La gymnastique est l’éducation du mouvement, elle ne se propose ni à la recherche exagérée de la force musculaire, ni l’habilité à vaincre les difficultés exceptionnelles, ce qui est le propre de l’athlétisme.
Chez l’enfant, son but est de développer le corps d’une façon normale dans toutes ses parties et de le fortifier, chez l’adulte, d’établir l’équilibre entre l’activité physique et l’activité intellectuelle afin d’entretenir l’harmonie fonctionnelle qui constitue la santé ; chez le vieillard de conserver au corps sa souplesse et de retarder la déchéance physique.
Avant 7 ans : pas de gymnastique spéciale, quand l’enfant est bien conformé. Pour le petit bébé, l’étendre sur son lit ou sur un tapis, sans maillot qui le comprime, afin qu’il gesticule à son aise : le garantir seulement contre les chute et le froid. Un peu plus grand, le laisser jouer à sa guise, courir, sauter, marcher à quatre pattes, lutter contre ses camarades.
De 7 à 15 ans, C’est l’âge où la gymnastique est le plus nécessaire. A partir de 12 ans, l’exercice doit être quotidien et d’une durée minimum de 1 heure et demi par jour. Exercices d’assouplissement, mouvement de réflexion, de rotation et d’inclinaison de la tête et du cou, il faut apprendre l’enfant à respirer. Les jeux constituent la meilleure forme d’exercice chez l’enfant qui conserve la joie de la liberté.
Pour les adolescents et les adultes : la gymnastique « utile » n’admet que des mouvements simples, sinon il sont mal exécutés, partant inefficaces. Inutile d’en faire beaucoup, l’essentiel est d’en faire tous les jours. Les pratiquer au saut du lit, à peine au point vêtu, de manière à prendre en même temps un bain d’air, dans une chambre très aérée ou mieux avec la fenêtre grande ouverte : les renouveler si on a le loisir, l’après midi et le soir en se couchant pour se préparer au sommeil.
Cependant, le cœur des adolescents qui se livrent à la gymnastique doit toujours être surveillé ; si les pulsations sont excessives après l’exercice, il faut le réduire. Par ailleurs, le système osseux peut être altéré par la fatigue chez l’adolescent ; et les douleurs sont un signe l’alarme. Enfin, le système nerveux traduit de la fatigue quant on soumet l’enfant à un exercice excessif ; l’enfant dors moins bien et accuse une dépression et de la nervosité.
Bref, la gymnastique est nécessaire à tout le monde et à tous les âges, elle est seulement contre indiquée que dans le cas de phlébite ou d’infection grave avec suppuration des gaines tendineuses.
Chez l’enfant, son but est de développer le corps d’une façon normale dans toutes ses parties et de le fortifier, chez l’adulte, d’établir l’équilibre entre l’activité physique et l’activité intellectuelle afin d’entretenir l’harmonie fonctionnelle qui constitue la santé ; chez le vieillard de conserver au corps sa souplesse et de retarder la déchéance physique.
Avant 7 ans : pas de gymnastique spéciale, quand l’enfant est bien conformé. Pour le petit bébé, l’étendre sur son lit ou sur un tapis, sans maillot qui le comprime, afin qu’il gesticule à son aise : le garantir seulement contre les chute et le froid. Un peu plus grand, le laisser jouer à sa guise, courir, sauter, marcher à quatre pattes, lutter contre ses camarades.
De 7 à 15 ans, C’est l’âge où la gymnastique est le plus nécessaire. A partir de 12 ans, l’exercice doit être quotidien et d’une durée minimum de 1 heure et demi par jour. Exercices d’assouplissement, mouvement de réflexion, de rotation et d’inclinaison de la tête et du cou, il faut apprendre l’enfant à respirer. Les jeux constituent la meilleure forme d’exercice chez l’enfant qui conserve la joie de la liberté.
Pour les adolescents et les adultes : la gymnastique « utile » n’admet que des mouvements simples, sinon il sont mal exécutés, partant inefficaces. Inutile d’en faire beaucoup, l’essentiel est d’en faire tous les jours. Les pratiquer au saut du lit, à peine au point vêtu, de manière à prendre en même temps un bain d’air, dans une chambre très aérée ou mieux avec la fenêtre grande ouverte : les renouveler si on a le loisir, l’après midi et le soir en se couchant pour se préparer au sommeil.
Cependant, le cœur des adolescents qui se livrent à la gymnastique doit toujours être surveillé ; si les pulsations sont excessives après l’exercice, il faut le réduire. Par ailleurs, le système osseux peut être altéré par la fatigue chez l’adolescent ; et les douleurs sont un signe l’alarme. Enfin, le système nerveux traduit de la fatigue quant on soumet l’enfant à un exercice excessif ; l’enfant dors moins bien et accuse une dépression et de la nervosité.
Bref, la gymnastique est nécessaire à tout le monde et à tous les âges, elle est seulement contre indiquée que dans le cas de phlébite ou d’infection grave avec suppuration des gaines tendineuses.
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