Après la période de jeûne avant la livraison au commerce, la sangsue médicinale, « hirudo medicinalis » est longue de 8 à 13 centimètres de long, de couleur gris olivâtre, elles sont encore peu utilisées actuellement.
Les sangsues ont été détrônées par la ventouse scarifiée, elles ont cependant leurs indications, les sangsues ont le pouvoir de rendre le sang incoagulable, grâce à l’hirudine, qui existe dans les glandes de la tête. De plus, elles soustraient par leur morsure une certaine quantité de sang, réalisant ainsi une saignée locale. Chaque sangsue retirerait environ 100 grammes de sang. On a aussi attribué aux sangsues une action antiphlogistique et révulsive. On peut appliquer de 3 à 12 sangsues à la fois suivant le besoin, la morsure laisse une petite cicatrice étoilée.
Les sangsues sont indiquées dans les maladies du cœur mitral pour favoriser la décongestion et s’opposer à la formation de caillots, néphrites hypertensives, la congestion du poumon, du foie, douleur des reins…
Pour arrêter l’écoulement de sang après l’action des sangsues, on appliquera sur la plaie un morceau d’amadou qu’on maintiendra par une bande de toile. Si l’on désire accroître la quantité de sang, on lave la plaie avec de l’eau tiède, en frottant la piqûre de façon à empêcher la formation d’un caillot. Si une sangsue avait pénétré dans un orifice naturel, donner un lavement une injection d’eau salée.
Pendant l’application, ne pas mettre les sangsues sur la région enflammée mais à son voisinage, ne pas les placer près de la bouche, si on en pose près de l’anus dans le traitement de l’hémorroïde, boucher celui-ci avec de l’ouate imbibée d’huile. Ne pas les toucher pendant qu’elles sucent la peau et ne surtout pas les arracher, car on provoquerait ainsi une déchirure de la peau difficile à guérir, elles tomberont d’elles mêmes après qu’elles auront absorbés leur rations de sang.
Les sangsues ont été détrônées par la ventouse scarifiée, elles ont cependant leurs indications, les sangsues ont le pouvoir de rendre le sang incoagulable, grâce à l’hirudine, qui existe dans les glandes de la tête. De plus, elles soustraient par leur morsure une certaine quantité de sang, réalisant ainsi une saignée locale. Chaque sangsue retirerait environ 100 grammes de sang. On a aussi attribué aux sangsues une action antiphlogistique et révulsive. On peut appliquer de 3 à 12 sangsues à la fois suivant le besoin, la morsure laisse une petite cicatrice étoilée.
Les sangsues sont indiquées dans les maladies du cœur mitral pour favoriser la décongestion et s’opposer à la formation de caillots, néphrites hypertensives, la congestion du poumon, du foie, douleur des reins…
Pour arrêter l’écoulement de sang après l’action des sangsues, on appliquera sur la plaie un morceau d’amadou qu’on maintiendra par une bande de toile. Si l’on désire accroître la quantité de sang, on lave la plaie avec de l’eau tiède, en frottant la piqûre de façon à empêcher la formation d’un caillot. Si une sangsue avait pénétré dans un orifice naturel, donner un lavement une injection d’eau salée.
Pendant l’application, ne pas mettre les sangsues sur la région enflammée mais à son voisinage, ne pas les placer près de la bouche, si on en pose près de l’anus dans le traitement de l’hémorroïde, boucher celui-ci avec de l’ouate imbibée d’huile. Ne pas les toucher pendant qu’elles sucent la peau et ne surtout pas les arracher, car on provoquerait ainsi une déchirure de la peau difficile à guérir, elles tomberont d’elles mêmes après qu’elles auront absorbés leur rations de sang.
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