Quand on parle de transmission, on pense d’emblée à patrimoine, argent, héritage.
Or, le côté financier n’est pas le plus important. D’abord, tout le monde n’a pas de patrimoine à transmettre. Ensuite, transmettre son savoir-faire, son savoir-être, ses convictions, ses valeurs, son histoire ne coûtent rien et sont incontestablement une plus grande richesse.
Or, le côté financier n’est pas le plus important. D’abord, tout le monde n’a pas de patrimoine à transmettre. Ensuite, transmettre son savoir-faire, son savoir-être, ses convictions, ses valeurs, son histoire ne coûtent rien et sont incontestablement une plus grande richesse.
Tout le monde n'est pas réceptif
Bien entendu, pour léguer son savoir, encore faut-il que la personne qui est amenée à recevoir soit réceptive. Or, ce n’est pas toujours évident de donner si la personne en face de soi semble peu intéressée. Elle peut vous trouver barbant, assommant, voire casse-pieds.
Vous ne devez surtout pas abandonner. Il faut trouver pour chacun le moyen et le moment pour parvenir à vos fins. Ce n’est pas forcément un dialogue : un écrit, une vidéo, un audio peuvent servir de supports très intéressants pour laisser une trace.
Vous ne devez surtout pas abandonner. Il faut trouver pour chacun le moyen et le moment pour parvenir à vos fins. Ce n’est pas forcément un dialogue : un écrit, une vidéo, un audio peuvent servir de supports très intéressants pour laisser une trace.
Pour bien grandir, il faut des racines solides.
De plus en plus de personnes sont en demande, ont soif de connaissances. Elles s’aperçoivent que tout ce qui est ancien n’est pas forcément obsolète, périmé, dépassé. La collectivité l’a d’ailleurs bien compris. De nombreuses initiatives fleurissent chaque jour.
Par exemple :
- des associations d’anciens artisans apprennent à des enfants le travail du bois, la ferronnerie, etc.
- des clubs de tricot voient le jour un peu partout en France
- des livres de cuisine « de grand-mère » apparaissent en grand nombre dans les librairies
- les trucs et astuces des « anciens » sont remis au goût du jour
- des élèves des écoles visitent régulièrement les maisons de retraite
- des anciens combattants, des anciens déportés, conscients du devoir de mémoire, se rendent dans les classes pour raconter leur douloureuse expérience
- des jeunes prennent même l’initiative d’aller enregistrer les histoires, les chants, les souvenirs de leurs « aînés »
etc.
Par exemple :
- des associations d’anciens artisans apprennent à des enfants le travail du bois, la ferronnerie, etc.
- des clubs de tricot voient le jour un peu partout en France
- des livres de cuisine « de grand-mère » apparaissent en grand nombre dans les librairies
- les trucs et astuces des « anciens » sont remis au goût du jour
- des élèves des écoles visitent régulièrement les maisons de retraite
- des anciens combattants, des anciens déportés, conscients du devoir de mémoire, se rendent dans les classes pour raconter leur douloureuse expérience
- des jeunes prennent même l’initiative d’aller enregistrer les histoires, les chants, les souvenirs de leurs « aînés »
etc.
Les nouvelles technologies peuvent être d'un grand secours
Il faut dire que les nouvelles technologies sont d’un grand secours pour pouvoir transmettre plus facilement et au plus grand nombre, pour garder des traces… D’ailleurs, de plus en plus de personnes se mettent à l’informatique, ont des blogs pour partager leurs souvenirs, leurs connaissances, leur savoir-faire.
Aujourd’hui, il est plus facile de communiquer avec le monde entier qu’en face à face. Certains trouvent cela dommage mais le principal n’est-il pas que la transmission se fasse, que l’information, que l’expérience ne soient pas perdues ?
Aujourd’hui, il est plus facile de communiquer avec le monde entier qu’en face à face. Certains trouvent cela dommage mais le principal n’est-il pas que la transmission se fasse, que l’information, que l’expérience ne soient pas perdues ?
Première publication sur notre ancien site le Dimanche 27 mai 2007, modifié ce jour.