Un couple de Parisiens a vécu une histoire incroyable ces derniers jours alors qu’ils rentraient tranquillement d’une soirée chez des amis. Paul raconte la suite : « En arrivant devant notre porte d’entrée, nous avons été intrigués par le bruit de rires et de bouteilles qui semblait venir de notre appartement. Pourtant, très vite, nous nous sommes rendus compte que notre porte n’était pas fracturée et que nous étions bien chez nous ! Ma femme me demandait de prévenir la police car elle craignait que des intrus étaient entrés chez nous par notre terrasse qui donne sur le toit d’un immeuble mitoyen. Les volets de notre baie donnant sur la terrasse étaient fermés comme d’habitude lorsque nous quittons notre appartement. J’ai donc composé le 17 ».
Les policiers, au bout de quelques minutes d’attente répondent à Paul. Ils lui indiquent ne pas pouvoir intervenir s’il n’y a pas effraction et demandent à Paul de vérifier par lui-même l’intérieur de son logement en lui précisant de ne pas prendre de risques ! « Cela me paraissait invraisemblable mais j’ai donc pris le risque d’ouvrir doucement ma porte en essayant de faire le moins de bruit possible. Dans l’entrée il fait noir, il ne semble y avoir personne dans l’appartement mais très vite je m’aperçois qu’il y a de la lumière qui passe par les interstices des volets de la terrasse ! Je comprends vite que des gens l’occupent ! Immédiatement je fais demi-tour et rappelle la police qui cette fois dépêche une patrouille sur place. C’est au moins dix policiers qui investissent mon appartement quelques minutes plus tard ! Ils décident de les prendre par surprise en actionnant l’ouverture automatique des volets ». Au bout de quelques secondes, une bande d’une quinzaine de fêtards se retrouvent nez à nez avec les policiers qui les interpellent. » Plus tard, Paul apprendra que la bande a pénétré chez lui en passant par le toit de l’immeuble mitoyen pensant que personne ne viendrait les déranger. « Après le départ de la police, nous avons dénombré une cinquantaine de canettes et de bouteilles de bière sur la terrasse et des dizaines de cigarettes écrasées dans nos pots de fleurs ! », se désole Paul.
Les policiers, au bout de quelques minutes d’attente répondent à Paul. Ils lui indiquent ne pas pouvoir intervenir s’il n’y a pas effraction et demandent à Paul de vérifier par lui-même l’intérieur de son logement en lui précisant de ne pas prendre de risques ! « Cela me paraissait invraisemblable mais j’ai donc pris le risque d’ouvrir doucement ma porte en essayant de faire le moins de bruit possible. Dans l’entrée il fait noir, il ne semble y avoir personne dans l’appartement mais très vite je m’aperçois qu’il y a de la lumière qui passe par les interstices des volets de la terrasse ! Je comprends vite que des gens l’occupent ! Immédiatement je fais demi-tour et rappelle la police qui cette fois dépêche une patrouille sur place. C’est au moins dix policiers qui investissent mon appartement quelques minutes plus tard ! Ils décident de les prendre par surprise en actionnant l’ouverture automatique des volets ». Au bout de quelques secondes, une bande d’une quinzaine de fêtards se retrouvent nez à nez avec les policiers qui les interpellent. » Plus tard, Paul apprendra que la bande a pénétré chez lui en passant par le toit de l’immeuble mitoyen pensant que personne ne viendrait les déranger. « Après le départ de la police, nous avons dénombré une cinquantaine de canettes et de bouteilles de bière sur la terrasse et des dizaines de cigarettes écrasées dans nos pots de fleurs ! », se désole Paul.
