Le fonctionnement
Le pistolet Taser, du nom de son principal fabricant, est une arme à impulsion électronique. Celui-ci envoie des décharges électroniques à une distance maximale de 7,60 mètres au moyen de deux électrodes qui sont projetées vers la cible. Au contact de sa cible, le pistolet Taser libère une onde de 2 milliampères pour 50 000 volts. Cette onde électrique bloque le système nerveux. Le pistolet envoie alors un signal appelé « ondes Taser », semblables à celles qu’utilise le cerveau pour commander le corps, qui bloque les signaux normaux des fibres nerveuses. Il en résulte une paralysie temporaire de la cible.
Le point de vue de la police : une arme anti bavure
Le TASER est né du souci de réduire la violence en maintenant une distance de sécurité avec un agresseur violent. Il augmente la sécurité et l’efficacité de la police lors d’une confrontation tout en réduisant les risques de blessures et en supprimant les risques de dérapages mortels. C’est une arme anti-bavure
Le pistolet électronique évite le risque de blessure toujours possible quand la police ne dispose que d’armes intermédiaires ou à feu pour intervenir dans une situation de confrontation.
Par ailleurs, chaque futur utilisateur du Taser doit suivre une formation de 2 jours, comprenant aussi des tests physiques et psychotechniques. Elle est validée par un certificat d’aptitude.La technologie Taser, c’est aussi un état d’esprit où le sens des responsabilités est primordial.
La polémique
Plusieurs décès plus ou moins médiatisés, surtout en Amérique du Nord, ont suscité la polémique quant à l'innocuité de l'usage de ce pistolet.
Certaines associations, dont Amnesty International, et certains politiciens, dont Olivier Besancenot, s'opposent néanmoins à son utilisation, affirmant qu'ils peuvent avoir des conséquences fatales, et que son utilisation peut être abusive. Aux États-Unis des cas abusifs tel que sur des écoliers agités, des personnes entravées de menottes ou en prison, des patients en hôpitaux psychiatriques atteints de troubles nerveux sont répertoriés et redoutés par les associations de défense des droits de l'homme.
Rappelons que le pistolet à impulsions électriques équipe depuis 2004 l'armée, la police nationale et la gendarmerie françaises et vient d’être autorisé pour la police municipale. Nul doute qu’une surveillance et un encadrement strict quant à son utilisation sont nécessaire et même indispensables.
Le pistolet Taser, du nom de son principal fabricant, est une arme à impulsion électronique. Celui-ci envoie des décharges électroniques à une distance maximale de 7,60 mètres au moyen de deux électrodes qui sont projetées vers la cible. Au contact de sa cible, le pistolet Taser libère une onde de 2 milliampères pour 50 000 volts. Cette onde électrique bloque le système nerveux. Le pistolet envoie alors un signal appelé « ondes Taser », semblables à celles qu’utilise le cerveau pour commander le corps, qui bloque les signaux normaux des fibres nerveuses. Il en résulte une paralysie temporaire de la cible.
Le point de vue de la police : une arme anti bavure
Le TASER est né du souci de réduire la violence en maintenant une distance de sécurité avec un agresseur violent. Il augmente la sécurité et l’efficacité de la police lors d’une confrontation tout en réduisant les risques de blessures et en supprimant les risques de dérapages mortels. C’est une arme anti-bavure
Le pistolet électronique évite le risque de blessure toujours possible quand la police ne dispose que d’armes intermédiaires ou à feu pour intervenir dans une situation de confrontation.
Par ailleurs, chaque futur utilisateur du Taser doit suivre une formation de 2 jours, comprenant aussi des tests physiques et psychotechniques. Elle est validée par un certificat d’aptitude.La technologie Taser, c’est aussi un état d’esprit où le sens des responsabilités est primordial.
La polémique
Plusieurs décès plus ou moins médiatisés, surtout en Amérique du Nord, ont suscité la polémique quant à l'innocuité de l'usage de ce pistolet.
Certaines associations, dont Amnesty International, et certains politiciens, dont Olivier Besancenot, s'opposent néanmoins à son utilisation, affirmant qu'ils peuvent avoir des conséquences fatales, et que son utilisation peut être abusive. Aux États-Unis des cas abusifs tel que sur des écoliers agités, des personnes entravées de menottes ou en prison, des patients en hôpitaux psychiatriques atteints de troubles nerveux sont répertoriés et redoutés par les associations de défense des droits de l'homme.
Rappelons que le pistolet à impulsions électriques équipe depuis 2004 l'armée, la police nationale et la gendarmerie françaises et vient d’être autorisé pour la police municipale. Nul doute qu’une surveillance et un encadrement strict quant à son utilisation sont nécessaire et même indispensables.
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