Le cyclisme est un des meilleurs exercices parce qu’elle met en jeu un grand nombre de muscles et cela symétriquement des deux côtés du corps si l’on tient compte des divers efforts à faire par le cycliste.
Le mouvement des pédales nécessite la contraction des muscles des pieds, des mollets, de la cuisse et du bassin. Dès que le coureur se penche en avant, les muscles qui tapissent le bassin à l’intérieur et à l’extérieur sont surtout utilisés. L’appui sur le guidon, sa forte traction pour l’ascension des côtés, la direction à donner à la machine s’effectuent par les muscles des mains, de l’avant bras et du bras.
D’autre part, tous ces muscles ne peuvent agir qu’en prenant un point d’appui sur le tronc qui lui-même ne peut être maintenu en équilibre que par le travail des gros muscles du dos, de l’abdomen et de la poitrine. Ces derniers sont, en outre, largement mis à contribution par la nécessité d’une respiration plus ample.
On a reproché à la bicyclette de produire à une courbure du dos par la position penchée que prennent les coureurs professionnels. C’est là une erreur : cette position, étant l’effet de l’action musculaire, n’incurve nullement la colonne vertébrale comme les inclinaisons passives prises par les écoliers.
La respiration est grandement activée, la vélocipédie développe incontestablement la poitrine. Les champions cyclistes ont des capacités pulmonaires exceptionnelle de 5 litres et au-delà. Les exagérations de vitesse entraînent une augmentation des battements du cœur et par suite des pulsations ; tout excès peut donc devenir dangereux.
Le massage très énergique des intestins amène la descente en temps normal du résultat final de la digestion et a par suite en effet bienfaisant sur la constipation.
La pratique de la bicyclette est recommandée aux anémiques, aux intellectuels fatigués surtout à ceux chez lesquels la maladies par l’insuffisance d’exercice que par l’excès de travail. Un sport bienfaisant qui rend grand service chez les obèses.
Le mouvement des pédales nécessite la contraction des muscles des pieds, des mollets, de la cuisse et du bassin. Dès que le coureur se penche en avant, les muscles qui tapissent le bassin à l’intérieur et à l’extérieur sont surtout utilisés. L’appui sur le guidon, sa forte traction pour l’ascension des côtés, la direction à donner à la machine s’effectuent par les muscles des mains, de l’avant bras et du bras.
D’autre part, tous ces muscles ne peuvent agir qu’en prenant un point d’appui sur le tronc qui lui-même ne peut être maintenu en équilibre que par le travail des gros muscles du dos, de l’abdomen et de la poitrine. Ces derniers sont, en outre, largement mis à contribution par la nécessité d’une respiration plus ample.
On a reproché à la bicyclette de produire à une courbure du dos par la position penchée que prennent les coureurs professionnels. C’est là une erreur : cette position, étant l’effet de l’action musculaire, n’incurve nullement la colonne vertébrale comme les inclinaisons passives prises par les écoliers.
La respiration est grandement activée, la vélocipédie développe incontestablement la poitrine. Les champions cyclistes ont des capacités pulmonaires exceptionnelle de 5 litres et au-delà. Les exagérations de vitesse entraînent une augmentation des battements du cœur et par suite des pulsations ; tout excès peut donc devenir dangereux.
Le massage très énergique des intestins amène la descente en temps normal du résultat final de la digestion et a par suite en effet bienfaisant sur la constipation.
La pratique de la bicyclette est recommandée aux anémiques, aux intellectuels fatigués surtout à ceux chez lesquels la maladies par l’insuffisance d’exercice que par l’excès de travail. Un sport bienfaisant qui rend grand service chez les obèses.
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