La Planète ne peut pas assumer la surpopulation
La Planète est en danger
Cela fait déjà pas mal de temps que l’on entend des termes comme « surpopulation », « dénatalité », « maîtrise des naissances » dans la bouche de certains écologistes qui font un calcul très simple : plus il y a de naissances, plus il y aura de bouches à nourrir et à élever et plus il faudra produire de nourriture, d’énergie et autres produits pour subvenir aux besoins de toute cette population qui ne cesse de grandir.
Arithmétiquement, cette équation est juste. Effectivement, plus on est nombreux, plus il faudra produire.
Or, la Planète est déjà dans un tel état, avec les famines, les problèmes d’eau potable, de gaz à effet de serre, d’énergies, de logement, etc., qu’il semble que l’on fonce droit dans le mur si la population continue à grandir de cette façon. Il faudra très prochainement plus de 3 Planètes pour subvenir aux besoins de tous ses habitants.
Arithmétiquement, cette équation est juste. Effectivement, plus on est nombreux, plus il faudra produire.
Or, la Planète est déjà dans un tel état, avec les famines, les problèmes d’eau potable, de gaz à effet de serre, d’énergies, de logement, etc., qu’il semble que l’on fonce droit dans le mur si la population continue à grandir de cette façon. Il faudra très prochainement plus de 3 Planètes pour subvenir aux besoins de tous ses habitants.
Une solution toute trouvée : ne plus faire d’enfants
Pour éviter que la Planète, déjà au bord du gouffre, n’explose définitivement, certains écologistes comme Michel Tarrier et Yves Cochet proposent de maîtriser les naissances en proposant, notamment, la contraception gratuite aux populations du Sud.
Cela éviterait ainsi aux pays les plus pauvres de faire des ribambelles d’enfants, qu’ils n’arrivent déjà pas à nourrir aujourd’hui.
Cette solution pour sauver la Planète semble prometteuse et logique. Mais n’est-elle pas dangereuse ?
Cela éviterait ainsi aux pays les plus pauvres de faire des ribambelles d’enfants, qu’ils n’arrivent déjà pas à nourrir aujourd’hui.
Cette solution pour sauver la Planète semble prometteuse et logique. Mais n’est-elle pas dangereuse ?
Une solution peut-être dangereuse : qui aura droit de faire des enfants ?
Dès que j’entends des mots comme « maîtrise des naissances », cela me fait froid dans le dos. Passionnée d’Histoire et de l’époque de la Seconde Guerre Mondiale, cela me fait immédiatement penser à l’eugénisme, cher à Hitler.
Sous prétexte d’avoir une race pure, il avait orchestré l’élimination des Juifs (au départ il avait pensé à une simple stérilisation, trop compliquée à mettre en place), des aliénés, des handicapés et il avait mis en place des maisons spécialisées, les Lebensborn, destinées à accueillir de bonnes filles allemandes qui avaient pour fonction de faire des tas d’enfants bien aryens. Il y a quelques années, j’ai lu un livre passionnant sur le sujet : « Etre une femme sous le IIIème Reich », de Tita Thalmann. Grâce à ce livre, qui m’a marquée, j’ai compris ce qu’était l’eugénisme !
Pour ceux qui ne savent pas ce qu’est l’eugénisme, voici la définition du Larousse : « Théorie cherchant à opérer une sélection sur les collectivités humaines à partir des lois de la génétique. »
Loin de moi l’idée de penser que les « dénatalistes » soient de fervents adeptes de l’eugénisme. Je ne le crois pas une seule seconde.
Mais, les dérives sont toujours possibles. On peut d’ailleurs légitimement se demander qui aura droit, dans quelques années, de faire des enfants : les élites, les riches, les personnes en excellente santé, les personnes éduquées, les travailleurs, les gens à la bonne morale… ?
Déjà en Angleterre, sou prétexte de protéger les enfants, on retire des bébés à leurs parents chômeurs, handicapés (par exemple aux mères sourdes sous prétexte qu’elles ne vont pas entendre les cris et pleurs de leur bébé !) pour les donner à des couples « bien sous tous rapports ». Tout est envisageable, à partir du moment où l’on décide de limiter les naissances.
La Planète est-elle vraiment en danger à cause de la surpopulation qui s’annonce ? Des solutions n’existent-elles pas pour éviter le chaos prédit ?
Sous prétexte d’avoir une race pure, il avait orchestré l’élimination des Juifs (au départ il avait pensé à une simple stérilisation, trop compliquée à mettre en place), des aliénés, des handicapés et il avait mis en place des maisons spécialisées, les Lebensborn, destinées à accueillir de bonnes filles allemandes qui avaient pour fonction de faire des tas d’enfants bien aryens. Il y a quelques années, j’ai lu un livre passionnant sur le sujet : « Etre une femme sous le IIIème Reich », de Tita Thalmann. Grâce à ce livre, qui m’a marquée, j’ai compris ce qu’était l’eugénisme !
Pour ceux qui ne savent pas ce qu’est l’eugénisme, voici la définition du Larousse : « Théorie cherchant à opérer une sélection sur les collectivités humaines à partir des lois de la génétique. »
Loin de moi l’idée de penser que les « dénatalistes » soient de fervents adeptes de l’eugénisme. Je ne le crois pas une seule seconde.
Mais, les dérives sont toujours possibles. On peut d’ailleurs légitimement se demander qui aura droit, dans quelques années, de faire des enfants : les élites, les riches, les personnes en excellente santé, les personnes éduquées, les travailleurs, les gens à la bonne morale… ?
Déjà en Angleterre, sou prétexte de protéger les enfants, on retire des bébés à leurs parents chômeurs, handicapés (par exemple aux mères sourdes sous prétexte qu’elles ne vont pas entendre les cris et pleurs de leur bébé !) pour les donner à des couples « bien sous tous rapports ». Tout est envisageable, à partir du moment où l’on décide de limiter les naissances.
La Planète est-elle vraiment en danger à cause de la surpopulation qui s’annonce ? Des solutions n’existent-elles pas pour éviter le chaos prédit ?
La Planète court-elle vraiment un si grand danger à cause de la surpopulation ?
Contrairement aux « dénatalistes », certains pensent que la Planète peut parfaitement assumer cette surpopulation :
N’oublions que les pauvres, eux, ne consomment pas à outrance de nourriture, d’énergie et qu’ils ne sont pas à l’origine du manque d’eau, des famines et du réchauffement climatique.
Ainsi, n’est-il pas mieux d’essayer de trouver des solutions raisonnables, plutôt que de s’engouffrer dans des solutions extrémistes, qui risquent de conduire à des dérives ?
- en répartissant mieux les richesses,
- en évitant aux pays riches de se goinfrer et d’utiliser les céréales pour faire du biocarburant ou pour nourrir des animaux destinés à l’alimentation humaine,
- en aidant les pays pauvres à se développer et en évitant de leur voler leurs terres agricoles
- en consommant moins et mieux…
N’oublions que les pauvres, eux, ne consomment pas à outrance de nourriture, d’énergie et qu’ils ne sont pas à l’origine du manque d’eau, des famines et du réchauffement climatique.
Ainsi, n’est-il pas mieux d’essayer de trouver des solutions raisonnables, plutôt que de s’engouffrer dans des solutions extrémistes, qui risquent de conduire à des dérives ?