Lexique des termes géothermiques, chauffage aérothermique, forage & géothermie
Les subtilités de l'aérothermie ou de la géothermie vous laissent coi ? Vous aimeriez découvrir le principe de fonctionnement d'une pompe à chaleur ? Énergie renouvelable propre, la géothermie a l'avantage d'être une source énergétique inépuisable et économique. Cependant, les principes de fonctionnement des systèmes d'aérothermie, de géothermie ou l'utilité d'une pompe à chaleur ne sont pas forcément évidents à saisir. Grâce à ce glossaire des termes essentiels de la géothermie, vous vous familiariserez rapidement avec ces systèmes de chauffages aux multiples qualités.
Le lexique de la géothermie, de l'aérothermie et des pompes à chaleur
- Eau boriquée : eau à forte teneur en acide borique, réputée pour son caractère antiseptique et antibactérien.
- Lagoni : points de sortie d'une source d'eau chaude (sortes de petits geysers).
- Énergies fossiles / énergies combustibles, c'est-à-dire notamment le pétrole, le gaz et le charbon.
- Aquifère se dit de quelque chose qui contient de l'eau. Une nappe aquifère est donc une nappe d'eau.
- Roches chaudes fracturées naturelles ou artificielles, ces fractures permettent d'injecter de l'eau froide qui va soit se réchauffer en y circulant soit pousser l'eau chaude déjà présente naturellement. Ce qui servira à produire de l'électricité ou de la chaleur.
- L'eau chaude sanitaire (ECS), c'est l'eau chaude que chacun utilise chez soi.
- L'eau glycolée (ou antigel) est un mélange d'eau et de 33 % d'alcool.
- La pompe à chaleur (PAC) est un appareil « thermodynamique » : elle permet la circulation de chaleur entre des milieux ayant des températures différentes grâce à un apport d'énergie extérieur.
- DRIRE : Direction Régionale de l'Industrie, de la Recherche et de l'Environnement. L'activité des DRIRE s'exerce pour le compte du ministère en charge de l'Environnement, sous l'autorité des préfets de département.
- BRGM : Bureau de recherches géologiques et minières www.brgm.fr)
- SIG : Systèmes d'informations géographiques.
- Le fluide frigorigène : c'est le fluide confiné dans la PAC qui assure les transferts de chaleur lors de ses changements d'état (liquide, gaz). Sa température d'ébullition est très basse (- 40° C, à 1 bar) et son point d'évaporation est de - 5° C. Longtemps utilisé, le R22 (un HCFC) est aujourd'hui interdit. On lui substitue des fluides « verts » (R407C, R410A, R417A) qui, eux, ne contribuent pas à la destruction de la couche d'ozone.
- AFPAC : Association française des pompes à chaleur (www.afpac.org)
- Énergies fossiles : énergies combustibles, notamment le pétrole, le gaz et le charbon.
- Protocole de Kyoto : Pour lutter contre les changements climatiques, il faut limiter les concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère, ces GES étant fortement liés aux secteurs transport et énergie. En 1997, le Protocole de Kyoto a fixé aux pays industrialisés l'objectif de réduire de 5,5 % leurs émissions par rapport à 1990, pour la période 2008-2012. Dans ce cadre, la France a pour objectif de stabiliser ses émissions par rapport à celles de 1990. Mais elle a décidé depuis d'aller au-delà en s'engageant à diviser par quatre ses émissions à l'horizon 2050 (c'est le « Facteur 4 »). Fin 2007, l'Australie a signé le protocole de Kyoto, les États-Unis restant le dernier pays industrialisé a ne pas l'avoir ratifié.
- Étude préalable : étude technique qui regroupe tout un ensemble d'opérations dont l'étude d'implantation (dimensionnement des capteurs ; choix du type d'émetteurs - plancher chauffant, radiateur ou ventilo-convecteur), l'étude thermique, l'étude hydraulique. Dans le cadre d'un forage par sonde ou sur nappe, l'entreprise de forage doit être soumise à la « garantie décennale bâtiment » souscrite auprès d'une compagnie d'assurances.
- Lagoni : points de sortie d'une source d'eau chaude (sortes de petits geysers).
- Énergies fossiles / énergies combustibles, c'est-à-dire notamment le pétrole, le gaz et le charbon.
- Aquifère se dit de quelque chose qui contient de l'eau. Une nappe aquifère est donc une nappe d'eau.
- Roches chaudes fracturées naturelles ou artificielles, ces fractures permettent d'injecter de l'eau froide qui va soit se réchauffer en y circulant soit pousser l'eau chaude déjà présente naturellement. Ce qui servira à produire de l'électricité ou de la chaleur.
- L'eau chaude sanitaire (ECS), c'est l'eau chaude que chacun utilise chez soi.
- L'eau glycolée (ou antigel) est un mélange d'eau et de 33 % d'alcool.
- La pompe à chaleur (PAC) est un appareil « thermodynamique » : elle permet la circulation de chaleur entre des milieux ayant des températures différentes grâce à un apport d'énergie extérieur.
- DRIRE : Direction Régionale de l'Industrie, de la Recherche et de l'Environnement. L'activité des DRIRE s'exerce pour le compte du ministère en charge de l'Environnement, sous l'autorité des préfets de département.
- BRGM : Bureau de recherches géologiques et minières www.brgm.fr)
- SIG : Systèmes d'informations géographiques.
- Le fluide frigorigène : c'est le fluide confiné dans la PAC qui assure les transferts de chaleur lors de ses changements d'état (liquide, gaz). Sa température d'ébullition est très basse (- 40° C, à 1 bar) et son point d'évaporation est de - 5° C. Longtemps utilisé, le R22 (un HCFC) est aujourd'hui interdit. On lui substitue des fluides « verts » (R407C, R410A, R417A) qui, eux, ne contribuent pas à la destruction de la couche d'ozone.
- AFPAC : Association française des pompes à chaleur (www.afpac.org)
- Énergies fossiles : énergies combustibles, notamment le pétrole, le gaz et le charbon.
- Protocole de Kyoto : Pour lutter contre les changements climatiques, il faut limiter les concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère, ces GES étant fortement liés aux secteurs transport et énergie. En 1997, le Protocole de Kyoto a fixé aux pays industrialisés l'objectif de réduire de 5,5 % leurs émissions par rapport à 1990, pour la période 2008-2012. Dans ce cadre, la France a pour objectif de stabiliser ses émissions par rapport à celles de 1990. Mais elle a décidé depuis d'aller au-delà en s'engageant à diviser par quatre ses émissions à l'horizon 2050 (c'est le « Facteur 4 »). Fin 2007, l'Australie a signé le protocole de Kyoto, les États-Unis restant le dernier pays industrialisé a ne pas l'avoir ratifié.
- Étude préalable : étude technique qui regroupe tout un ensemble d'opérations dont l'étude d'implantation (dimensionnement des capteurs ; choix du type d'émetteurs - plancher chauffant, radiateur ou ventilo-convecteur), l'étude thermique, l'étude hydraulique. Dans le cadre d'un forage par sonde ou sur nappe, l'entreprise de forage doit être soumise à la « garantie décennale bâtiment » souscrite auprès d'une compagnie d'assurances.
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