Le vin est un agent antiseptique, 1 centimètre cube de vin tue 99% des bacilles typhiques, des microbes du choléra et du colibacille dans une quantité égale à la culture. Aussi, est il indiqué d’accompagner de vin blanc la dégustation d’huîtres ou de coquillages divers.
On emploi aussi le vin pour couper les eaux de boisson douteuses, le mélange d’eau et de vin effectué 12 heures avant le repas pour les vins rouges et 6 heures pour les vins blancs suffit pour rendre la boisson inoffensive au point de vue microbien. Cette action bactéricide du vin tien à ses constituants, en particulier, ses acides, à l’alcool, à l’acide sulfurique, aux éthers et à la glycérine.
Le vin possède le pouvoir antiseptique vis-à-vis des venins de cobra et de vipère ; des animaux qui avaient reçu une dose mortelle de venin ont pu, par le vin, survivre à l’empoisonnement ; il convient de s’inspirer de ce fait expérimental dans le traitement des sujets mordus par les serpents. Le vin pris à dose modérée, n’empêche pas de devenir vieux, au contraire, le pourcentage de la longévité est le plus élevé dans les communes vinicoles.
La teneur en alcool du vin consommé soit pur, soit additionné d’eau doit égaler au maximum 10% , la quantité totale de vin absorbée dans les 24 heures ne devra pas représenter en alcool une quantité supérieure à 1 gramme par kilo du poids du sujet. Il faut d’ailleurs tenir compte du sexe ; une femme ne doit pas excéder ½ litre par jour contre ¾ de litre pour l’homme, les travailleurs et les soldats pourront en consommer 1 litre.
Attention, l’usage inconsidéré du vin aboutit au « vinisme », très différent de l’alcoolisme, dû à l’abus des produits de distillation et surtout des liqueurs à base d’essences.
On emploi aussi le vin pour couper les eaux de boisson douteuses, le mélange d’eau et de vin effectué 12 heures avant le repas pour les vins rouges et 6 heures pour les vins blancs suffit pour rendre la boisson inoffensive au point de vue microbien. Cette action bactéricide du vin tien à ses constituants, en particulier, ses acides, à l’alcool, à l’acide sulfurique, aux éthers et à la glycérine.
Le vin possède le pouvoir antiseptique vis-à-vis des venins de cobra et de vipère ; des animaux qui avaient reçu une dose mortelle de venin ont pu, par le vin, survivre à l’empoisonnement ; il convient de s’inspirer de ce fait expérimental dans le traitement des sujets mordus par les serpents. Le vin pris à dose modérée, n’empêche pas de devenir vieux, au contraire, le pourcentage de la longévité est le plus élevé dans les communes vinicoles.
La teneur en alcool du vin consommé soit pur, soit additionné d’eau doit égaler au maximum 10% , la quantité totale de vin absorbée dans les 24 heures ne devra pas représenter en alcool une quantité supérieure à 1 gramme par kilo du poids du sujet. Il faut d’ailleurs tenir compte du sexe ; une femme ne doit pas excéder ½ litre par jour contre ¾ de litre pour l’homme, les travailleurs et les soldats pourront en consommer 1 litre.
Attention, l’usage inconsidéré du vin aboutit au « vinisme », très différent de l’alcoolisme, dû à l’abus des produits de distillation et surtout des liqueurs à base d’essences.
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