L'endroit demeure encore sauvage. Pour y arriver, on emprunte la fameuse route de la mer à Ghisonaccia. Celle qui entraîne locaux et visiteurs vers l'immense plage de sable fin. Les balades au domaine de Pinia font partie des passe-temps favoris des habitants de la Plaine orientale qui, chaque week-end, investissent les lieux.
Cette vaste pinède, la dernière grande forêt du littoral insulaire, est bordée par les rives de l'étang d'Urbino et par 3,5 kilomètres de plages. Pins maritimes, chênes verts, aulnes, saules, peupliers s'y côtoient, laissant parfois la place à un maquis dense, tandis que les différents parcours entraînent le visiteur vers des panoramas grandioses.
Cette forêt littorale, protégée par le Conservatoire du littoral, est le lieu de rendez-vous privilégié des amateurs de VTT qui aiment à s'y retrouver dès que les beaux jours reviennent. Jugez du peu : six parcours de santé permettent aussi bien de s'enfoncer dans la forêt que de longer la plage ou l'étang d'Urbino où les flamants roses élisent régulièrement domicile. Mais il ne faut pas s'y tromper : « On croit souvent qu'il n'y a que du plat à Pinia, alors que les passages techniques sont nombreux et variés. On peut se faire surprendre par certaines difficultés », précise Jean-François, un habitué des lieux.
Une manière de voir une multitude d'aspects environnementaux de l'île en quelques heures. Un moyen de se poser un instant et d'avoir la sensation que le temps s'est arrêté.
Cette vaste pinède, la dernière grande forêt du littoral insulaire, est bordée par les rives de l'étang d'Urbino et par 3,5 kilomètres de plages. Pins maritimes, chênes verts, aulnes, saules, peupliers s'y côtoient, laissant parfois la place à un maquis dense, tandis que les différents parcours entraînent le visiteur vers des panoramas grandioses.
Cette forêt littorale, protégée par le Conservatoire du littoral, est le lieu de rendez-vous privilégié des amateurs de VTT qui aiment à s'y retrouver dès que les beaux jours reviennent. Jugez du peu : six parcours de santé permettent aussi bien de s'enfoncer dans la forêt que de longer la plage ou l'étang d'Urbino où les flamants roses élisent régulièrement domicile. Mais il ne faut pas s'y tromper : « On croit souvent qu'il n'y a que du plat à Pinia, alors que les passages techniques sont nombreux et variés. On peut se faire surprendre par certaines difficultés », précise Jean-François, un habitué des lieux.
Une manière de voir une multitude d'aspects environnementaux de l'île en quelques heures. Un moyen de se poser un instant et d'avoir la sensation que le temps s'est arrêté.