Appartenant à la famille des malvacées, du genre Gossypium, on cultive le cotonnier pour ses graines et les poils de ces graines ou « soies ». Les courtes et les moyennes soies servent à fabriquer des tissus, les longues soies servent à confectionner le coton mercerisé, le coton à broder, l’entoilage des pneus, le coton hydrophile, l’ouate et de coton iodé.
Les graines sont oléagineuses et fournissent une huile alimentaire. Les coques servent de combustibles et peuvent servir à la fabrication de charbon, décolorant et pâte à papier. Les duvets (ensemble de poils courts à la surface des graines des cotonniers) servent à la fabrication de vernis, d’explosif, feutres et rembourrages. Dans le commerce, on utilise les fibres par leur longueur, résistance, finesse, leur degré de maturité et leur colorant.
Ses exigences pédologiques sont assez comparables à celles du tabac. Comme celui-ci il est très sensible à l’engorgement du sol par la nappe phréatique il réussit particulièrement bien et accepte certains sols plus sableux pourvu que son alimentation en eau soit assuré, sur ces sols plus perméables dans lesquels la descente de la nappe est rapide.
Pour une culture réussie du cotonnier, le coton a besoin de chaleur, lors de la germination : 20°C. Au cours de la végétation les températures ne devront être au dessus de 40°C. Le cotonnier est surtout une plante des pays chauds, il demande 600 à 800 mm d’eau, cette demande est plus importante au début de sa croissance. Dès que les capsules arrivent à maturité, la sécheresse doit être parfaite que possible. Il faut des régions ensoleillées. Le cotonnier demande des sols homogènes, profonds et perméables. Les terres calcaires ne conviennent pas.
Ce qui est à noter c’est que le coton est à cycle végétatif long, exige un traitement phytosanitaire très strict, et que la production dépend non seulement des aménagements hydrologiques rationnels.
Les graines sont oléagineuses et fournissent une huile alimentaire. Les coques servent de combustibles et peuvent servir à la fabrication de charbon, décolorant et pâte à papier. Les duvets (ensemble de poils courts à la surface des graines des cotonniers) servent à la fabrication de vernis, d’explosif, feutres et rembourrages. Dans le commerce, on utilise les fibres par leur longueur, résistance, finesse, leur degré de maturité et leur colorant.
Ses exigences pédologiques sont assez comparables à celles du tabac. Comme celui-ci il est très sensible à l’engorgement du sol par la nappe phréatique il réussit particulièrement bien et accepte certains sols plus sableux pourvu que son alimentation en eau soit assuré, sur ces sols plus perméables dans lesquels la descente de la nappe est rapide.
Pour une culture réussie du cotonnier, le coton a besoin de chaleur, lors de la germination : 20°C. Au cours de la végétation les températures ne devront être au dessus de 40°C. Le cotonnier est surtout une plante des pays chauds, il demande 600 à 800 mm d’eau, cette demande est plus importante au début de sa croissance. Dès que les capsules arrivent à maturité, la sécheresse doit être parfaite que possible. Il faut des régions ensoleillées. Le cotonnier demande des sols homogènes, profonds et perméables. Les terres calcaires ne conviennent pas.
Ce qui est à noter c’est que le coton est à cycle végétatif long, exige un traitement phytosanitaire très strict, et que la production dépend non seulement des aménagements hydrologiques rationnels.
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