Quand la nature se déchaîne, les exemples nous viennent du passé !
Que pouvons-nous faire face à la nature avec laquelle nous cohabitons depuis des millions d'années ? Rien, visiblement, quand on regarde les nombreuses catastrophes naturelles qui se succèdent chaque année et surtout leur impact sur les territoires concernés. Bizarrement, ce sont les mêmes qui sont touchés par les malices de la nature (tremblements de terre, tsunamis, ouragans, éruptions volcaniques, inondations, tornades,...) et qui souvent malheureusement les plus pauvres. Les exemples sont nombreux à travers le monde. Généralement, ce sont des États qui sont bordés par les océans et qui, en outre, sont parfois placés sur des failles. L'archipel nippon et les nombreuses îles du Pacifique et de l'océan Indien (Indonésie,...) en sont les principales victimes. A noter également la région du Texas aux États-Unis meurtri par les tornades.
Si l'on se plonge dans l'histoire, on peut remarquer que les catastrophes naturelles étaient fréquentes et toute aussi meurtrière, signe d'une apocalypse. C'est ainsi que la ville de Pompéï a été détruite par l'éruption du Vésuve de même que la Grèce toute entière vers 1200 avant Jésus-Christ. Pour cette dernière, les historiens, les archéologues et autre spécialistes ne sont pas en mesure de donner la nature de la catastrophe. Sans oublier le terrible tremblement de terre de Lisbonnes en 1755. Il y avait également les nombreuses crues qui martyrisaient l'Egypte de l'Antiquité.
Impuissants, les hommes n'étaient pas pour autant ignorants. Depuis le XVIIème siècle, au Japon, les tremblements de terre étaient connus et même expliqués par une légende. Un poisson-chat géant vivant dans la vase des profondeurs de la terre sur l'échine duquel repose le Japon, le Namazu, provoquait les tremblements de terre par ses mouvements violents et son comportement turbulant .
Si l'on se plonge dans l'histoire, on peut remarquer que les catastrophes naturelles étaient fréquentes et toute aussi meurtrière, signe d'une apocalypse. C'est ainsi que la ville de Pompéï a été détruite par l'éruption du Vésuve de même que la Grèce toute entière vers 1200 avant Jésus-Christ. Pour cette dernière, les historiens, les archéologues et autre spécialistes ne sont pas en mesure de donner la nature de la catastrophe. Sans oublier le terrible tremblement de terre de Lisbonnes en 1755. Il y avait également les nombreuses crues qui martyrisaient l'Egypte de l'Antiquité.
Impuissants, les hommes n'étaient pas pour autant ignorants. Depuis le XVIIème siècle, au Japon, les tremblements de terre étaient connus et même expliqués par une légende. Un poisson-chat géant vivant dans la vase des profondeurs de la terre sur l'échine duquel repose le Japon, le Namazu, provoquait les tremblements de terre par ses mouvements violents et son comportement turbulant .
Prise de conscience issu des experiences du passé ?
C'est la question que l'on peut se poser. Est-ce que les hommes ont pris conscience des catastrophes passées pour éviter que cela ne se reproduise? Dans l'époque contemporaine, la nature se déchaîne toujours autant avec les mêmes conséquences, à savoir des pertes humaines considérables et des dégâts matériels colossaux. Le tremblement de terre de Kobe en 1995, le tsunami de 2004 dans l'océan Indien, et plus récemment le tremblement de terre de Haïti (+ de 170 000 morts) en sont les illustrations pour ne citer qu'eux. Il ne faut pas en effet oublier l'ouragan Katrina en 2005 et les incessantes inondations comme aux Philippines en septembre 2009.
Aujourd'hui, malgré les techniques, on ne peut pas prévoir les catastrophes mais seulement les prévenir. La différence est de taille. En effet, prévoir revient à savoir quand une catastrophe se manifestera, ce qui est très difficile. Comment prévoir ainsi que des plaques tectoniques se rencontreront et à quel moment? Prévenir signifie qu'il y a un risque mais il est impossible de s'avancer davantage. Cette incertitude était notamment vérifiée à Kobe en 1995. Rien ne laissait présager en effet qu'un tremblement de terre frapperait la ville nippone qui plus est avec une telle ampleur.
La raison en est que l'épicentre était peu profond et que les failles étaient jeunes. Ce n'est qu'au prix de 5357 morts et 100 milliards de yens de dégâts que les autorités japonaises ont décidé de reconstruire la vile aux normes antisismiques. A Haïti, les risques sont connus quand aux failles à proximité de la demie-île. D'autant plus que les géologues et les sismologues prévoyaient un tremblement de terre particulièrement puissant. Il aurait été alors normal que les constructions soient conformes aux normes antisismiques. Mais comment l'État Haïtien pouvait-il faire en raison de sa pauvreté ?
Aujourd'hui, malgré les techniques, on ne peut pas prévoir les catastrophes mais seulement les prévenir. La différence est de taille. En effet, prévoir revient à savoir quand une catastrophe se manifestera, ce qui est très difficile. Comment prévoir ainsi que des plaques tectoniques se rencontreront et à quel moment? Prévenir signifie qu'il y a un risque mais il est impossible de s'avancer davantage. Cette incertitude était notamment vérifiée à Kobe en 1995. Rien ne laissait présager en effet qu'un tremblement de terre frapperait la ville nippone qui plus est avec une telle ampleur.
La raison en est que l'épicentre était peu profond et que les failles étaient jeunes. Ce n'est qu'au prix de 5357 morts et 100 milliards de yens de dégâts que les autorités japonaises ont décidé de reconstruire la vile aux normes antisismiques. A Haïti, les risques sont connus quand aux failles à proximité de la demie-île. D'autant plus que les géologues et les sismologues prévoyaient un tremblement de terre particulièrement puissant. Il aurait été alors normal que les constructions soient conformes aux normes antisismiques. Mais comment l'État Haïtien pouvait-il faire en raison de sa pauvreté ?
Après la catastrophe, l'expression de la générosité et de la bonté humaine
Lorsqu'une catastrophe considérable est recensée , les États développés et les organisations internationales interviennent rapidement. C'est toute une organisation minutieuse basée sur les équipes de secours, médicales et les vivres qui s'achemine vers les zones sinistrées. Tous les grands États sont là et dirigent les opérations. Phases de recherches d'éventuels survivants, soigner les blessés, distribution des denrées alimentaires et maintien de l'ordre sont le quotidien des secours sur place et des associations.
Tout est régi par les États. États qui semblent profiter de la situation en montrant leur mobilisation et leurs compétences de même que certaines stars à l'image de l'acteur Américain John Travolta qui est venu avec son avion privé. Les États-Unis ont par exemple envoyé des milliers de soldats supplémentaires pour assurer le maintien de l'ordre, en collaboration avec les casques bleus (O.N.U.) et les policiers sur place, sans cesse ébranlé dans la rue et au moment des distributions alimentaires. De fait, la catastrophe n'est-elle pas un moyen d'affirmer son image ?
Tout est régi par les États. États qui semblent profiter de la situation en montrant leur mobilisation et leurs compétences de même que certaines stars à l'image de l'acteur Américain John Travolta qui est venu avec son avion privé. Les États-Unis ont par exemple envoyé des milliers de soldats supplémentaires pour assurer le maintien de l'ordre, en collaboration avec les casques bleus (O.N.U.) et les policiers sur place, sans cesse ébranlé dans la rue et au moment des distributions alimentaires. De fait, la catastrophe n'est-elle pas un moyen d'affirmer son image ?
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