Par " révolution agricole ", il s'agit d'entendre la généralisation du modèle d'agriculture, Les transformations de l'agriculture au 18ème siècle ont été regroupées sous le terme de révolution agricole. Celle-ci s'est, dans beaucoup de pays, déroulée juste avant la révolution industrielle. C'est pourquoi bon nombre d'analyses essaient de montrer le lien entre ces deux révolutions. Mais la révolution agricole avant la révolution industrielle n'est pas toujours clairement vérifiée sauf par les progrès techniques.
En effet la révolution agricole se traduit par une amélioration décisive de la productivité et de la production par l’apparition de nouvelles techniques de production à savoir la machine qui inscrivait à son actif un sensible accroissement de la production de la terre, grâce à une meilleure préparation du sol. Les nouveaux assolements, la rotation des cultures comme la rotation de poireaux avec d’autres légumes, plus de jachère. On assiste à la disparition de la jachère remplacée par le système Norfolk en Grande Bretagne. Disparition de l'openfield remplacé par le système d'enclosure pour éviter la circulation des hommes et restructurer les champs. Bloch: "l'individualisme agraire". Les communaux sont partagés à la défaveur du vain pâturage et des paysans spoliés, qui, d'après Marx, migrent vers les villes et sont contraints d'offrir leur force de travail aux industries qui disposent d'une main d'oeuvre peu qualifiée et peu exigeante.
En effet la révolution agricole se traduit par une amélioration décisive de la productivité et de la production par l’apparition de nouvelles techniques de production à savoir la machine qui inscrivait à son actif un sensible accroissement de la production de la terre, grâce à une meilleure préparation du sol. Les nouveaux assolements, la rotation des cultures comme la rotation de poireaux avec d’autres légumes, plus de jachère. On assiste à la disparition de la jachère remplacée par le système Norfolk en Grande Bretagne. Disparition de l'openfield remplacé par le système d'enclosure pour éviter la circulation des hommes et restructurer les champs. Bloch: "l'individualisme agraire". Les communaux sont partagés à la défaveur du vain pâturage et des paysans spoliés, qui, d'après Marx, migrent vers les villes et sont contraints d'offrir leur force de travail aux industries qui disposent d'une main d'oeuvre peu qualifiée et peu exigeante.
C'est "l'armée industrielle de réserve", originelle du prolétariat. Et enfin l’augmentation des surfaces cultivées par le défrichement et l'assèchement des marais. Il apparaît l’association agriculture et élevage ; le bétail est engraissé, l’utilisation de plantes riches en azote pour régénérer les plantes et éviter la jachère de plus l’introduction de plantes fourragères et légumineuses. La tendance à la monoculture c'est-à-dire une spécialisation d’une culture sur de vaste étendue de surface, comme le maïs « céréale américain », et le blé aux Etats-Unis où l’association culture- élevage est modernisée à savoir le « feed lots » et le bétail est engraissé, où en Irlande l’élevage porcin se trouve stimulé par la culture de la pomme de terre.
Toute une « révolution mécanicienne » se poursuit, elle introduit à la ferme, grâce au moteur fixe, des robots multiples tels que les tarares, trieurs, hache-paille, coupe-racine, les machines complexes comme les moissonneuses-batteuses, viennent s’ajouter à un parc matériel et se diversifie pour s’accroître spectaculairement depuis la 2ème GM. La machine donnait surtout au paysan une production supérieure et diminuait la fatigue d’où un gain de temps utilisable à d’autres travaux rentables. La faux remplace la faucille, le machinisme et l’utilisation de la charrue. Tels sont quelques effets de la motorisation de l’agriculture qui modèle peu à peu le visage de la vie rurale. La production et la répartition des produits de la terre se trouvent largement modifiées par l’apparition de nouveaux moyens de communication et de nouveaux procédés culturaux avec l’invention de la machine à vapeur, moteur à explosion ou à combustion interne.
Le passage de l’agriculture traditionnelle à l’agriculture moderne s’est fait à partir de la « révolution agricole » du moment où des machines ont commencé à remplacer la force de travail humain. Actuellement, le fossé qui sépare les pays développés des pays pauvres au niveau de la production mondiale reste considérable. Des politiques agricoles souvent incohérentes entraîne une manque de production agricole dans les pays en voie de développement mais encore faut-il le rappeler : l'ensemble des Etats capables d'aider les Etats les plus pauvres doit aider à tendre vers l'autosuffisance alimentaire en favorisant le développement agricole et économique. L’homme moderne saura-t-il capable toujours de nourrir l’homme ?
Toute une « révolution mécanicienne » se poursuit, elle introduit à la ferme, grâce au moteur fixe, des robots multiples tels que les tarares, trieurs, hache-paille, coupe-racine, les machines complexes comme les moissonneuses-batteuses, viennent s’ajouter à un parc matériel et se diversifie pour s’accroître spectaculairement depuis la 2ème GM. La machine donnait surtout au paysan une production supérieure et diminuait la fatigue d’où un gain de temps utilisable à d’autres travaux rentables. La faux remplace la faucille, le machinisme et l’utilisation de la charrue. Tels sont quelques effets de la motorisation de l’agriculture qui modèle peu à peu le visage de la vie rurale. La production et la répartition des produits de la terre se trouvent largement modifiées par l’apparition de nouveaux moyens de communication et de nouveaux procédés culturaux avec l’invention de la machine à vapeur, moteur à explosion ou à combustion interne.
Le passage de l’agriculture traditionnelle à l’agriculture moderne s’est fait à partir de la « révolution agricole » du moment où des machines ont commencé à remplacer la force de travail humain. Actuellement, le fossé qui sépare les pays développés des pays pauvres au niveau de la production mondiale reste considérable. Des politiques agricoles souvent incohérentes entraîne une manque de production agricole dans les pays en voie de développement mais encore faut-il le rappeler : l'ensemble des Etats capables d'aider les Etats les plus pauvres doit aider à tendre vers l'autosuffisance alimentaire en favorisant le développement agricole et économique. L’homme moderne saura-t-il capable toujours de nourrir l’homme ?
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