Ils s'entendent déjà comme larrons en foire : pour déconstruire l'intercommunalité
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Par une infime majorité, Bernard Leroy devient président de l'agglomération Seine-Eure. La CASE va faire un bond de dix ans en arrière.
Farouche adversaire de l'intercommunalité, Bernard Leroy va appliquer le programme que lui dictent ses convictions, plus que conservatrices : réactionnaires. Son rêve : faire de la CASE un bon vieux SIVOM, un outil de captation des flux fiscaux au profit des communes.
On peut s'attendre des coupes sombres dans tous les programmes conçus à l'échelle de notre bassin de vie et d'emploi : transports et logement notamment.
On peut s'attendre au gel des constructions de logements sociaux, qui font pourtant cruellement défaut.
Le plan local d'insertion par l'économie, la maison de l'emploi et de la formation, la SODEVIL ont des soucis à se faire.
On peut s'attendre à l'arrêt de tous les programmes qui ont fait entrer la CASE dans la modernité : agenda 21, coopération décentralisée, plan climat-énergie, PIMMS, numérique...
On peut s'attendre à un gigantesque gaspillage d'argent public, saupoudré à l'envi sur des micros-programmes communaux redondants et sans cohérence, mais qui feront plaisir aux roitelets locaux.
Comme toujours, l'environnement étant le dernier souci de la droite, les dépenses de voirie vont exploser, le goudron couler partout à flot. Avec le retour de la bagnole reine des années 60, ça va bétonner à tout va ! Le SCOT va être revu au profit des riches propriétaires et des promoteurs immobiliers, au détriment d'un urbanisme compatible avec la défense de l'environnement.
Les toits d'église et toutes sortes de fêtes à neu-neu vont recevoir un flot de crédits. Mais pas trop, parce que lorsqu'elle entend le mot culture, la droite sort la gomme à effacer les crédits.
Quelle tristesse ! Je souhaite bien du plaisir au président du conseil général et du conseil régional : leur volonté de penser, organiser, planifier l'essor de notre territoire à l'échelle de l'agglomération et en coordination avec les politiques partenariales de leurs collectivités se heurtera à la myopie, à l'incompréhension, à la rapacité de la bande à Leroy.
Comme à Louviers, la droite va s'atteler à la déconstruction des programmes d'intérêt général au profit des lobbys privés et du patronat.
Farouche adversaire de l'intercommunalité, Bernard Leroy va appliquer le programme que lui dictent ses convictions, plus que conservatrices : réactionnaires. Son rêve : faire de la CASE un bon vieux SIVOM, un outil de captation des flux fiscaux au profit des communes.
On peut s'attendre des coupes sombres dans tous les programmes conçus à l'échelle de notre bassin de vie et d'emploi : transports et logement notamment.
On peut s'attendre au gel des constructions de logements sociaux, qui font pourtant cruellement défaut.
Le plan local d'insertion par l'économie, la maison de l'emploi et de la formation, la SODEVIL ont des soucis à se faire.
On peut s'attendre à l'arrêt de tous les programmes qui ont fait entrer la CASE dans la modernité : agenda 21, coopération décentralisée, plan climat-énergie, PIMMS, numérique...
On peut s'attendre à un gigantesque gaspillage d'argent public, saupoudré à l'envi sur des micros-programmes communaux redondants et sans cohérence, mais qui feront plaisir aux roitelets locaux.
Comme toujours, l'environnement étant le dernier souci de la droite, les dépenses de voirie vont exploser, le goudron couler partout à flot. Avec le retour de la bagnole reine des années 60, ça va bétonner à tout va ! Le SCOT va être revu au profit des riches propriétaires et des promoteurs immobiliers, au détriment d'un urbanisme compatible avec la défense de l'environnement.
Les toits d'église et toutes sortes de fêtes à neu-neu vont recevoir un flot de crédits. Mais pas trop, parce que lorsqu'elle entend le mot culture, la droite sort la gomme à effacer les crédits.
Quelle tristesse ! Je souhaite bien du plaisir au président du conseil général et du conseil régional : leur volonté de penser, organiser, planifier l'essor de notre territoire à l'échelle de l'agglomération et en coordination avec les politiques partenariales de leurs collectivités se heurtera à la myopie, à l'incompréhension, à la rapacité de la bande à Leroy.
Comme à Louviers, la droite va s'atteler à la déconstruction des programmes d'intérêt général au profit des lobbys privés et du patronat.