Conférence présentée par Marie-Laure Ruiz
Historienne de l'art
Diplômée des Etudes supérieures de l'Ecole du Louvre
Conférencière des Musées nationaux
Zao Wou-Ki, la puissance de l'abstraction chinoise
"Un art indompté
Né en Chine en 1920, Zao Wou-Ki n’est jamais entré dans le moule. Fasciné par l’anticonformisme de Picasso, Cézanne, Matisse et Monet, ce fils de banquier s’installe à Paris en 1948. Ami de Soulages, Hartung, de Staël et Sam Francis, il s’affranchit de tous les codes pour créer une peinture moderne et libre comme l’air. Imprégnées du souffle élégant de la calligraphie, qu’il pratiquait déjà enfant, ses toiles semblent parfois suggérer une colline, une cascade, un rocher ou un arbre, comme les paysages de la peinture chinoise ancestrale, à laquelle il fut formé aux Beaux-Arts de Hangzhou. Mais son art reste unique, indompté. Sans âge ni port d’attache, il parle à chacun de nous."
https://www.telerama.fr/sortir/zao-wou-ki,-la-puissance-de-labstraction-chinoise,n5708352.php
"Zao Wou-Ki est un artiste franco-chinois connu pour ses peintures non-figuratives qui mêlent styles artistiques occidental et oriental. « Les gens se définissent par une tradition. En ce qui me concerne, deux traditions me définissent », déclare-t-il. Semblable au style des expressionnistes abstraits, l’artiste abstrait lyrique Zao admire le travail de Jakson Pollock et Franz Kline. Né le 1er février 1920 à Pékin en Chine, il étudie à la Hangzhou Fine Arts School pendant six ans et est influencé par le travail de Pablo Picasso, Paul Cézanne, Henri Matisse et plus particulièrement Paul Klee. Il s’installe à Paris en 1947, devient voisin d’Alberto Giacometti et ami avec Sam Francis, Joan Mitchell, Jean-Paul Riopelle et Pierre Soulages . Zao devient citoyen français en 1964. Le peintre et graveur meurt le 9 avril 2013 à Nyon en Suisse à l’âge de 93 ans. Ses œuvres figurent dans les collections de la Tate Modern à Londres et du musée Guggenheim et du MoMA à New York..."
http://www.artnet.fr/artistes/zao-wou-ki/
Né en Chine en 1920, Zao Wou-Ki n’est jamais entré dans le moule. Fasciné par l’anticonformisme de Picasso, Cézanne, Matisse et Monet, ce fils de banquier s’installe à Paris en 1948. Ami de Soulages, Hartung, de Staël et Sam Francis, il s’affranchit de tous les codes pour créer une peinture moderne et libre comme l’air. Imprégnées du souffle élégant de la calligraphie, qu’il pratiquait déjà enfant, ses toiles semblent parfois suggérer une colline, une cascade, un rocher ou un arbre, comme les paysages de la peinture chinoise ancestrale, à laquelle il fut formé aux Beaux-Arts de Hangzhou. Mais son art reste unique, indompté. Sans âge ni port d’attache, il parle à chacun de nous."
https://www.telerama.fr/sortir/zao-wou-ki,-la-puissance-de-labstraction-chinoise,n5708352.php
"Zao Wou-Ki est un artiste franco-chinois connu pour ses peintures non-figuratives qui mêlent styles artistiques occidental et oriental. « Les gens se définissent par une tradition. En ce qui me concerne, deux traditions me définissent », déclare-t-il. Semblable au style des expressionnistes abstraits, l’artiste abstrait lyrique Zao admire le travail de Jakson Pollock et Franz Kline. Né le 1er février 1920 à Pékin en Chine, il étudie à la Hangzhou Fine Arts School pendant six ans et est influencé par le travail de Pablo Picasso, Paul Cézanne, Henri Matisse et plus particulièrement Paul Klee. Il s’installe à Paris en 1947, devient voisin d’Alberto Giacometti et ami avec Sam Francis, Joan Mitchell, Jean-Paul Riopelle et Pierre Soulages . Zao devient citoyen français en 1964. Le peintre et graveur meurt le 9 avril 2013 à Nyon en Suisse à l’âge de 93 ans. Ses œuvres figurent dans les collections de la Tate Modern à Londres et du musée Guggenheim et du MoMA à New York..."
http://www.artnet.fr/artistes/zao-wou-ki/