Prunelli di Fium’Orbu s’étire entre deux fleuves. Le Fium’Orbu au nord, l’Abbatescu au sud. Composée de cinq hameaux principaux - Agnatellu, Abbazia, Migliacciaru, Morta et Casamozza - la commune fait partie des 143 communes du Parc naturel régional de Corse.
Le village de Prunelli est perché sur un promontoire rocheux, à 583 m d’altitude. De là, il observe et domine la Costa Serena. Les trois quarts du territoire de la commune s’étendent sur la plaine, jusqu’à la mer et la plage de Calzarellu. Depuis quelques années, cette fenêtre sur le littoral est particulièrement bichonnée. Toilettes, douches, poste de secours, aire de pique-nique ont été installés, ainsi qu’un accès handicapé.
De même, si la commune porte le nom de son village, c’est à Migliacciaru que la vie bat son plein. La zone industrielle où pullulent les grandes enseignes, et les établissements scolaires qui y sont concentrés, font de ce hameau le principal centre de vie de la commune.
Une église fascinante
Pourtant, c’est bien en haut du piton rocheux que bat le cœur de Prunelli. De là-haut, le panorama est à couper le souffle. Et les habitants sont plutôt bien lotis puisqu’avec un bureau de Poste, la mairie, un café, une bibliothèque associative et un musée, le village garde la vie tout au long de l’année. Même en plein cœur de l’hiver.
Une vie qui s’articule autour de l’église fortifiée Santa Maria di Prunelli. Sa date de construction est inconnue, mais on trouve mention du bâtiment dans des écrits du XVIe siècle. Longtemps, la légende a raconté que les habitants de Prunelli avaient monté de la plaine, et sur leur dos, toutes les pierres nécessaires à la reconstruction de leur église incendiée.
Plusieurs fois remaniée, détruite, agrandie… L’église Santa Maria attire de nombreux curieux, fascinés par son aspect défensif et son histoire.
L’Histoire en un musée
Les amoureux des vieilles pierres trouveront également leur bonheur en visitant le couvent San Francescu, construit par le Révérend Père François de Prunelli à partir de 1699. Grâce à l’abondance de pierre et de bois dans les environs, et à la bonne volonté des habitants, les travaux ne durèrent que quatre années.
Aujourd’hui, le couvent San Francescu est en ruine, mais des consolidations ont été réalisées, pour tenter d’endiguer l’œuvre du temps.
Prunelli possède également un musée, et de qualité, fondé par la fratrie Pieri.
Situé au cœur du village, Mnémosina - en référence à Mnemosyne, déesse de la mémoire et mère des Muses - retrace l’histoire du Fium’Orbu et mêle archéologie, arts et traditions populaires, Résistance...
En somme, Prunelli di Fium’Orbu est une commune qui allie adroitement modernité et tradition, littoral et altitude, passé et présent. Pour le plus grand bonheur de ses habitants, comme des visiteurs.
Le village de Prunelli est perché sur un promontoire rocheux, à 583 m d’altitude. De là, il observe et domine la Costa Serena. Les trois quarts du territoire de la commune s’étendent sur la plaine, jusqu’à la mer et la plage de Calzarellu. Depuis quelques années, cette fenêtre sur le littoral est particulièrement bichonnée. Toilettes, douches, poste de secours, aire de pique-nique ont été installés, ainsi qu’un accès handicapé.
De même, si la commune porte le nom de son village, c’est à Migliacciaru que la vie bat son plein. La zone industrielle où pullulent les grandes enseignes, et les établissements scolaires qui y sont concentrés, font de ce hameau le principal centre de vie de la commune.
Une église fascinante
Pourtant, c’est bien en haut du piton rocheux que bat le cœur de Prunelli. De là-haut, le panorama est à couper le souffle. Et les habitants sont plutôt bien lotis puisqu’avec un bureau de Poste, la mairie, un café, une bibliothèque associative et un musée, le village garde la vie tout au long de l’année. Même en plein cœur de l’hiver.
Une vie qui s’articule autour de l’église fortifiée Santa Maria di Prunelli. Sa date de construction est inconnue, mais on trouve mention du bâtiment dans des écrits du XVIe siècle. Longtemps, la légende a raconté que les habitants de Prunelli avaient monté de la plaine, et sur leur dos, toutes les pierres nécessaires à la reconstruction de leur église incendiée.
Plusieurs fois remaniée, détruite, agrandie… L’église Santa Maria attire de nombreux curieux, fascinés par son aspect défensif et son histoire.
L’Histoire en un musée
Les amoureux des vieilles pierres trouveront également leur bonheur en visitant le couvent San Francescu, construit par le Révérend Père François de Prunelli à partir de 1699. Grâce à l’abondance de pierre et de bois dans les environs, et à la bonne volonté des habitants, les travaux ne durèrent que quatre années.
Aujourd’hui, le couvent San Francescu est en ruine, mais des consolidations ont été réalisées, pour tenter d’endiguer l’œuvre du temps.
Prunelli possède également un musée, et de qualité, fondé par la fratrie Pieri.
Situé au cœur du village, Mnémosina - en référence à Mnemosyne, déesse de la mémoire et mère des Muses - retrace l’histoire du Fium’Orbu et mêle archéologie, arts et traditions populaires, Résistance...
En somme, Prunelli di Fium’Orbu est une commune qui allie adroitement modernité et tradition, littoral et altitude, passé et présent. Pour le plus grand bonheur de ses habitants, comme des visiteurs.