C’est bien l’une des rares villes de l’île ou l’on peut - encore - barboter entre deux rendez-vous, deux visites de musées ou deux boutiques. La plage de Saint-François, qui longe le boulevard Pascal-Rossini, offre à ses occupants un moment de détente aussi fugace qu’interminable. Dans le prolongement de la citadelle, une étendue de sable fin se glisse au pied de la ville. Un peu plus loin, les rochers recouvrent les grains.
La mer comme seul décor, car ici, aucun établissement n’orne la plage. Fait rarissime dans l’île. Saint-François c’est aussi une alternative aux interminables embouteillages de la route des sanguinaires. Embouteillages qui chaque été séquestrent les plagistes dans leur véhicule, généralement pendant plus d’une heure. La plage de la ville détend ainsi les plus stressés du volant. Choisir Saint-François, c’est aussi avoir le choix dans les restaurants le soir, puisque les plagistes des sanguinaires seront encore dans les embouteillages à l’heure du dîner…
La mer comme seul décor, car ici, aucun établissement n’orne la plage. Fait rarissime dans l’île. Saint-François c’est aussi une alternative aux interminables embouteillages de la route des sanguinaires. Embouteillages qui chaque été séquestrent les plagistes dans leur véhicule, généralement pendant plus d’une heure. La plage de la ville détend ainsi les plus stressés du volant. Choisir Saint-François, c’est aussi avoir le choix dans les restaurants le soir, puisque les plagistes des sanguinaires seront encore dans les embouteillages à l’heure du dîner…