L’histoire d’A.lmodovar…
Pétri d’histoires d’amours imbriquées, « Etreintes brisées » de Pedro Almodovar fut présenté sur la Croisette le mardi 19 mai 2009, suivi le lendemain de sa sortie nationale accompagnée d’un très bon démarrage et une reconnaissance unanime de la presse et des spectateurs (3ème du classement des critiques Presse et 13ème du classement des critiques spectateurs du portail « allo ciné »).
Pénéloppe Cruz, tour à tour compagne d’un milliardaire devenu producteur par amour, amante cachée d’un réalisateur et actrice d’une comédie; déploie un panel de rôles tout en nuances et en subtilité.
Est-ce le jeu éclatant de Pénéloppe Cruz, la maturité d’un cinéma de plus en plus universel chez Almodovar, la réflexion livrée sur l’identité et le processus de création, ou encore avec ce perpétuel balancement entre drame et humour marque de fabrique du maître, qui enivre ?
Tous ces éléments y contribuent clairement tout comme un scénario, récit d’histoires entremêlées à niveau de lecture multiples, là aussi estampillé Almodovar.
L’histoire d’A.ng Lee…
Après une succession de six tragédies étalées sur une quinzaine d’année, Ang Lee nous propose une comédie dramatique « taking woodstock » adaptée du roman d’Elliot Tiber sur cette époque mythique des années hippies.
« taking woodstock » rassemble un condensé des valeurs et pratiques de cette époque mises en valeur par une histoire touchante, celle autobiographique de Demetri Martin allias Elliot Tiber décorateur d'intérieur à Greenwich Village aux attirances gays, qui tente de sauver de la faillite l’hôtel miteux de ses parents et va rencontrer une chance incroyable : accueillir un festival hippies dans sa petite ville natale aux mœurs bien conservatrices.
La fraternité, l’amour libre, les drogues planantes, la musique hippies et l’acceptation des différences se réunissent dans un film très fidèle à l’esprit de la vague peace and love, sorte de cure de jouvence hippie …« Taking woodstock » nous renvoie immanquablement aux valeurs de nos sociétés d’aujourd’hui et nous laisse comme un arrière goût de nostalgie !
Publié par Gus. Rédacteur sur www.meltingactu.com >> Retrouvez les bandes annonces et plus de visuels Ici et notre dossier spécial 62ème édition du Festival de Cannes 2009
Pétri d’histoires d’amours imbriquées, « Etreintes brisées » de Pedro Almodovar fut présenté sur la Croisette le mardi 19 mai 2009, suivi le lendemain de sa sortie nationale accompagnée d’un très bon démarrage et une reconnaissance unanime de la presse et des spectateurs (3ème du classement des critiques Presse et 13ème du classement des critiques spectateurs du portail « allo ciné »).
Pénéloppe Cruz, tour à tour compagne d’un milliardaire devenu producteur par amour, amante cachée d’un réalisateur et actrice d’une comédie; déploie un panel de rôles tout en nuances et en subtilité.
Est-ce le jeu éclatant de Pénéloppe Cruz, la maturité d’un cinéma de plus en plus universel chez Almodovar, la réflexion livrée sur l’identité et le processus de création, ou encore avec ce perpétuel balancement entre drame et humour marque de fabrique du maître, qui enivre ?
Tous ces éléments y contribuent clairement tout comme un scénario, récit d’histoires entremêlées à niveau de lecture multiples, là aussi estampillé Almodovar.
L’histoire d’A.ng Lee…
Après une succession de six tragédies étalées sur une quinzaine d’année, Ang Lee nous propose une comédie dramatique « taking woodstock » adaptée du roman d’Elliot Tiber sur cette époque mythique des années hippies.
« taking woodstock » rassemble un condensé des valeurs et pratiques de cette époque mises en valeur par une histoire touchante, celle autobiographique de Demetri Martin allias Elliot Tiber décorateur d'intérieur à Greenwich Village aux attirances gays, qui tente de sauver de la faillite l’hôtel miteux de ses parents et va rencontrer une chance incroyable : accueillir un festival hippies dans sa petite ville natale aux mœurs bien conservatrices.
La fraternité, l’amour libre, les drogues planantes, la musique hippies et l’acceptation des différences se réunissent dans un film très fidèle à l’esprit de la vague peace and love, sorte de cure de jouvence hippie …« Taking woodstock » nous renvoie immanquablement aux valeurs de nos sociétés d’aujourd’hui et nous laisse comme un arrière goût de nostalgie !
Publié par Gus. Rédacteur sur www.meltingactu.com >> Retrouvez les bandes annonces et plus de visuels Ici et notre dossier spécial 62ème édition du Festival de Cannes 2009