Troubles causés par le mouvement du bateau, le mal de mer débute par une malaise vague, puis vertiges avec sensations giratoires ; céphalée sus-orbitaire et bourdonnements d’oreilles. C’est un état nauséeux de plus en plus violent, puis vomissement abondant, douloureux, avec violentes contractions musculaires.
Peau froide, couverte de sueurs, pouls irréguliers et petit. Les vomissements peuvent se répéter, accompagnés de spasmes douloureux. Cet état de mal aigu peut durer plusieurs jours, le malade restant inerte, différent à tout. Mais chez beaucoup de personnes, tout se borne à un malaise, de l’angoisse, ou même quelques nausées survenant par gros temps. Ces troubles disparaissent souvent complètement dès que le malade pose les pieds sur la terre ferme ; parfois les vomissements, les vertiges se prolongent à terre pendant quelques heures.
Ces troubles sont favorisées par les mouvements du bateau, la vague, en particulier l’intensité des roulis, du tangage, de l’ascension ou de la descente verticale. Des troubles identiques s’observent à terre : le mal de terre chez certaines sensibles qui ont des nausées dans les tramways, en chemin de fer, en automobile, chez celles qui sont prises de malaises sur une balançoire, sur les manèges à chevaux de bois ou les montagnes russes.
Pour traiter ce mal, il faudra surveiller l’alimentation ménageant le foie, l’intestin donc laxatifs et cholagogues. Il faut prédominer le régime végétarien, les boissons chaudes ou froides. Sur le bateau, se tenir dans un milieu aéré, loin des odeurs de la cuisine ou des machines, les oreilles calfeutrées contre le grand vent, les yeux ne fixant pas les éléments mobiles, mais tenus clos ou occupés par une lecture, le ventre bien sanglé.
Pratiquer l’amarinage qui consiste à adapter ses attitudes à celles du bateau : à chaque mouvement de roulis, enfoncer les pieds comme si on enfonçait ou élevait le bateau par ses propres forces ; au tangage, inspiration lente et profonde quand remonte le bateau et expiration quand il descend.
Deux jours avant l’embarquement, prendre un demi comprimé de gardénal 30 minutes avant les 3 repas et au coucher ; suppression ou limitation du pain et des alcools. Le matin de l’embarquement, mâcher des feuilles d’un goyavier sans cesse, sinon au cours du voyage, mâcher des persils à fond.
Enfin, il faut aussi savoir que le mal de mer peut se maîtriser, les mouvements d’un côté, vous pouvez suivre son rythme, bref, une petite hypnose personnelle de votre part.
Peau froide, couverte de sueurs, pouls irréguliers et petit. Les vomissements peuvent se répéter, accompagnés de spasmes douloureux. Cet état de mal aigu peut durer plusieurs jours, le malade restant inerte, différent à tout. Mais chez beaucoup de personnes, tout se borne à un malaise, de l’angoisse, ou même quelques nausées survenant par gros temps. Ces troubles disparaissent souvent complètement dès que le malade pose les pieds sur la terre ferme ; parfois les vomissements, les vertiges se prolongent à terre pendant quelques heures.
Ces troubles sont favorisées par les mouvements du bateau, la vague, en particulier l’intensité des roulis, du tangage, de l’ascension ou de la descente verticale. Des troubles identiques s’observent à terre : le mal de terre chez certaines sensibles qui ont des nausées dans les tramways, en chemin de fer, en automobile, chez celles qui sont prises de malaises sur une balançoire, sur les manèges à chevaux de bois ou les montagnes russes.
Pour traiter ce mal, il faudra surveiller l’alimentation ménageant le foie, l’intestin donc laxatifs et cholagogues. Il faut prédominer le régime végétarien, les boissons chaudes ou froides. Sur le bateau, se tenir dans un milieu aéré, loin des odeurs de la cuisine ou des machines, les oreilles calfeutrées contre le grand vent, les yeux ne fixant pas les éléments mobiles, mais tenus clos ou occupés par une lecture, le ventre bien sanglé.
Pratiquer l’amarinage qui consiste à adapter ses attitudes à celles du bateau : à chaque mouvement de roulis, enfoncer les pieds comme si on enfonçait ou élevait le bateau par ses propres forces ; au tangage, inspiration lente et profonde quand remonte le bateau et expiration quand il descend.
Deux jours avant l’embarquement, prendre un demi comprimé de gardénal 30 minutes avant les 3 repas et au coucher ; suppression ou limitation du pain et des alcools. Le matin de l’embarquement, mâcher des feuilles d’un goyavier sans cesse, sinon au cours du voyage, mâcher des persils à fond.
Enfin, il faut aussi savoir que le mal de mer peut se maîtriser, les mouvements d’un côté, vous pouvez suivre son rythme, bref, une petite hypnose personnelle de votre part.
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