Lundi soir, la séance du conseil municipal a été gravement perturbée par une poignée de militants du PS et au NPA. Ces perturbateurs ont agi sous le masque d'une pseudo association de défense de l'environnement, présidée par monsieur Houel, porte parole du parti socialiste.
Dans la cour de la mairie, avant l'ouverture du conseil, des manifestants ont accueilli l'arrivée des élus en brandissant des bouteilles vides.
Se dirigeant ensuite vers l'enceinte réservée au public, les énergumènes se sont regroupés autour de leur meneur afin de perturber les débats en vociférant, apostrophant les membres du conseil municipal avec une violence verbale grandissante, alors même que le silence dans les rangs du public est la règle pour tout conseil municipal, qui ne saurait délibérer sous la pression de manifestants.
Au moment de la présentation du rapport sur la gestion de l'eau, prétexte choisi pour porter atteinte à la dignité de l'assemblée, ils ont franchi les bornes de l'acceptable en s'en prenant aux femmes de la majorité municipale, par des injures odieuses, des quolibets sexistes et des gestes déplacés.
Quatre conseillères municipales, victimes de ces violences verbales, se sont rendues au commissariat de police de Val de Reuil pour y déposer plainte contre ceux qui se sont rendus coupables d'injures publiques à leur encontre.
La pseudo-association pour la défense de l'environnement a franchi la ligne jaune qui sépare la querelle politique de l'injure publique et sexiste, qui est un délit pur et simple.
On ne masque pas le vide de sa pensée en agressant des femmes, fut-ce verbalement.
La municipalité de Louviers, scandalisée par ces comportements indignes, soutient les conseillères municipales victimes de ces inadmissibles agressions. Elle déclare que de tels débordements ne seront plus tolérés dans l'enceinte du conseil municipal.
Dans la cour de la mairie, avant l'ouverture du conseil, des manifestants ont accueilli l'arrivée des élus en brandissant des bouteilles vides.
Se dirigeant ensuite vers l'enceinte réservée au public, les énergumènes se sont regroupés autour de leur meneur afin de perturber les débats en vociférant, apostrophant les membres du conseil municipal avec une violence verbale grandissante, alors même que le silence dans les rangs du public est la règle pour tout conseil municipal, qui ne saurait délibérer sous la pression de manifestants.
Au moment de la présentation du rapport sur la gestion de l'eau, prétexte choisi pour porter atteinte à la dignité de l'assemblée, ils ont franchi les bornes de l'acceptable en s'en prenant aux femmes de la majorité municipale, par des injures odieuses, des quolibets sexistes et des gestes déplacés.
Quatre conseillères municipales, victimes de ces violences verbales, se sont rendues au commissariat de police de Val de Reuil pour y déposer plainte contre ceux qui se sont rendus coupables d'injures publiques à leur encontre.
La pseudo-association pour la défense de l'environnement a franchi la ligne jaune qui sépare la querelle politique de l'injure publique et sexiste, qui est un délit pur et simple.
On ne masque pas le vide de sa pensée en agressant des femmes, fut-ce verbalement.
La municipalité de Louviers, scandalisée par ces comportements indignes, soutient les conseillères municipales victimes de ces inadmissibles agressions. Elle déclare que de tels débordements ne seront plus tolérés dans l'enceinte du conseil municipal.