De plus en plus de structures et de praticiens ne se reposent plus (tout ou partie) sur des critères de temps à partir du jour de la lésion ou de l’intervention. Le schéma classique J0, J+10,J+21, J+60, etc… se trouve délaissé au profit d’une évolution plus objective basée sur des tests et la capacité à produire certaines activités.
L’intérêt principal mis en avant par les utilisateurs de ce suivi, est une plus grande adaptation à l’individu et donc l’optimisation (notamment en termes de délai de reprise) de la rééducation/réhabilitation.
La principale critique que l’on peut avancer est la perte de vue des délais de cicatrisation. Effectivement, même si, à la marge, d’un individu à l’autre, il peut y avoir des variations, on ne peut évacuer –par exemple- la phase de fragilité du greffon dans la reconstruction du LCA.
Ci-dessous, le protocole des équipes nationales espagnoles de rugby.
Le médecin responsable de la structure, le DR Olmo J., annonce se rapprocher de ce qui se pratique dans le football en Espagne et en Italie.
L’intérêt principal mis en avant par les utilisateurs de ce suivi, est une plus grande adaptation à l’individu et donc l’optimisation (notamment en termes de délai de reprise) de la rééducation/réhabilitation.
La principale critique que l’on peut avancer est la perte de vue des délais de cicatrisation. Effectivement, même si, à la marge, d’un individu à l’autre, il peut y avoir des variations, on ne peut évacuer –par exemple- la phase de fragilité du greffon dans la reconstruction du LCA.
Ci-dessous, le protocole des équipes nationales espagnoles de rugby.
Le médecin responsable de la structure, le DR Olmo J., annonce se rapprocher de ce qui se pratique dans le football en Espagne et en Italie.