Les efforts intellectuels exigés par les examens, une forte concentration sur un sujet ou encore le travail nous font consommer plus d’énergie que nous le croyons, ce sont les préalables nécessaires aux dépressions nerveuses et la fatigue générale.
La fatigue produite par un exercice varie beaucoup avec l’habitude qu’on en a. Tel exercice, qui ne pouvait être exécuté que pendant quelques minutes les premières fois où l’on s’y livrait, pourra être prolongé ensuite facilement pendant longtemps.
Cette accoutumance progressive, comme intensité d’action et durée, doit être proportionnés aux forces de chacun, et se nomme l’entraînement. L’adaptation au but poursuivi s’opère peu à peu par un accroissement des muscles, la suppression de la graisse interposée entre leurs fibres, et aussi par une meilleure utilisation de ceux utiles et une moindre dépense nerveuse. Le poumon fonctionne aussi d’une façon plus régulière. Les respirations doivent être plus amples, mais non plus nombreuses ; elles se feront par le nez et non par la bouche.
La diminution de pression des artères, produite par l’afflux sanguin dans un muscle en action, est compensée par un accroissement des battements du cœur qui ne doivent pas dépasser plus de 4 à 5 le chiffre ordinaire.
Après un travail, un temps d’inaction est nécessaire pour permettre l’élimination complète des déchets et de l’acide carbonique. Le sommeil y ajoutera le repos du système nerveux. La fatigue et surtout l’essoufflement indiquent le moment de cet arrêt du travail, qui sera lui-même proportionné à l’intensité et à la durée de l’effort accompli.
Après le déjeuner, il faut au moins prendre une petite sieste, au moins 30 minutes, et fermer les yeux même si l’on ne plonge pas dans un profond sommeil. Cela permettra de donner une récréation à notre organisme, et le préparer au prochain exercice de l’après midi.
La fatigue produite par un exercice varie beaucoup avec l’habitude qu’on en a. Tel exercice, qui ne pouvait être exécuté que pendant quelques minutes les premières fois où l’on s’y livrait, pourra être prolongé ensuite facilement pendant longtemps.
Cette accoutumance progressive, comme intensité d’action et durée, doit être proportionnés aux forces de chacun, et se nomme l’entraînement. L’adaptation au but poursuivi s’opère peu à peu par un accroissement des muscles, la suppression de la graisse interposée entre leurs fibres, et aussi par une meilleure utilisation de ceux utiles et une moindre dépense nerveuse. Le poumon fonctionne aussi d’une façon plus régulière. Les respirations doivent être plus amples, mais non plus nombreuses ; elles se feront par le nez et non par la bouche.
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Après un travail, un temps d’inaction est nécessaire pour permettre l’élimination complète des déchets et de l’acide carbonique. Le sommeil y ajoutera le repos du système nerveux. La fatigue et surtout l’essoufflement indiquent le moment de cet arrêt du travail, qui sera lui-même proportionné à l’intensité et à la durée de l’effort accompli.
Après le déjeuner, il faut au moins prendre une petite sieste, au moins 30 minutes, et fermer les yeux même si l’on ne plonge pas dans un profond sommeil. Cela permettra de donner une récréation à notre organisme, et le préparer au prochain exercice de l’après midi.
Mots clé : acide carbonique, depression nerveuse, effort, entrainement, entrainement intellectuel, essoufflement, exercice, fatigue, fatigue generale, repos, sieste, sommeil, systeme nerveux, travail fatigue, entrainement, entrainement intellectuel, exercice, repos, sommeil, travail, systeme nerveux, essoufflement, sieste, acide carbonique, effort, depression nerveuse, fatigue generale
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