La mère de famille devrait être la première à prendre conscience qu’à la cuisine, elle travaille pour le bien des siens. C’est elle qui pourra jeter les bases de la santé de ses enfants, conserver ou améliorer de son mari et éviter à tous, au moins en partie, ces fameuses maladies dégénératives. Il faut qu’elle se familiarise avec les principes d’une alimentation saine et complète, qu’elle connaisse les vertus des bons aliments. Elle doit s’initier aux formes de préparation idéale de chaque fruit ou légume, pour tirer le maximum de profit de la vertu curative de chaque plat. Elle pourra se baser sur les préceptes suivants, qui lui serviront de points de repères :
Chaque repas débutera par des crudités variés selon la saison ; elles représenteront au moins 10% de la ration alimentaire, mais ce minimum peut être légèrement dépassé.
Les aliments essentiels et fondamentaux sont le pain complet, laitage, noix, fruits, légumes, salades, racines et tubercules râpés. La viande, le poisson, les œufs sont des aliments de deuxième ordre.
Le régime alimentaire adopté par la majorité : aliments cuits, viandes, graisses animales et végétales dures, pâtes, semoule, farine, riz… est sans valeur.
La simplicité des repas et la sobriété doivent être une principe.
Il faut toujours prendre le temps de manger et surtout de mastiquer. Les fruits oléagineux, le pain complet nécessitent, en particulier une bonne mastication.
Seuls les produits frais et naturels sont du vrais aliments
Un régime bien équilibré ne nécessite pas obligatoirement l’adjonction de sel de cuisine.
L’odorat a aussi son rôle dans l’alimentation. La saveur et l’arôme des aliments favorisent la digestion.
Avec cette importance accrue du NATUREL, les cultures scientifiques devraient viser non seulement eu rendement, à l’accélération de la croissance et à l’augmentation de la récolte, mais aussi à l’amélioration de la qualité et au relèvement de la valeur biologique. Une vie saine résultera d’une terre saine, tant que l’agriculture et l’élevage se feront dans le cadre du biologique car il existe un rapport inévitable d’interdépendance entre la santé, le sol, la plante, la bête et l’homme.
Chaque repas débutera par des crudités variés selon la saison ; elles représenteront au moins 10% de la ration alimentaire, mais ce minimum peut être légèrement dépassé.
Les aliments essentiels et fondamentaux sont le pain complet, laitage, noix, fruits, légumes, salades, racines et tubercules râpés. La viande, le poisson, les œufs sont des aliments de deuxième ordre.
Le régime alimentaire adopté par la majorité : aliments cuits, viandes, graisses animales et végétales dures, pâtes, semoule, farine, riz… est sans valeur.
La simplicité des repas et la sobriété doivent être une principe.
Il faut toujours prendre le temps de manger et surtout de mastiquer. Les fruits oléagineux, le pain complet nécessitent, en particulier une bonne mastication.
Seuls les produits frais et naturels sont du vrais aliments
Un régime bien équilibré ne nécessite pas obligatoirement l’adjonction de sel de cuisine.
L’odorat a aussi son rôle dans l’alimentation. La saveur et l’arôme des aliments favorisent la digestion.
Avec cette importance accrue du NATUREL, les cultures scientifiques devraient viser non seulement eu rendement, à l’accélération de la croissance et à l’augmentation de la récolte, mais aussi à l’amélioration de la qualité et au relèvement de la valeur biologique. Une vie saine résultera d’une terre saine, tant que l’agriculture et l’élevage se feront dans le cadre du biologique car il existe un rapport inévitable d’interdépendance entre la santé, le sol, la plante, la bête et l’homme.
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