Du rififi sur Facebook !
Le symbole de la suppression d'une prime coûtera plus cher à Priollaud que ne lui rapporte l'économie de bout de chandelle... sur le dos du personnel
Les documents que nous publions proviennent de Jean Aymar, pseudonyme de plusieurs employés municipaux qui ont soutenu ouvertement la candidature Priollaud... et qui s'en mordent les doigts aujourd'hui !
Les cadres prennent la tangente...
Pour le nouvel an, l'ambiance est à la fête, franche et joyeuse !
Dès le mois de juin, pour le personnel, la cause est entendue : le maire n'est pas fiable, ses promesses ne seront pas tenues. Pour l'encadrement, la perte de confiance est plus lente. Mais aujourd'hui, ils se rendent à l'évidence : Priollaud fait ce qu'il ne faut surtout pas faire en termes de management : passer par dessus la tête des cadres, ne pas soutenir leurs décisions, pour maintenir l'illusion d'un maire arbitre entre le personnel et son encadrement... Un encadrement auquel il ne reconnait aucune compétence, clamant partout que ses élus allaient leur apprendre le métier. Un encadrement horrifié par sa décision de créer un syndicat "maison" composé d'une poignée d'affidés du maire. C'est la voie la plus sûre pour casser un outil municipal en revenant aux pratiques de l'époque Proust.
Le personnel prend la Route du Rhume...
Dès l'automne, l'absentéisme d'un personnel démotivé explose. ( Lire ici ).
La suppression des heures supplémentaires porte un rude coup à ceux qui doivent être disponibles tout le temps... Et la mesquinerie de la suppression de la prime versée par la Ville aux retraités fait déborder le vase : une maigre assistance, traïnant les pieds, assiste aux voeux du maire, qui , dans l'affolement, fait appel au personnel mobilisé pour servir la galette des rois. Ils doivent abandonner leur poste pour gonfler l'effectif présent lors du discours du maire...
Le maire aura beau multiplier les déclarations d'amour à son personnel, ce dernier sait bien qu'en ce domaine, l'amour n'existe pas sans preuves d'amour autres que de belles paroles...
La suppression des heures supplémentaires porte un rude coup à ceux qui doivent être disponibles tout le temps... Et la mesquinerie de la suppression de la prime versée par la Ville aux retraités fait déborder le vase : une maigre assistance, traïnant les pieds, assiste aux voeux du maire, qui , dans l'affolement, fait appel au personnel mobilisé pour servir la galette des rois. Ils doivent abandonner leur poste pour gonfler l'effectif présent lors du discours du maire...
Le maire aura beau multiplier les déclarations d'amour à son personnel, ce dernier sait bien qu'en ce domaine, l'amour n'existe pas sans preuves d'amour autres que de belles paroles...