D’abord tout le monde le fait, 96% des garçons pratiqueraient la masturbation de puis l’âge de 13 ans, et 57 % des filles depuis leurs 14 ans. La masturbation a toujours existé, a toutes les époques et dans tous les pays. Elle existait bien avant l’apparition de l’être humain, les animaux ont commencé avant nous…
C’est une pratique naturelle et normale ; dès la petite enfance, la masturbation instinctive chez les garçons comme chez les filles, même s’ils n’ont pas conscience de ce qu’ils font. A la puberté, lorsqu’on découvre les changements de son propre corps, on est amené à explorer ses organes sexuels d’un peu plus près : c’est vrai chez les mecs qui ont des érections spontanées, la nuit et au réveil, et qui éprouvent le besoin de les soulager. Cà l’est aussi chez les jeunes filles qui fantasment sur l’acte sexuel avant de le vivre dans la réalité.
La masturbation ne fait pas de mal ; au Moyen Age, les esprits étroits et machos considéraient la masturbation comme un acte diabolique et les femmes qui s’y adonnaient comme des sorcières. Aujourd’hui, il est reconnu que la masturbation n’a aucun effet néfaste sur le physique comme sur le mental. Ca ne vous rendra ni source, ni myope, ni pervers.
C’est un bon moyen de connaître son corps et de faire l’apprentissage de la sexualité. Pour avoir une sexualité épanouie, il est essentiel d’aimer son corps et de bien le connaître. Si l’on ne sais pas comment il fonctionne, on ne saura pas quoi faire le jour J. Si on ne commence pas par l’explorer soi même, on risque d’avoir peur de se dénuder et de se laisser caresser la première fois qu’on se retrouvera au lit avec un garçon. En plus, toucher son corps et découvrir ses zones érogènes, celles qui apportent le plus de plaisir, ce facilite l’accès à l’orgasme le jour où on fait l’amour avec un partenaire car on appréhendera moins cette étape.
C’est bon pour la santé. Se masturber permet de défouler un trop plein d’énergie. Ca détresse, ça permet de trouver facilement le sommeil et ça rend de bonne humeur. En fait, l’avantage de la masturbation par rapport à l’acte sexuel avec un partenaire, c’est qu’on abandonne tous ces complexes et qu’on se laisse plus facilement aller sans le regard de l’autre. Bref, comme on le dit : on est jamais bien servi que par soi même.
Les sexologues recommandent aux parents de ne surtout pas culpabiliser un très jeune enfant lorsqu’il commence à découvrir la masturbation. L faut juste lui faire comprendre que c’est un acte intime qui ne se fait pas en public, et surtout, il ne fait pas le lui interdire, sinon il associera le plaisir sexuel à une angoisse. L’adolescent qui ne se masturbe pas refuse le droit à la sexualité, à une activité qui est tout à fait naturelle et s’empêcher de pratiquer la masturbation peut perturber la sexualité.
C’est une pratique naturelle et normale ; dès la petite enfance, la masturbation instinctive chez les garçons comme chez les filles, même s’ils n’ont pas conscience de ce qu’ils font. A la puberté, lorsqu’on découvre les changements de son propre corps, on est amené à explorer ses organes sexuels d’un peu plus près : c’est vrai chez les mecs qui ont des érections spontanées, la nuit et au réveil, et qui éprouvent le besoin de les soulager. Cà l’est aussi chez les jeunes filles qui fantasment sur l’acte sexuel avant de le vivre dans la réalité.
La masturbation ne fait pas de mal ; au Moyen Age, les esprits étroits et machos considéraient la masturbation comme un acte diabolique et les femmes qui s’y adonnaient comme des sorcières. Aujourd’hui, il est reconnu que la masturbation n’a aucun effet néfaste sur le physique comme sur le mental. Ca ne vous rendra ni source, ni myope, ni pervers.
C’est un bon moyen de connaître son corps et de faire l’apprentissage de la sexualité. Pour avoir une sexualité épanouie, il est essentiel d’aimer son corps et de bien le connaître. Si l’on ne sais pas comment il fonctionne, on ne saura pas quoi faire le jour J. Si on ne commence pas par l’explorer soi même, on risque d’avoir peur de se dénuder et de se laisser caresser la première fois qu’on se retrouvera au lit avec un garçon. En plus, toucher son corps et découvrir ses zones érogènes, celles qui apportent le plus de plaisir, ce facilite l’accès à l’orgasme le jour où on fait l’amour avec un partenaire car on appréhendera moins cette étape.
C’est bon pour la santé. Se masturber permet de défouler un trop plein d’énergie. Ca détresse, ça permet de trouver facilement le sommeil et ça rend de bonne humeur. En fait, l’avantage de la masturbation par rapport à l’acte sexuel avec un partenaire, c’est qu’on abandonne tous ces complexes et qu’on se laisse plus facilement aller sans le regard de l’autre. Bref, comme on le dit : on est jamais bien servi que par soi même.
Les sexologues recommandent aux parents de ne surtout pas culpabiliser un très jeune enfant lorsqu’il commence à découvrir la masturbation. L faut juste lui faire comprendre que c’est un acte intime qui ne se fait pas en public, et surtout, il ne fait pas le lui interdire, sinon il associera le plaisir sexuel à une angoisse. L’adolescent qui ne se masturbe pas refuse le droit à la sexualité, à une activité qui est tout à fait naturelle et s’empêcher de pratiquer la masturbation peut perturber la sexualité.
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