Un magazine, un journal ou une revue …/... ce qui est difficile dans le métier de journaliste réside dans le fait de ne pas avoir sa liberté ; en effet, une actualité devrait être publié avec modération, les paroles devront être mesurée. Même dans un pays dit « démocratique » comme se proclame tout pays du monde entier, le journal devra respecter les normes ; porter atteinte à une importante personnalité, à un organisme gouvernemental, plus dure encore, les forces gouvernementales… est synonyme de censure surtout quand il s’agit de vie privée et les paparazzis sont les plus concernés. Prenons juste l’exemple de la Russie dans l’affaire Vladimir Poutine et Alina Kabaeva ; censure immédiate du journal en question.
Depuis toujours, « démocratie » et « journalisme » sont deux termes convergent ; la « démocratie » qui sous entend « liberté » n’est en réalité, dans le domaine du journalisme qu’une « liberté limitée ». Le journaliste est peu importe le thème de son article confronté à l’image qu’il doit donner de son magazine. Toute parole diffamatoire, des insinuations qui tendent à devenir des critiques pourront nuire l’avenir du journaliste, la liberté de presse n’est que illusion. Le choix du sujet est aussi limité, et quand on a la plume entre ses doigts, l’on ne peut se permettre d’écrire ce que l’on pense, l’on écrit ce qui se passe. Donner une opinion personnelle n’est pas autorisées car un journal n’est pas forum de discussion.
Puisque l’actualité internationale oblige, n’oublions pas l’insécurité territoriale des journalistes sur terrain, dans les pays où règnent la guerre civile, sur les frontières des pays considérés comme zone rouge. Les aléas du métier pèsent sur soi même tous les jours quand le sentiment de bien faire son travail persiste. Faire un reportage complet, faire ressortir le réel en image coûte cher pour le journaliste. Il faudra de l’audace pour aller fouiner dans les prisons chinoises pour vérifier le bien fondé du non respect des Droits de l’Homme, la persécution des journalistes français au Tchad dans l’affaire « Arche de Zoé ». Plus grave, le journaliste constitue maintenant un cible idéal pour les terroriste, Ingrid Betancourt par les FARC.
La récolte des informations est menacée par son identité de « journaliste ». Parfois l’on est obligé de se présenter comme autre pour avoir de vraies informations, il faut parfois se présenter comme un citoyen, un étudiant en cours de recherche, ou se munir d’une caméra cachée, d’un micro, un scénario qu’on voit souvent dans un film.
Depuis toujours, « démocratie » et « journalisme » sont deux termes convergent ; la « démocratie » qui sous entend « liberté » n’est en réalité, dans le domaine du journalisme qu’une « liberté limitée ». Le journaliste est peu importe le thème de son article confronté à l’image qu’il doit donner de son magazine. Toute parole diffamatoire, des insinuations qui tendent à devenir des critiques pourront nuire l’avenir du journaliste, la liberté de presse n’est que illusion. Le choix du sujet est aussi limité, et quand on a la plume entre ses doigts, l’on ne peut se permettre d’écrire ce que l’on pense, l’on écrit ce qui se passe. Donner une opinion personnelle n’est pas autorisées car un journal n’est pas forum de discussion.
Puisque l’actualité internationale oblige, n’oublions pas l’insécurité territoriale des journalistes sur terrain, dans les pays où règnent la guerre civile, sur les frontières des pays considérés comme zone rouge. Les aléas du métier pèsent sur soi même tous les jours quand le sentiment de bien faire son travail persiste. Faire un reportage complet, faire ressortir le réel en image coûte cher pour le journaliste. Il faudra de l’audace pour aller fouiner dans les prisons chinoises pour vérifier le bien fondé du non respect des Droits de l’Homme, la persécution des journalistes français au Tchad dans l’affaire « Arche de Zoé ». Plus grave, le journaliste constitue maintenant un cible idéal pour les terroriste, Ingrid Betancourt par les FARC.
La récolte des informations est menacée par son identité de « journaliste ». Parfois l’on est obligé de se présenter comme autre pour avoir de vraies informations, il faut parfois se présenter comme un citoyen, un étudiant en cours de recherche, ou se munir d’une caméra cachée, d’un micro, un scénario qu’on voit souvent dans un film.
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