Louviers : les bobards et... les jobards !


Franck Martin

Peu à peu, la vérité se fait jour : les "difficultés financières de Louviers, héritage de la municipalité Martin" sont une pure invention de politicien, misant sur la crédulité des gens pour gagner une élection.

Aujourd'hui, c'est un argument qui s'écule, devient inaudible, une pauvre excuse pour masquer incompétence et inaction.

Il se trouve encore quelques jobards pour croire ce bobard. Heureusement, la réalité se dévoile...


Toujours la même chanson... et de moins en moins d'oreilles crédules !

Le vent tourne, la vérité se fera jour... Répétés depuis 3 ans, les arguments mensongers du maire ne convainquent plus personne
La suppression des cadeaux de Noël - éducatifs - que notre municipalité offrait aux écoliers de Louviers suscite une vague d'indignation, qui déferle dans la presse et les réseaux sociaux.

Mais il se trouve encore quelques naïfs, quelques jobards, dupés par la propagande du candidat Priollaud, pour propager les bobards de l'élu, en difficulté devant l'opinion.

L'argument est toujours le même : la municipalité Martin aurait laissé une ville "en difficulté financière".

Cela sert d'excuse pour ne rien faire d'utile.

Supprimer le livre de Noël sur le dos des enfants. Pour boucler son budget dans la facilité, en supprimant tous les projets utiles, supprimant les emplois à la mairie et en faisant des économies de bout de chandelle.

Alors que jamais maire de Louviers n'a disposé d'autant d'argent que M. Priollaud, grâce au dynamisme des bases, que nous avions stimulé.

Que fait-il de nos impôts ? En n'en faisant rien de bon, en les faisant dormir, il les gaspille !

Ma patience est inoxydable. Inusable.

Ma patience est inoxydable, ma patience est inusable. Elle viendra à bout de la naïveté des jobards, de la bêtise des bas-du-front, de la surdité des ignorants.

Peu à peu, la vérité se fait jour : les "difficultés financières de Louviers, héritage de la municipalité Martin" sont une pure invention de politicien, misant sur la crédulité des gens.

Une excuse pour masquer incompétence et inaction.

La vérité ? Elle se lit, à livre ouvert, dans les faits et dans les comptes de la Ville ! Des comptes votés chaque année, vérifiés par le Trésor Public, validés en Préfecture, soumis à l'examen régulier de la Chambre Régionale des Comptes, qui n'y a jamais trouvé d'important à redire.

Qui croire ? Un politicien en campagne électorale ou les préfets et magistrats chargés de vérifier les comptes ?

Que disent les comptes officiels, difficiles à lire, mais dont la conclusion est parfaitement claire ?

En 19 ans, de 1995 à 2014, pas un seul budget en déficit, aucune difficulté de financement des investissements et jamais de difficulté de paiement des salaires et fournisseurs.

Tous nos bilans annuels ont été excédentaires, qu'il s'agisse de budget ou de compte administratifs. Jamais de déficit, jamais de difficulté de paiement.

Et les impôts ?

De 1995 à 2008, treize ans durant, les impôts sont restés au niveau où les avait mis Odile Proust, le maire RPR. C'était ma volonté. Cela ne nous a pas empêcher de faire oeuvre utile.

Zéro augmentation des taux pendant 13 ans. Zéro augmentation des taux ensuite, de 2010 à 2O14.

Quatre ans de retour à une stabilité fiscale qui n'avait été interrompue que par la crise financière... mondiale dite " des subprimes" durant laquelle tous les robinets du financement étaient hermétiquements fermés.

Comme toutes les communes de France, nous avons été obligés de donner un coup de pouce à l'impôt. Sans dépenser plus, mais parce que les recettes extérieures s'étaient effondrées sous l'effet d'une crise extérieure.

Et la dette ?

Après la crise, les banques sont devenues très frileuses et il est devenu difficile d'emprunter. Les banques n'ont jamais refusé un emprunt, car elle savaient que la Ville remboursait chaque année autant qu'elle empruntait, gage d'une bonne maîtrise de la dette.

Mais surtout, nous avons enrichi la ville, augmenté son actif en créant de nombreux équipements durables ! L'emprunt est un outil indispensable à l'augmentation du patrimoine, comme le savent tous ceux qui acquis leur résidence principale à crédit, comme tout le monde.

Matelas ou trampoline

Chaque jour qui passe, la différence entre ma gestion et la sienne devient plus visible. Même aux yeux qui ne l'avaient pas vu avant de voter.

De visible, elle deviendra éclatante aux yeux de tous : avec - un peu - moins d'argent, avec le même niveau d'imposition, nous avons fait infiniment plus de choses utiles que lui.

Infiniment plus car, aujourd'hui, non contents de supprimer nos projets, il supprime nos réalisations... et les services aux Lovériens que nous avons créé.

Sur le même matelas financier, un peu plus mince qu'aujourd'hui, nous faisions faire des bonds à Louviers, la Ville bougeait, la Ville  vivait. 

Une bonne gestion municipale ? C'est créer des richesses pour la Ville, augmenter son patrimoine, ses équipements. Offrir de nouveaux services aux Lovériens, améliorer l'existant.

Sur son gros matelas financier, avec Priollaud, Louviers fait dodo. Il ne se passe plus rien de nouveau et l'on supprime les actifs, les bienfaits de la gestion précédente. Arrondir un bas de laine inutile, constituer une cagnotte en vue de l'élection municipale, stériliser l'impôt en thésaurisant, c'est de la mauvaise gestion.

Oui, c'était mieux avant. Et nombre de Lovériens dupés par Priollaud, commencent à le comprendre.

On peut tromper tout le monde le temps d'une élection. On peut tromper quelques jobards tout le temps. Mais nul ne peut tromper tout le monde tout le temps !


Franck Martin