L’arrêté relatif à « la prévention, à la réduction et à la limitation des nuisances sonores » est destiné à favoriser la sécurité des déplacements sur l’espace public et privé, ainsi qu’à la mise en lumière du patrimoine, des parcs et jardins, des parcs de stationnement et donc aussi, des équipements sports de plein air ou découvrables. Le critère de luminosité devra donc être encore plus présent lors de la construction d’un court de tennis, d’un terrain multisport, d’un terrain de football, etc.
En tout cas, les éclairages extérieurs, mais aussi les éclairages intérieurs qui émettent de la lumière vers l’extérieur, doivent être conçus de manière à limiter les nuisances, notamment les troubles excessif aux personnes, mais aussi à la faune, à la flore, aux écosystèmes, ainsi qu’un gaspillage énergétique.
Les prescriptions pour les équipements sportifs
Concernant l’accès aux terrains de sport, les zones de stationnement des visiteurs et l’illumination extérieure de l’équipement sportif, l'éclairage pourra être déclenché au plus tôt 1 heure avant le coucher du soleil ou 2 heures avant le début d’activité. Quant à l’éclairage de l’intérieur des installations sportives, celui-ci pourra être allumé 1 heure avant le coucher du soleil ou 3 heures avant le début de l’activité. L’extinction des lumières devra être effectuée au plus tard, 2 heures après la cessation d’activité. Ceci, à l’intérieur comme à l’extérieur de l’équipement sportif.Des prescriptions ajustables au niveau local
Ces prescriptions pourront être adaptées si les installations sont couplées à des dispositifs de détection de présence par exemple. De même qu’il faudra prendre en compte les contraintes topographiques de luminosité naturelle pour tenir compte des assombrissements prématurés ou tardifs. Ainsi, des ajustements locaux peuvent être mis en place par le préfet.En tout cas, les éclairages extérieurs, mais aussi les éclairages intérieurs qui émettent de la lumière vers l’extérieur, doivent être conçus de manière à limiter les nuisances, notamment les troubles excessif aux personnes, mais aussi à la faune, à la flore, aux écosystèmes, ainsi qu’un gaspillage énergétique.