Dans cet exercice, l’alpiniste doit fournir un effort musculaire plus ou moins prolongé dans un milieu où les différences de températures au cours de la journée peuvent être grandes et où la dépression atmosphérique s’accroît avec la hauteur des montagnes.
Il est donc nécessaire qu’avant de se livrer à ce sport, et surtout à l’ascension des grands pics, il se soit assuré que son cœur et ses poumons fonctionnent bien et qu’il se soit progressivement entraîné. Dans le cas contraire, il s’expose à tous les dangers du mal de la montagne. Ces troubles étant liés à une mauvaise alimentation, il est utile de veiller soigneusement sur celle – ci. Les ascensions développent considérablement l’appétit ; les repas doivent donc être nombreux, mais toujours très courts.
Un léger repas chaud est indispensable au départ, quelle que soit l’heure de la nuit, et quatre ou cinq repas en tout sont nécessaires par journée de haute montagne. Mais chacun d’eux doit être léger et consommé aux premières sensations d’appétit, sans attendre le symptôme de jambe de coton, sur les réclamations trop impérieuses de l’estomac.
Les personnes peu habituées à l’action du grand air et du soleil se préserve par des voiles de gaze ou en soignant la peau avec de la lanoline. Contre la réverbération de la névé, , on utilisera sous peine de perte temporaire de vue, des lunettes dont les verres auront une teinte fumée extrêmement claire , de façon à ne pas gêner la vue.
Il est donc nécessaire qu’avant de se livrer à ce sport, et surtout à l’ascension des grands pics, il se soit assuré que son cœur et ses poumons fonctionnent bien et qu’il se soit progressivement entraîné. Dans le cas contraire, il s’expose à tous les dangers du mal de la montagne. Ces troubles étant liés à une mauvaise alimentation, il est utile de veiller soigneusement sur celle – ci. Les ascensions développent considérablement l’appétit ; les repas doivent donc être nombreux, mais toujours très courts.
Un léger repas chaud est indispensable au départ, quelle que soit l’heure de la nuit, et quatre ou cinq repas en tout sont nécessaires par journée de haute montagne. Mais chacun d’eux doit être léger et consommé aux premières sensations d’appétit, sans attendre le symptôme de jambe de coton, sur les réclamations trop impérieuses de l’estomac.
Les personnes peu habituées à l’action du grand air et du soleil se préserve par des voiles de gaze ou en soignant la peau avec de la lanoline. Contre la réverbération de la névé, , on utilisera sous peine de perte temporaire de vue, des lunettes dont les verres auront une teinte fumée extrêmement claire , de façon à ne pas gêner la vue.
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