porte sur le Tiers Monde, surtout depuis la fin de la guerre d’Algérie. Elle a crée le tiers mondisme, une idéologie désignant l’Europe et l’Amérique comme la cause unique de tout ce qui est négatif dans l’histoire. C’est elle encore qui oppose au Sud radieux, peuplé d’agneaux et de martyres à un Nord rapace habité de loups et de monstres.
La pitié ou l’épanchement du démocrate hémophile
La famine polaroïd : Face à la famine des populations du Tiers Monde, les Européens se sentent coupables de manger à leur faim et de satisfaire leur besoin nutritionnel dont les médias diffusent quotidiennement dans télévision et radios « avec petit écran, l’horreur elle même devient digestible et n’est plus mandatée à surprendre. Mais l’importance de l’objectif qui est d’éradiquer la famine est si énorme qu’on en peut faire un seul dans a direction. Bref tout se passe somme si quotidiennement on enlevait le pain de la bouche des plus pauvres. Vis à vis du Tiers Monde, alors les Européens sont passés d’un tragique de l’ignorance à un tragique de ressassement.
De l’homme accusé à l’homme discipliné : certes, l’écart économique entre les pays industrialisé et les pays du Tiers Monde est considérable, mais n’exclue pas ces pays du modernisme mais à la haine des Occidentaux. Ainsi naquit la fortune dans le malaise. D’autre part la rapidité de l’information et la mondialisation instantanée obligent les Européens de vivre en contemporain des malheurs des autres. Sous la honte qu’ils suscitent, la banalité redevient attrayante. Le désordre absolu du Sud donne l’image d’un paradis septentrional qu’il faut à tout prix sauver.
Des scènes sociales dans le Tiers Monde animés par les autochtones et les étrangers. En effet, cela concerne l’Orient ; plus précisément L’Inde. E n fait, L’Inde qui fait partie du Tiers Monde accuse les Européens d’être le responsable de leur situation économique et justement ces Européens ont eu des remords sur leurs actes dans ces pays. Certes, il y a des impositions par ces Européens mais il faut remettre en cause les problèmes d’identité connue par ces Tiers Monde.
En 1926, en Birmanie, la conversation des hommes s’ouvre sur la santé de l’empire Britannique comme à l’accoutumer. Chaque participant essai de donner ses propres avis. Certes ces idées sont contradictoires comme le plupart des temps. En fait, 3 hommes exposent leurs avis sur la politique Britannique dans l’outre mer. L’un est Indien, docteur de son Etat affirme que les étrangers ont apporté des effets positifs pour lui, il insiste même que sans ces interventions, son pays en serait resté au Moyen Age. Pour l’autre qui est un Européen, lui rappelle que les étrangers plus précisément ; les Britanniques ne sont pas là juste les rançonner mais il y a également les contre parties. Or pour le dernier qui est un Anglais accuse le sien comme des racistes et vulgaires,puis il les caractérise que les affaires des Britanniques comme des affaires de gros sous et non d’éducation. C’est aussi l’alliance des banques, introduction des maladies vénériennes.
Par ailleurs, Ibn Khaldoun, le grand homme d’état présente aussi son analyse que l’irrespect du monde impérialiste plus précisément l’Occident quia balayé les tabous et les coutumes pour sa suprématie qui n’est devenu que source de ses malheurs. Le Tiers Monde a ainsi inspiré deux idées de ressourcement ; la première a vu en lui les chances d’une nouvelle attitude du socialisme ; la seconde, différentialiste a salué dans ces modes de vie le berceau spirituel où l’Europe matérialiste devait retremper. Dès lors les Européens doivent non seulement faire un échange d’influence mais l’étude de leurs doctrines, la conversation de leurs dogmes. Pourtant, il arrive dans une région peuplée, ainsi on classe tout de suite comme blanc, En fait pour des indigènes ou les Indiens, ce n’est pas la connaissance ou la dissertation savante qui compte mais son pouvoir d’achat. Et pour causes, un français même pauvre chez lui est encore plus riche que la moyenne.
En outre, les autochtones de l’Inde veulent imiter les Occidents pour qu’ils se différencient des autres. D’où ils se sentent alors dans une sphère plus haute que le sien. Ils sont vêtus de chemises et de pantalons à l’européenne avec d’argent, des machines. Ainsi ils sont plus européens que le blanc proprement dit, la civilisation matérialiste les a déjà corrompu. Bref pour l’Orient plus précisément l’Inde ; il y a la négation du soi même à part de la religion hindouisme qui est la seule à retenir. En effet les populations ne reconnaissent plus les traditions, ni les lois et surtout ils ne d’une société pour mettre en œuvre cette influence occidentale. Certes, ces étrangers ont connu des problèmes pour accéder à la maîtrise des pensées des Indiens mais ils ont fini à s’en sortir grâce à leurs dominations culturelles. En général l’Inde qui fait partie du Tiers Monde n’adopte qu’une face d’imposture européenne, donc le problème de Tiers Monde principalement
A part cela, il y a quand même l’attitude de ces Européens qui ont connu des remords. En fait ils reconnaissent qu’ils sont diaboliques qui émettent les malfaisances des Tiers Monde. En outre, les Tiers Monde ont la certitude que c’est encore chez eux que çà passe les enfants aux ventre ballonnés les nuages se sauterelles, les terribles sécheresse, les empoisonnement, les tueries. Donc, l’invasion des occidentaux a laissé beaucoup de trace .Devant ces problèmes, ces occidents avouent leur fautes et acceptent de toute l’horreur de Tiers Monde. Alors lorsqu’on change l’Occident des malheurs du Tiers Monde, on réunit 3 accusations : premièrement, ils sont responsables e l’effroyable génocide colonial sur les Indiens et les Noirs. Deuxièmement, leurs prospérités sont bâties sur les cadavres de millions d’indigènes. Ils ont détruit les structures sociales antérieures par la division de classe des sociétés industrielles et intellectuelles en appelant à la bourgeoisie de prendre en main leur destin. Donc, les intellectuels des pays du Sud sont coupables d’avoir été formé en Amérique ou en Europe. Leur connaissance ne peut que trahir la véritable Afrique et la profonde Asie.
Dans un autre terme, le Tiers Monde n’existe plus ; mais on réserve à ces pays le terme lorsqu’on refuse de les qualifier. Il existe même une publication ; qu’il n’est pas nécessaire de franchir les océans pour rencontrer le Tiers Monde. On le rencontre dans notre vie de tous les jours. Il est présent dans le café matinal, les vêtements qu’on porte. Ainsi le premier traître au Tiers Mondisme, c’est le Tiers Monde lui même qui ne s’est jamais conformé à ce qu’on lui présentait comme sa propre cause. Alors Jean ROUS qualifie que le Tiers Monde n’est ni u paradis, ni un enfer ; mais plutôt un monde nouveau. Par ailleurs, ces pays sont entrés dans la modernité en associant l’indépendance et la similitude.
En dernière version ; le tiers mondisme entretient une confusion constante entre la culpabilité et la responsabilité. Etre coupable suppose qu’il y a eu une faute précise mais responsable aussi parce qu’il y a une obligation de chaque homme envers tous. D’où les Européens avouent qu’ils ne sont pas coupables de famines du Tiers Monde mais responsables plutôt parce qu’il est le devoir de tout homme d’aider les autres à vivre. Pour solution ; ils proposent l’amour de l’autre homme selon une intimité avec le cœur plutôt qu’une intimité selon la couleur et le sang.
De l’homme accusé à l’homme discipliné : certes, l’écart économique entre les pays industrialisé et les pays du Tiers Monde est considérable, mais n’exclue pas ces pays du modernisme mais à la haine des Occidentaux. Ainsi naquit la fortune dans le malaise. D’autre part la rapidité de l’information et la mondialisation instantanée obligent les Européens de vivre en contemporain des malheurs des autres. Sous la honte qu’ils suscitent, la banalité redevient attrayante. Le désordre absolu du Sud donne l’image d’un paradis septentrional qu’il faut à tout prix sauver.
Des scènes sociales dans le Tiers Monde animés par les autochtones et les étrangers. En effet, cela concerne l’Orient ; plus précisément L’Inde. E n fait, L’Inde qui fait partie du Tiers Monde accuse les Européens d’être le responsable de leur situation économique et justement ces Européens ont eu des remords sur leurs actes dans ces pays. Certes, il y a des impositions par ces Européens mais il faut remettre en cause les problèmes d’identité connue par ces Tiers Monde.
En 1926, en Birmanie, la conversation des hommes s’ouvre sur la santé de l’empire Britannique comme à l’accoutumer. Chaque participant essai de donner ses propres avis. Certes ces idées sont contradictoires comme le plupart des temps. En fait, 3 hommes exposent leurs avis sur la politique Britannique dans l’outre mer. L’un est Indien, docteur de son Etat affirme que les étrangers ont apporté des effets positifs pour lui, il insiste même que sans ces interventions, son pays en serait resté au Moyen Age. Pour l’autre qui est un Européen, lui rappelle que les étrangers plus précisément ; les Britanniques ne sont pas là juste les rançonner mais il y a également les contre parties. Or pour le dernier qui est un Anglais accuse le sien comme des racistes et vulgaires,puis il les caractérise que les affaires des Britanniques comme des affaires de gros sous et non d’éducation. C’est aussi l’alliance des banques, introduction des maladies vénériennes.
Par ailleurs, Ibn Khaldoun, le grand homme d’état présente aussi son analyse que l’irrespect du monde impérialiste plus précisément l’Occident quia balayé les tabous et les coutumes pour sa suprématie qui n’est devenu que source de ses malheurs. Le Tiers Monde a ainsi inspiré deux idées de ressourcement ; la première a vu en lui les chances d’une nouvelle attitude du socialisme ; la seconde, différentialiste a salué dans ces modes de vie le berceau spirituel où l’Europe matérialiste devait retremper. Dès lors les Européens doivent non seulement faire un échange d’influence mais l’étude de leurs doctrines, la conversation de leurs dogmes. Pourtant, il arrive dans une région peuplée, ainsi on classe tout de suite comme blanc, En fait pour des indigènes ou les Indiens, ce n’est pas la connaissance ou la dissertation savante qui compte mais son pouvoir d’achat. Et pour causes, un français même pauvre chez lui est encore plus riche que la moyenne.
En outre, les autochtones de l’Inde veulent imiter les Occidents pour qu’ils se différencient des autres. D’où ils se sentent alors dans une sphère plus haute que le sien. Ils sont vêtus de chemises et de pantalons à l’européenne avec d’argent, des machines. Ainsi ils sont plus européens que le blanc proprement dit, la civilisation matérialiste les a déjà corrompu. Bref pour l’Orient plus précisément l’Inde ; il y a la négation du soi même à part de la religion hindouisme qui est la seule à retenir. En effet les populations ne reconnaissent plus les traditions, ni les lois et surtout ils ne d’une société pour mettre en œuvre cette influence occidentale. Certes, ces étrangers ont connu des problèmes pour accéder à la maîtrise des pensées des Indiens mais ils ont fini à s’en sortir grâce à leurs dominations culturelles. En général l’Inde qui fait partie du Tiers Monde n’adopte qu’une face d’imposture européenne, donc le problème de Tiers Monde principalement
A part cela, il y a quand même l’attitude de ces Européens qui ont connu des remords. En fait ils reconnaissent qu’ils sont diaboliques qui émettent les malfaisances des Tiers Monde. En outre, les Tiers Monde ont la certitude que c’est encore chez eux que çà passe les enfants aux ventre ballonnés les nuages se sauterelles, les terribles sécheresse, les empoisonnement, les tueries. Donc, l’invasion des occidentaux a laissé beaucoup de trace .Devant ces problèmes, ces occidents avouent leur fautes et acceptent de toute l’horreur de Tiers Monde. Alors lorsqu’on change l’Occident des malheurs du Tiers Monde, on réunit 3 accusations : premièrement, ils sont responsables e l’effroyable génocide colonial sur les Indiens et les Noirs. Deuxièmement, leurs prospérités sont bâties sur les cadavres de millions d’indigènes. Ils ont détruit les structures sociales antérieures par la division de classe des sociétés industrielles et intellectuelles en appelant à la bourgeoisie de prendre en main leur destin. Donc, les intellectuels des pays du Sud sont coupables d’avoir été formé en Amérique ou en Europe. Leur connaissance ne peut que trahir la véritable Afrique et la profonde Asie.
Dans un autre terme, le Tiers Monde n’existe plus ; mais on réserve à ces pays le terme lorsqu’on refuse de les qualifier. Il existe même une publication ; qu’il n’est pas nécessaire de franchir les océans pour rencontrer le Tiers Monde. On le rencontre dans notre vie de tous les jours. Il est présent dans le café matinal, les vêtements qu’on porte. Ainsi le premier traître au Tiers Mondisme, c’est le Tiers Monde lui même qui ne s’est jamais conformé à ce qu’on lui présentait comme sa propre cause. Alors Jean ROUS qualifie que le Tiers Monde n’est ni u paradis, ni un enfer ; mais plutôt un monde nouveau. Par ailleurs, ces pays sont entrés dans la modernité en associant l’indépendance et la similitude.
En dernière version ; le tiers mondisme entretient une confusion constante entre la culpabilité et la responsabilité. Etre coupable suppose qu’il y a eu une faute précise mais responsable aussi parce qu’il y a une obligation de chaque homme envers tous. D’où les Européens avouent qu’ils ne sont pas coupables de famines du Tiers Monde mais responsables plutôt parce qu’il est le devoir de tout homme d’aider les autres à vivre. Pour solution ; ils proposent l’amour de l’autre homme selon une intimité avec le cœur plutôt qu’une intimité selon la couleur et le sang.
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