Résultats à Louviers
A Louviers, comme ailleurs, les électeurs ont vécu ces derniers mois au rythme des élchéances majeures de notre vie politique : élections présidentielle et législatives. A Louviers, plus qu’ailleurs, le résultat de l’élection législatives était attendu avec curiosité dans notre ville, où le maire récemment parachuté voulait devenir député de l’Eure.
Le résultat est implacable : M. Priollaud essuie une cuisante défaite, n’arrivant même pas à se qualifier pour le second tour. Un résultat qui fait douter de la qualité et de la solidité de son enracinement lovérien.
Certes, le résultat des scrutins locaux est de plus en plus déterminé par le climat politique national, climat dont le seul baromètre fiable est l’élection présidentielle. Si l’on nie l’existence de « vagues » politiques, emportant sur leur passage des élus implantés de longue date, comme expliquer l’élection de centaines d’inconnus formant aujourd’hui la formidable majorité de la République en Marche ?
Comment expliquer « la vague bleue » de 2014 qui a balayé, dans l’Eure, tous les maires de gauche des villes de plus de 10 000 habitants, nonobstant la qualité de leur bilan ?
On le sait : Priollaud a toujours nié l’évidence en attribuant à ses propres mérites sa surprenante et très courte victoire sur la municipalité Martin, pourtant donnée largement gagnante par les observateurs, au vu d’un bilan local positif, voire flatteur.
Mais s’il détermine le résultat final dans les villes, le climat politique national révèle aussi les forces et les faiblesses des élus locaux.
Il est saisissant de constater qu’à Evreux, Gisors, Bourgtheroulde, Pont-de-l’Arche, les maires candidats à la députation arrivent largement en tête dans leur commune d’élection, même si certains sont battus au niveau de la circonscription.
Seul le maire-candidat Priollaud fait exception et subit l’humiliation d’être distancé de plus de 10 % dans la ville où il a été élu voici 3 ans. Défaite d’autant plus cruelle qu’il n’a jamais caché que le poste da maire de Louviers ne l’intéressait que dans la mesure où il était un tremplin pour la députation.
La loi interdisant depuis peu le cumul maire-député, il déjà avait vendu la peau de l’ours à l’élue du Modem, Mme Terlez, à qui il avait promis la mairie de Louviers. Adieux, veaux, vaches, cochons, couvées…
Le conseiller général Jubert a suscité un éclat de rire général par son analyse grotesque en disant que « Si les Lovériens votent si peu pour le candidat Priollaud, c’est pour le garder comme maire. » Il est plus raisonnable de penser que c’est tout l’inverse, comme on le verra sûrement en 2020…
A Louviers, comme ailleurs, les électeurs ont vécu ces derniers mois au rythme des élchéances majeures de notre vie politique : élections présidentielle et législatives. A Louviers, plus qu’ailleurs, le résultat de l’élection législatives était attendu avec curiosité dans notre ville, où le maire récemment parachuté voulait devenir député de l’Eure.
Le résultat est implacable : M. Priollaud essuie une cuisante défaite, n’arrivant même pas à se qualifier pour le second tour. Un résultat qui fait douter de la qualité et de la solidité de son enracinement lovérien.
Certes, le résultat des scrutins locaux est de plus en plus déterminé par le climat politique national, climat dont le seul baromètre fiable est l’élection présidentielle. Si l’on nie l’existence de « vagues » politiques, emportant sur leur passage des élus implantés de longue date, comme expliquer l’élection de centaines d’inconnus formant aujourd’hui la formidable majorité de la République en Marche ?
Comment expliquer « la vague bleue » de 2014 qui a balayé, dans l’Eure, tous les maires de gauche des villes de plus de 10 000 habitants, nonobstant la qualité de leur bilan ?
On le sait : Priollaud a toujours nié l’évidence en attribuant à ses propres mérites sa surprenante et très courte victoire sur la municipalité Martin, pourtant donnée largement gagnante par les observateurs, au vu d’un bilan local positif, voire flatteur.
Mais s’il détermine le résultat final dans les villes, le climat politique national révèle aussi les forces et les faiblesses des élus locaux.
Il est saisissant de constater qu’à Evreux, Gisors, Bourgtheroulde, Pont-de-l’Arche, les maires candidats à la députation arrivent largement en tête dans leur commune d’élection, même si certains sont battus au niveau de la circonscription.
Seul le maire-candidat Priollaud fait exception et subit l’humiliation d’être distancé de plus de 10 % dans la ville où il a été élu voici 3 ans. Défaite d’autant plus cruelle qu’il n’a jamais caché que le poste da maire de Louviers ne l’intéressait que dans la mesure où il était un tremplin pour la députation.
La loi interdisant depuis peu le cumul maire-député, il déjà avait vendu la peau de l’ours à l’élue du Modem, Mme Terlez, à qui il avait promis la mairie de Louviers. Adieux, veaux, vaches, cochons, couvées…
Le conseiller général Jubert a suscité un éclat de rire général par son analyse grotesque en disant que « Si les Lovériens votent si peu pour le candidat Priollaud, c’est pour le garder comme maire. » Il est plus raisonnable de penser que c’est tout l’inverse, comme on le verra sûrement en 2020…
Le résultat est implacable : M. Priollaud essuie une cuisante défaite, n’arrivant même pas à se qualifier pour le second tour. Un résultat qui fait douter de la qualité et de la solidité de son enracinement lovérien.
Certes, le résultat des scrutins locaux est de plus en plus déterminé par le climat politique national, climat dont le seul baromètre fiable est l’élection présidentielle. Si l’on nie l’existence de « vagues » politiques, emportant sur leur passage des élus implantés de longue date, comme expliquer l’élection de centaines d’inconnus formant aujourd’hui la formidable majorité de la République en Marche ?
Comment expliquer « la vague bleue » de 2014 qui a balayé, dans l’Eure, tous les maires de gauche des villes de plus de 10 000 habitants, nonobstant la qualité de leur bilan ?
On le sait : Priollaud a toujours nié l’évidence en attribuant à ses propres mérites sa surprenante et très courte victoire sur la municipalité Martin, pourtant donnée largement gagnante par les observateurs, au vu d’un bilan local positif, voire flatteur.
Mais s’il détermine le résultat final dans les villes, le climat politique national révèle aussi les forces et les faiblesses des élus locaux.
Il est saisissant de constater qu’à Evreux, Gisors, Bourgtheroulde, Pont-de-l’Arche, les maires candidats à la députation arrivent largement en tête dans leur commune d’élection, même si certains sont battus au niveau de la circonscription.
Seul le maire-candidat Priollaud fait exception et subit l’humiliation d’être distancé de plus de 10 % dans la ville où il a été élu voici 3 ans. Défaite d’autant plus cruelle qu’il n’a jamais caché que le poste da maire de Louviers ne l’intéressait que dans la mesure où il était un tremplin pour la députation.
La loi interdisant depuis peu le cumul maire-député, il déjà avait vendu la peau de l’ours à l’élue du Modem, Mme Terlez, à qui il avait promis la mairie de Louviers. Adieux, veaux, vaches, cochons, couvées…
Le conseiller général Jubert a suscité un éclat de rire général par son analyse grotesque en disant que « Si les Lovériens votent si peu pour le candidat Priollaud, c’est pour le garder comme maire. » Il est plus raisonnable de penser que c’est tout l’inverse, comme on le verra sûrement en 2020…
A Louviers, comme ailleurs, les électeurs ont vécu ces derniers mois au rythme des élchéances majeures de notre vie politique : élections présidentielle et législatives. A Louviers, plus qu’ailleurs, le résultat de l’élection législatives était attendu avec curiosité dans notre ville, où le maire récemment parachuté voulait devenir député de l’Eure.
Le résultat est implacable : M. Priollaud essuie une cuisante défaite, n’arrivant même pas à se qualifier pour le second tour. Un résultat qui fait douter de la qualité et de la solidité de son enracinement lovérien.
Certes, le résultat des scrutins locaux est de plus en plus déterminé par le climat politique national, climat dont le seul baromètre fiable est l’élection présidentielle. Si l’on nie l’existence de « vagues » politiques, emportant sur leur passage des élus implantés de longue date, comme expliquer l’élection de centaines d’inconnus formant aujourd’hui la formidable majorité de la République en Marche ?
Comment expliquer « la vague bleue » de 2014 qui a balayé, dans l’Eure, tous les maires de gauche des villes de plus de 10 000 habitants, nonobstant la qualité de leur bilan ?
On le sait : Priollaud a toujours nié l’évidence en attribuant à ses propres mérites sa surprenante et très courte victoire sur la municipalité Martin, pourtant donnée largement gagnante par les observateurs, au vu d’un bilan local positif, voire flatteur.
Mais s’il détermine le résultat final dans les villes, le climat politique national révèle aussi les forces et les faiblesses des élus locaux.
Il est saisissant de constater qu’à Evreux, Gisors, Bourgtheroulde, Pont-de-l’Arche, les maires candidats à la députation arrivent largement en tête dans leur commune d’élection, même si certains sont battus au niveau de la circonscription.
Seul le maire-candidat Priollaud fait exception et subit l’humiliation d’être distancé de plus de 10 % dans la ville où il a été élu voici 3 ans. Défaite d’autant plus cruelle qu’il n’a jamais caché que le poste da maire de Louviers ne l’intéressait que dans la mesure où il était un tremplin pour la députation.
La loi interdisant depuis peu le cumul maire-député, il déjà avait vendu la peau de l’ours à l’élue du Modem, Mme Terlez, à qui il avait promis la mairie de Louviers. Adieux, veaux, vaches, cochons, couvées…
Le conseiller général Jubert a suscité un éclat de rire général par son analyse grotesque en disant que « Si les Lovériens votent si peu pour le candidat Priollaud, c’est pour le garder comme maire. » Il est plus raisonnable de penser que c’est tout l’inverse, comme on le verra sûrement en 2020…