Pourquoi avez-vous créé La Commune Immobilier ?
Acteur de l’immobilier depuis sept ans à Paris, j’ai eu la volonté de répondre à la demande de mes clients de plus de proximité et d’humanité dans le processus de transaction immobilière. Notre profession est souvent mal perçue, par manque d’empathie envers le projet immobilier de nos clients, et une forme de distance quant à l’objet de notre intermédiation, un bien immobilier, des m2 pour nous, un endroit plein de souvenirs, de vie et d’histoires pour nos clients.
L'originalité de La Commune Immobilier est de proposer des biens comme des lieux de vie et non seulement des mètres carrés, expliquez-nous votre concept ?
Notre idée est de rendre vivante une annonce immobilière, de l’incarner, à travers l’histoire des vendeurs, de l’immeuble, du quartier avec son âme, son originalité, ses commerçants, ses endroits emblématiques qui le rendent unique. Plus qu’un simple intermédiaire, nous sommes des passeurs de témoin d’un lieu unique, entre deux particuliers, deux parcours, deux histoires.
Quels services inédits apportez-vous à vos clients ?
Au-delà des services classiques d’une agence immobilière, nos clients apprécient notre connaissance parfaite de l’histoire des vendeurs, de l’immeuble et du quartier. Combien de fois la question a été posée à un agent immobilier de savoir « Pourquoi vendent ils ? » « de quand date l’immeuble ? » etc et de n’avoir qu’une vague réponse peu satisfaisante. Nous pensons que lorsque un client achète un appartement il acquiert un package, appartement, immeuble, quartier. Nous lui fournissons, sous forme d’un fascicule, toutes les informations qu’on aime avoir quand on arrive dans un nouveau lieu : la bonne boulangerie, la piscine la plus proche, les restos sympas… Un exemple : nous avons vendu dernièrement un appartement rue Blondel dans le 2ème arrondissement dans un immeuble original et classé. En discutant un peu avec le vendeur, et en cherchant des informations, nous nous sommes aperçus que l’immeuble était à l’origine une maison close, appelée « les belles poules », et qu’il constituait un des plus beaux témoins du Paris canaille de l’après-guerre. Nous avons mis cette information en avant, nos clients ont adoré !
Acteur de l’immobilier depuis sept ans à Paris, j’ai eu la volonté de répondre à la demande de mes clients de plus de proximité et d’humanité dans le processus de transaction immobilière. Notre profession est souvent mal perçue, par manque d’empathie envers le projet immobilier de nos clients, et une forme de distance quant à l’objet de notre intermédiation, un bien immobilier, des m2 pour nous, un endroit plein de souvenirs, de vie et d’histoires pour nos clients.
L'originalité de La Commune Immobilier est de proposer des biens comme des lieux de vie et non seulement des mètres carrés, expliquez-nous votre concept ?
Notre idée est de rendre vivante une annonce immobilière, de l’incarner, à travers l’histoire des vendeurs, de l’immeuble, du quartier avec son âme, son originalité, ses commerçants, ses endroits emblématiques qui le rendent unique. Plus qu’un simple intermédiaire, nous sommes des passeurs de témoin d’un lieu unique, entre deux particuliers, deux parcours, deux histoires.
Quels services inédits apportez-vous à vos clients ?
Au-delà des services classiques d’une agence immobilière, nos clients apprécient notre connaissance parfaite de l’histoire des vendeurs, de l’immeuble et du quartier. Combien de fois la question a été posée à un agent immobilier de savoir « Pourquoi vendent ils ? » « de quand date l’immeuble ? » etc et de n’avoir qu’une vague réponse peu satisfaisante. Nous pensons que lorsque un client achète un appartement il acquiert un package, appartement, immeuble, quartier. Nous lui fournissons, sous forme d’un fascicule, toutes les informations qu’on aime avoir quand on arrive dans un nouveau lieu : la bonne boulangerie, la piscine la plus proche, les restos sympas… Un exemple : nous avons vendu dernièrement un appartement rue Blondel dans le 2ème arrondissement dans un immeuble original et classé. En discutant un peu avec le vendeur, et en cherchant des informations, nous nous sommes aperçus que l’immeuble était à l’origine une maison close, appelée « les belles poules », et qu’il constituait un des plus beaux témoins du Paris canaille de l’après-guerre. Nous avons mis cette information en avant, nos clients ont adoré !