On est bien en France, à Lille, le tribunal de grande Instance a annulé le mariage d’un couple musulman après la première nuit des noces. La faute à qui ?
C’est l’histoire d’une étudiante qui a menti sur a virginité à son futur mari, un homme ingénieur, âgé de 30 ans. Le mari voulait épouser une femme encore vierge ce qui n’était plus le cas de sa femme qui lui a menti bien avant le mariage ; la nuit de noce, elle fut démasquée.
Selon le procureur, cette annulation est parfaitement légale selon le Code Civil ; l’article 180 définit bien que si les qualités essentielles de l’un des époux ne seraient pas respectées, l’annulation du mariage est possible.
C’est l’histoire d’une étudiante qui a menti sur a virginité à son futur mari, un homme ingénieur, âgé de 30 ans. Le mari voulait épouser une femme encore vierge ce qui n’était plus le cas de sa femme qui lui a menti bien avant le mariage ; la nuit de noce, elle fut démasquée.
Selon le procureur, cette annulation est parfaitement légale selon le Code Civil ; l’article 180 définit bien que si les qualités essentielles de l’un des époux ne seraient pas respectées, l’annulation du mariage est possible.
Mots clé : mariage, virginite, france, musulman, lille, code civil, nuit de noce, tribunal de grande instance, vierge
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