L’agriculture biologique se distingue de tout autre mode de production par l’absence totale d’utilisation d’engrais, de pesticide ou tout autre produit artificiel. Il respecte la nature, l’homme et l’animal ; la génétique est hors de portée quand on parle d’agriculture biologique. L’agriculture biologique applique la rotation de culture tout au long de l’année pour permettre au sol de garder sa fertilité.
Si l’agriculture biologique semble être une solution sociale contre la famine et économique avec la création d’emplois, elle soulève une problématique entre les produits naturels et les produits biologiques : un grand problème d’appellation. Puisque tout produits utilisés sont certifiés « Naturels », la guerre des mots est ouverte. Les partisans de l’agriculture biologique se voient leurs produits refusés d’être qualifiés de « Naturel » mais « Biologique ». Dans ce cas, où se situe la différence ?
Autre enjeu, ce mode de production dénigre l’économie en consommation d’énergie accompagnée d’une production de masse car elle coûte cher d’où est né la génétique en agriculture. Pour atteindre son objectif, l’agriculture bio requiert plus de main d’œuvre, plus de surface de plantation donc plus de consommation énergétique.
Plus développée dans les zones rurales, l’agriculture bio permet de créer un terroir diversifié, créer un marché de proximité auprès des agriculteurs en favorisant la vente directe auprès des consommateurs. Le maintien de l’activité agricole favorise le recyclage et le respect au mieux les paysages. Désormais l’agriculture répond au besoin social, économique tout en évitant le recours aux organismes génétiquement modifiés (OGM) : une marche évidente vers un développement économique durable.
Si l’agriculture biologique semble être une solution sociale contre la famine et économique avec la création d’emplois, elle soulève une problématique entre les produits naturels et les produits biologiques : un grand problème d’appellation. Puisque tout produits utilisés sont certifiés « Naturels », la guerre des mots est ouverte. Les partisans de l’agriculture biologique se voient leurs produits refusés d’être qualifiés de « Naturel » mais « Biologique ». Dans ce cas, où se situe la différence ?
Autre enjeu, ce mode de production dénigre l’économie en consommation d’énergie accompagnée d’une production de masse car elle coûte cher d’où est né la génétique en agriculture. Pour atteindre son objectif, l’agriculture bio requiert plus de main d’œuvre, plus de surface de plantation donc plus de consommation énergétique.
Plus développée dans les zones rurales, l’agriculture bio permet de créer un terroir diversifié, créer un marché de proximité auprès des agriculteurs en favorisant la vente directe auprès des consommateurs. Le maintien de l’activité agricole favorise le recyclage et le respect au mieux les paysages. Désormais l’agriculture répond au besoin social, économique tout en évitant le recours aux organismes génétiquement modifiés (OGM) : une marche évidente vers un développement économique durable.
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